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Votre avis sur Mad Max au-delà du Dôme du Tonnerre ?
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Changement radicale pour George Miller pour achever sa trilogie originale Madmax. Surprenant par tous les niveaux, notamment dans son univers "étendue". La début du film est vraiment prenant et intéressant jusqu'à tenter une approche "planète des singes" avant le dernier arc, qui est maîtrisé. Contrairement à la majorité, j'ai beaucoup apprécié ce 3e opus. Visuellement c est toujours aussi impressionnant, ainsi que les décors. On sent un vrai travail et une vraie envie de se renouveler de la part de George Miller et c est un point qui faut souligner. Certes le milieu du film est assez étrange mais au moins, cela se résolve plutôt bien sur sa fin. Une belle tentative qui m'aura satisfait avec toujours une patte significative. On rajoute à cela, la musique cultissime de Tina Turner, et on a une bonne conclusion
Ce troisième épisode de Mad Max est complètement raté ! Rien ne va dans ce film ! Je n’ai rien compris au film qui est coupé en deux parties bien distinctes et qui ne semblent avoir aucun lien entre elles. Dans la première partie, Tina Turner semble diriger une ville mais l’énergie est produite sous la terre par un nain intelligent qui chevauche une brute stupide. Max doit donc provoquer en duel la brute dans le fameux dôme du tonnerre pour que Tina Turner dirige totalement la ville. C’est ce que j’ai cru comprendre. Elle aurait pu se débarrasser de la brute elle-même, je n’ai donc pas compris pourquoi elle avait besoin de Max. Ensuite (je passe volontairement les détails), ce dernier se retrouve dans un oasis entouré d’enfants façon Peter Pan. Ils pensent que Max va les sauver et les emmener dans un monde meilleur. Bref, durant tout le film, Max ne fait que subir les évènements, il va où le vent le mène. De plus, on retrouve un personnage qui était dans le deuxième épisode mais qui ne semble pas reconnaître Max. « Mais non, abruti ! Tu n’avais pas compris que c’était le même acteur mais qu’il jouait un personnage différent ! Ah oui ! Suis-je bête, c’était l’évidence même pourtant ! « Il y a quand même une course poursuite dans la toute dernière partie du film avec un final totalement ridicule. Ce film n’a donc vraiment aucun sens ni aucune ligne directrice. C’est donc un ratage complet à fuir d’urgence !!!
J'ai récemment revu « Mad Max Beyond Thunderdome », un film qui avait été lourdement critiqué à sa sortie en 1985, surtout comparé à ses prédécesseurs spectaculaires, « Mad Max » et « The Road Warrior ». Isolé de cette comparaison, ce film demeure un divertissement post-apocalyptique solide, quoique moins violent que « Road Warrior ». Les performances des acteurs sont tout à fait adéquates pour l'action, et les scènes de poursuite montrent bien le savoir-faire de George Miller. C'est un film plus orienté vers les enfants, une sorte de « Hook » en plein désert. « Mad Max Beyond Thunderdome »est une fable post-apocalyptique délirante, dotée d'une imagination débordante, de design visuel incroyable, et d'un duel de mort original. Malgré ses imperfections et un ton plus léger, il ajoute beaucoup au mythe de Mad Max et propose une vision unique et mémorable de l'apocalypse, méritant d'être vu pour ses qualités cinématographiques et son audace créative pour l’époque. WHITE FINGERS : LA PISTE SYSKIYOU (TOME 1) et LE CIMETIERE DES SQUAWS (TOME 2) (Amazon Kindle).
Yannickcinéphile
Bon ben Mad Max 3 est un semi nanar. On est dans un registre à peine au-dessus des mockbusters italiens qui ont pullulé à l’époque en copiant le mythe, c’est dire ! Le meilleur du métrage ça reste de loin le générique d’ouverture ! Bonne musique, du rythme, du style, tout ce qui manque après ! Mad Max 3 souffre d’abord d’un redoutable manque de punch. Le film est long, mais long ! Tant qu’on est dans la ville, ça va encore. On découvre des trucs, il y a pas mal d’excentricité, ça reste relativement assez sérieux, il y a quelques séquences d’action, ça passe ! Mais alors lorsque on quitte la ville, c’est la cata ! On sombre dans le ridicule, les séquences sont d’une lenteur invraisemblable, le côté mystique est foiré, l’humour devient envahissant, une plaie ! Heureusement, il y a une vague séquence d’action finale qui relève un peu le niveau, mais Miller fera beaucoup plus long, intense et violent avec Mad Max Fury Road, et limite je me demande s’il n’a pas voulu prendre sa revanche sur lui-même en refaisant cette séquence dans le 4e épisode.
Outre son manque de rythme et son scénario faiblard où domine un humour ridicule, dégoupillant toutes les idées sérieuses du métrage, on notera des acteurs en roue libre. Mel Gibson est honorable mais pas exceptionnel non plus. Son personnage n’a aucune épaisseur particulière ici, il devient même assez bizarre dans la 2e partie du métrage, devenant courageux et trouillard en quelques secondes ! Tina Turner est là en guest star et s’en tire pas trop mal, et pour le reste, c’est un défilé de trogne mais sans rien derrière ! Et comme précédemment, dès qu’on quitte la ville et son lot de personnages qui ont au moins le mérite du look et de la gueule, c’est du vent. Une sorte de garderie de mômes à la Peter Pan totalement pas dégrossi. Et on va se les coltiner en nouveaux héros jusqu’à la fin du métrage.
Visuellement, le film a un certain budget, cela se voit dans les décors, assez amples. Il subsiste aussi de beaux plans de George Miller, notamment l’ouverture, on sent également une certaine maîtrise dans la gestion de l’action, mais il y a des choix hasardeux. C’est quoi ce combat grotesque dans le dôme ? Les costumes également sont assez miséreux et ne s’élèvent guère au-delà des nanars qui se faisaient à l’époque dans le genre post apo. On reste globalement sur un film juste moyen, qui n’a pas su créer un univers visuel assez sérieux et réaliste, ça sent quand même souvent l’artificiel et le carnaval.
En somme, Mad Max 3 est un ratage. Ennuyant, beaucoup trop humoristique, mollement interprété, doté d’un scénario simpliste, il faut gratter pour trouver de réelles qualités à ce film qui témoigne d’un essoufflement très net de Miller avec sa saga. 1.5
Outre son manque de rythme et son scénario faiblard où domine un humour ridicule, dégoupillant toutes les idées sérieuses du métrage, on notera des acteurs en roue libre. Mel Gibson est honorable mais pas exceptionnel non plus. Son personnage n’a aucune épaisseur particulière ici, il devient même assez bizarre dans la 2e partie du métrage, devenant courageux et trouillard en quelques secondes ! Tina Turner est là en guest star et s’en tire pas trop mal, et pour le reste, c’est un défilé de trogne mais sans rien derrière ! Et comme précédemment, dès qu’on quitte la ville et son lot de personnages qui ont au moins le mérite du look et de la gueule, c’est du vent. Une sorte de garderie de mômes à la Peter Pan totalement pas dégrossi. Et on va se les coltiner en nouveaux héros jusqu’à la fin du métrage.
Visuellement, le film a un certain budget, cela se voit dans les décors, assez amples. Il subsiste aussi de beaux plans de George Miller, notamment l’ouverture, on sent également une certaine maîtrise dans la gestion de l’action, mais il y a des choix hasardeux. C’est quoi ce combat grotesque dans le dôme ? Les costumes également sont assez miséreux et ne s’élèvent guère au-delà des nanars qui se faisaient à l’époque dans le genre post apo. On reste globalement sur un film juste moyen, qui n’a pas su créer un univers visuel assez sérieux et réaliste, ça sent quand même souvent l’artificiel et le carnaval.
En somme, Mad Max 3 est un ratage. Ennuyant, beaucoup trop humoristique, mollement interprété, doté d’un scénario simpliste, il faut gratter pour trouver de réelles qualités à ce film qui témoigne d’un essoufflement très net de Miller avec sa saga. 1.5
Vraiment pas convaincu par ce troisième volet des aventures de Mad Max. Il y a toujours évidemment une excellente ambiance et mise en scène mais tellement loin de l’ambiance post-apocalyptique décomplexée du second film avec ses courses poursuites à gogo. Seule la fin du film vient effleurer l’ampleur des deux premiers films sinon, l’intrigue est très ennuyante à mon sens, ça ne m'a pas du tout absorbé. Bien dommage.
Une suite qui définit davantage l'univers de Mad Max, notamment sur son esthétique si particulière. Certains éléments scénaristiques sont discutables (le singe qui retrouve Max dans le désert pour lui donner de l'eau ?), et la fin est un peu bâclée selon moi. Malgré ça, l'ambiance poussiéreuse de Barterdown et ses enjeux presque politiques dévoilent un aspect inédit dans la saga. Les personnages de Master et Blaster, ainsi que quelques autres, ont un design franchement réussi et toute cette première partie dans la ville est dynamique et divertissante.
La seconde partie où Max est sauvé par des enfants perdus qui le prennent pour un Messi m'a laissé plutôt indifférent. La présence même de cette tribu à peine pubère surprend et détonne quelque peu avec la rudesse du monde désertique et hostile de Mad Max.
La dernière partie est bien entendu une course folle dans le désert, sans quoi le film ne serait pas un Mad Max. Cette dernière n'est par ailleurs pas très exaltante et traine en longueur.
Le film respire les années 80, que ce soit dans sa thématique (conséquences d'une guerre nucléaire, entre autres), dans sa bande sonore, ou dans son casting (Tina Turner).
En conclusion, la force de ce Mad Max n'est pas tant le scénario, légèrement bancal par moment, mais bien son esthétique unique et l'atmosphère qui se dégage des différents lieux du film : la ville, l'underworld, le dôme...
PS: pas un des 3 films ne justifie à mes yeux le "Mad" de Mad Max, celui-ci ayant été jusqu'à présent tout à fait sain d'esprit et même tout à fait raisonnable en comparaison du monde dans lequel il évolue et des personnages qu'il rencontre.
La seconde partie où Max est sauvé par des enfants perdus qui le prennent pour un Messi m'a laissé plutôt indifférent. La présence même de cette tribu à peine pubère surprend et détonne quelque peu avec la rudesse du monde désertique et hostile de Mad Max.
La dernière partie est bien entendu une course folle dans le désert, sans quoi le film ne serait pas un Mad Max. Cette dernière n'est par ailleurs pas très exaltante et traine en longueur.
Le film respire les années 80, que ce soit dans sa thématique (conséquences d'une guerre nucléaire, entre autres), dans sa bande sonore, ou dans son casting (Tina Turner).
En conclusion, la force de ce Mad Max n'est pas tant le scénario, légèrement bancal par moment, mais bien son esthétique unique et l'atmosphère qui se dégage des différents lieux du film : la ville, l'underworld, le dôme...
PS: pas un des 3 films ne justifie à mes yeux le "Mad" de Mad Max, celui-ci ayant été jusqu'à présent tout à fait sain d'esprit et même tout à fait raisonnable en comparaison du monde dans lequel il évolue et des personnages qu'il rencontre.
Totalement hors jeu !
Revue après quelques années
Ce film n'a aucun sens et n'a strictement rien à voir avec les deux premiers volets
Une multitude de scène sans aucun lien
Cela ressemble plus à un vidéo plus qu'à un film
Un. Total ratage.
Revue après quelques années
Ce film n'a aucun sens et n'a strictement rien à voir avec les deux premiers volets
Une multitude de scène sans aucun lien
Cela ressemble plus à un vidéo plus qu'à un film
Un. Total ratage.
Peu de temps suit le second volet et le troisième, et pourtant, on dirait qu'il est tourné dans une autre décennie, non pas pour ces qualités technique, non, pour l'utilisation ultra stéréotypé des années 80; face à Mad Max, on met une star planétaire, certes, pas dans l'univers du cinéma, mais musical, on habille donc Tina Turner en côte de maille, et on met une bande son qui fera un tube, et voilà que l'on projette Max dans ce monde apocalyptique, qui essaie de trouver sa place mais, qui sera comme toujours mis à l'épreuve.
Sauf que là, rien ne fonctionne, Miller, veut attirer un plus large public, il ne veut pas se répéter, il succombe aux directives des producteurs, on en sait rien, mais ce qui est certain, c'est que ce film est une farce. On nous refait le coup de Peter Pan, avec une tribu de mômes, têtes à claque, avec une parodie de méchante avec Turner, avec un Max hyper fort, mais qui se laisse prendre son chariot par un gosse; l'homme volant ressemble en tout point avec celui du second volet, mais, ce n'est pas exploité, bien au contraire, rien n'est crédible, les images du sous sol sont glauques, et la fin n'est pas digne de la saga. Un ratage sans précédant, qui ne méritait pas une nouvelle suite.
Sauf que là, rien ne fonctionne, Miller, veut attirer un plus large public, il ne veut pas se répéter, il succombe aux directives des producteurs, on en sait rien, mais ce qui est certain, c'est que ce film est une farce. On nous refait le coup de Peter Pan, avec une tribu de mômes, têtes à claque, avec une parodie de méchante avec Turner, avec un Max hyper fort, mais qui se laisse prendre son chariot par un gosse; l'homme volant ressemble en tout point avec celui du second volet, mais, ce n'est pas exploité, bien au contraire, rien n'est crédible, les images du sous sol sont glauques, et la fin n'est pas digne de la saga. Un ratage sans précédant, qui ne méritait pas une nouvelle suite.
Et voilà, après avoir rattrapé les deux premiers opus, voici enfin la conclusion de cette saga mythique. Malheureusement, Miller n'est plus à la réalisation et on sent une baisse de qualité.
On démarre sur une introduction sur j'ai du mal à comprendre, ou le pilote du précédent opus vole une cargaison à Max et ne semble pas le reconnaître par la suite alors qu'ils se sont déjà rencontrés lors du deuxième film. S'en suit un segment plutôt sympathique dans Barter town, avec un Tina Turner plutôt convaincante et une scène de combat dans le dôme plutôt plaisante. Mais suite à l'exclusion de Max, on se retrouve avec une deuxième partie qui casse le rythme. Tout l'arc avec le groupe d'enfants est assez peu intéressant. Max arrive dans ce groupe de survivants et impose sa loi sans vergogne. Ils retournent ensuite à Barter town et là ça se gâte encore. Les scènes d'action sont à la limite du cartoonesque et on est bien loin du côté violent et mature du début.
Au cours du film, on obtient légèrement du contexte sur les événements qui ont causé ce cataclysme et entraîné la fin du monde tel qu'on le connaît. Mais rien qui étoffe vraiment l'univers de Mad Max. On termine tout ça avec une course poursuite peu inspirée se terminant de manière assez incompréhensible et sur un épilogue avec le groupe d'enfants qui ne sonne pas vraiment comme une fin qui vient clore la boucle.
On démarre sur une introduction sur j'ai du mal à comprendre, ou le pilote du précédent opus vole une cargaison à Max et ne semble pas le reconnaître par la suite alors qu'ils se sont déjà rencontrés lors du deuxième film. S'en suit un segment plutôt sympathique dans Barter town, avec un Tina Turner plutôt convaincante et une scène de combat dans le dôme plutôt plaisante. Mais suite à l'exclusion de Max, on se retrouve avec une deuxième partie qui casse le rythme. Tout l'arc avec le groupe d'enfants est assez peu intéressant. Max arrive dans ce groupe de survivants et impose sa loi sans vergogne. Ils retournent ensuite à Barter town et là ça se gâte encore. Les scènes d'action sont à la limite du cartoonesque et on est bien loin du côté violent et mature du début.
Au cours du film, on obtient légèrement du contexte sur les événements qui ont causé ce cataclysme et entraîné la fin du monde tel qu'on le connaît. Mais rien qui étoffe vraiment l'univers de Mad Max. On termine tout ça avec une course poursuite peu inspirée se terminant de manière assez incompréhensible et sur un épilogue avec le groupe d'enfants qui ne sonne pas vraiment comme une fin qui vient clore la boucle.
Film sous-estimé
Bien sûr, la parties avec les enfants est un peu décevante, mais c’est toujours Mad Max ! Nous avons des voitures iconiques et des poursuites de voitures emblématiques, nous avons des costumes incroyables... Même si c’est le moins Mad Max de la saga, car il y a de l’espoir, il est injuste d’appeler cela un Mad Max façon Disney, beaucoup de gens meurent et la lutte au début est très cruelle. Et puis-je me rappeler qu’il y a déjà une communauté pacifique et pleine d’espoir dans Mad Max 2 ?
Thématiquement, c’est aussi Mad Max. Max est aussi une sorte de prophète, il est symbolisé comme ça dans Fury Road. Il dit la même chose que dans Fury Road.
Et la cinématographie et la direction sont très bonnes : la scène de combat et la poursuite finale sont épiques, et il y a beaucoup de beaux plans et mouvements de caméra. C’est très subjectif, mais l’humour fonctionne très bien avec moi, en partie parce que c’est un humour visuel.
Donc, très bon visionnage, un film bien meilleur que ce que les gens ont dit. Ce n’est pas le meilleur Mad Max mais pas un mauvais film du tout.
Bien sûr, la parties avec les enfants est un peu décevante, mais c’est toujours Mad Max ! Nous avons des voitures iconiques et des poursuites de voitures emblématiques, nous avons des costumes incroyables... Même si c’est le moins Mad Max de la saga, car il y a de l’espoir, il est injuste d’appeler cela un Mad Max façon Disney, beaucoup de gens meurent et la lutte au début est très cruelle. Et puis-je me rappeler qu’il y a déjà une communauté pacifique et pleine d’espoir dans Mad Max 2 ?
Thématiquement, c’est aussi Mad Max. Max est aussi une sorte de prophète, il est symbolisé comme ça dans Fury Road. Il dit la même chose que dans Fury Road.
Et la cinématographie et la direction sont très bonnes : la scène de combat et la poursuite finale sont épiques, et il y a beaucoup de beaux plans et mouvements de caméra. C’est très subjectif, mais l’humour fonctionne très bien avec moi, en partie parce que c’est un humour visuel.
Donc, très bon visionnage, un film bien meilleur que ce que les gens ont dit. Ce n’est pas le meilleur Mad Max mais pas un mauvais film du tout.
Surpasse le premier mais c'est pas ouf déjà ils rendent Mad Max ( le film) beaucoup moins violent, c'est ennuyant les personnages ne sont vraiment pas intéressants et surtout insupportable, scénario bâclé et beaucoup de scènes inutiles
Ce troisième volet de Mad Max est clairement le moins bon de la trilogie de George Miller avec Tina Turner et Mel Gibson.
Un troisième opus moyen, qui a de bonnes idées mais qui tourne par moment au ridicule (avec la cité des enfants) . Tina Turner est très charismatique, et Mel Gibson toujours aussi bon. Pour le reste il demeure un bon film avec une lège déception par rapport au précèdent.
Une espèce d'antiquité des années 80, qu'on regarde d'un oeil amusé ou ennuyé. Alors, oui, il faut admettre le parti pris volontairement grand public avec des gamins partout, une violence graphique édulcorée, un scénario gentillet... Pourtant y a du fric, de la prod', des décors, des bagnoles customisées, des cascades... Bon, alors, Mel Gibson fait le job (sans plus). Et Tina Tuner est sculpturale mais pas méchante pour un sou. Sinon, il y a tous ces superbes panoramiques d'un désert australien crépusculaire... Mais du film n'émane pas le sentiment de danger et d'urgence qu'il y avait dans les deux précédents Mad, on le ressent très vite, et du coup, on attend gentiment que ça se termine. Mad Max 3 ou le coup foireux de la franchise qui s'enlise pour cause de paresse et de mauvais choix artistique.
Après les deux premiers opus de la saga " Mad max", Georges Miller éprouva quelques difficultés à se renouveler dans son troisième chapitre et on le comprend.
Aujourd'hui on ne souvient pas forcément que le premier volet réalisé avec peu de moyens et sorti dans peu de salles, reçut un accueil public miraculeux. Les suites ne furent pensées qu'à l'aune de ce succès inattendu.
La ressortie en salles de la série des quatre films ( le dernier fût réalisé plusieurs décennies après ce " dôme du tonnerre ") permet de reconsidérer ce troisième volet qui fait figure de parent pauvre auprès des aficionados.
Certes, moins accompli, il n'en reste pas moins qu'il est loin d'être sans intérêt, même si la transition entre ses deux parties est trop longue et surtout un peu ratée ( partie qui se déroule dans le campement des enfants et adolescents).
Il n'en reste pas moins que la première demi-heure ( sans doute ce que le "dôme du tonnerre " propose de mieux ) et la dernière méritent largement de le visionner.
On relèvera le casting dominé par la chanteuse de soul, très sexy Tina Turner, qu'on ne voit malheureusement pas suffisamment mais qui trouve néanmoins le moyen d'éclipser Mel Gibson.
On rappellera que cet acteur de talent ( il passa aussi par la suite a la réalisation) charismatique, trouvera le moyen, après avoir atteint le statut de vedette internationale, de se mettre à dos une partie de la profession par ses déclarations publques stupides et insultantes.
Ces épisodes fâcheux et renouvelés finirent par avoir raison de sa carrière. Bref, le Mad max de l'écran portait bien son nom à la ville.
Distrayant et moins violent que les deux précédents volets, " le dôme du tonnerre " parvient, presque quatre décennies après sa sortie, à ne pas avoir pris une ride.
Aujourd'hui on ne souvient pas forcément que le premier volet réalisé avec peu de moyens et sorti dans peu de salles, reçut un accueil public miraculeux. Les suites ne furent pensées qu'à l'aune de ce succès inattendu.
La ressortie en salles de la série des quatre films ( le dernier fût réalisé plusieurs décennies après ce " dôme du tonnerre ") permet de reconsidérer ce troisième volet qui fait figure de parent pauvre auprès des aficionados.
Certes, moins accompli, il n'en reste pas moins qu'il est loin d'être sans intérêt, même si la transition entre ses deux parties est trop longue et surtout un peu ratée ( partie qui se déroule dans le campement des enfants et adolescents).
Il n'en reste pas moins que la première demi-heure ( sans doute ce que le "dôme du tonnerre " propose de mieux ) et la dernière méritent largement de le visionner.
On relèvera le casting dominé par la chanteuse de soul, très sexy Tina Turner, qu'on ne voit malheureusement pas suffisamment mais qui trouve néanmoins le moyen d'éclipser Mel Gibson.
On rappellera que cet acteur de talent ( il passa aussi par la suite a la réalisation) charismatique, trouvera le moyen, après avoir atteint le statut de vedette internationale, de se mettre à dos une partie de la profession par ses déclarations publques stupides et insultantes.
Ces épisodes fâcheux et renouvelés finirent par avoir raison de sa carrière. Bref, le Mad max de l'écran portait bien son nom à la ville.
Distrayant et moins violent que les deux précédents volets, " le dôme du tonnerre " parvient, presque quatre décennies après sa sortie, à ne pas avoir pris une ride.
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