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Chris46
517 abonnés
978 critiques
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4,0
Publiée le 1 septembre 2013
Troisième volet de la saga culte Mad max . L'histoire se déroule dans un futur proche . Une guerre nucléaire a définitivement achever le monde . Les survivants s'organisent sous la forme de tribus et tente de survivre comme il peuvent . Le monde est pratiquement revenu a large de pierre . Max ( Mel Gibson ) sillonne le pays sans but depuis la mort de sa femme et de son fils . Un jour il se fait agresser et voler ses biens . En poursuivant les voleurs max arrive dans une ville nommer bartertown diriger par une femme nommer aunty entity ( tina Turner ) . Max décide de faire un deal avec Aunty entity pour récupérer des biens . Mais tout ne va pas se passer comme prévu et max va se retrouver dans une nouvelle série de mésaventures ... Mel Gibson est toujour excellent dans son rôle de max . Son look est toujour aussi culte et mémorable . On regrette qu'il ne conduise plus sa Ford détruit dans l'opus précédent . Il est accompagner dans cette aventure par tina Turner qui joue très bien le rôle de aunty la chef de bartertown . Son look est excellent aussi . Le futur post apocalyptique est super bien retranscrit a l'écran grâce a de super décor et costume et de supebes paysages desertiques . on prend plaisir a s'évader dans cette univers post apocalyptique . Le film est beaucoup moins violent que les précédent et un peu plus humoristique . Sa peut en dérouter certains . Moi sa me dérange pas et sa permet de renouveler un peu la saga . Un film remplit d'humour , de combat spectaculaire ( le combat a mort entre max et le geant dans l'arene du dome du tonerre ) et de scénes d'action spectaculaire ( la poursuite finale avec le train ) . Sans oublier la bo bien fun chanter par tina turner elle meme . Un très bon 3ème volet .
Mad Max au-delà du Dôme du Tonnerre en a déçu plus d'un et je ne comprend absolument pas pourquoi, peut être parce qu'il est plus beau, que l’espoir est remis au premier plan et que le sang ne coule pas à flot, et bien oui Mad max ce n'est pas que de la violence et encore de la violence. Pour ce troisième volet Miller nous régale une fois de plus avec c'est somptueux décors, c'est magnifique effets spéciaux, avec cette cruelle ville de bartertown dirigé par la sublime et détestable Tina Turner, qui au passage nous offre une sublime bande son. La réalisation est toujours impeccable, le casting excellent, les véhicules sont une fois de plus originaux et splendidement délirant, le scénario est magnifiquement travaillé, il est beau, parfois triste, souvent pimenté d'humour, rempli de tendresse, il est aussi rempli d'action, rempli de lieu terriblement effrayant et d'autre magnifiquement beau, Max laisse tomber cette fois le costume du gars égoïste et devient le sauveur d'une petite tribu rempli de gamin qui ne veulent qu'une chose, rejoindre la civilisation. Voilà George Miller conclut sa trilogie en beauté, enfin conclut... il conclut ce troisième volet en beauté puisqu'un Mad max 4, 5 et 6 vont bientôt montrer le bout de leur nez et je les attends avec une saloperie d'impatience ! Vive MAD MAX, une des meilleurs saga de tout les temps, un régal pour les cinéphiles !
Alors qu’en regardant les deux premiers Mad Max on pouvait penser que George Miller avait pour ligne directrice une montée crescendo de la violence et de la déshumanisation des restes de la civilisation, ce troisième opus nous prouve que nous avons été leurré par un réalisateur incapable de donner une quelconque cohérence à sa franchise. Mel Gibson a certes été peu expressif dès le premier mais là il semble ne même se donner la peine de jouer et de tout miser sur son charisme. Séparé en trois chapitres (le dôme, le village des enfants puis l’affrontement entre les deux), le scénario est particulièrement fade, voulant tellement s’axer vers le grand public qu’il en devient semblable à celui d’une production Disney. Que reste-t-il alors de ce produit commercial indigeste qui a terriblement mal vieilli ? C’est justement son imagerie très vintage, auquel contribue parfaitement Tina Turner, qui donne à ce film insipide son charme propre.
On reprend les mêmes et on recommence,sauf que cette fois-ci Mad Max n'est plus un film de genre bien foutu,il s'est transformé en un ignoble navet post-apocalyptique. Tout est d'une ringardise sans nom,là ou les autres volets avait une mise en scène efficace,ici tout c'est envolé même ça. Dès lors il ne reste rien que du ridicule pour ce N°3. Les N°4 doit sortir en 2014 espérons qu'il soit à la hauteur du N°2 et non de celui-ci.
Le 2ème meilleur film de la trilogie selon moi, le 1er étant le moins bon. Après la violence des deux premiers, "Mad Max au-delà du Dôme de Tonnerre" prends un côté "conte" tout en mélangeant SF et Kitsch comme dans les deux premiers. Toujours dans un monde déserté par la civilisation a la suite d'une mystérieuse explosion nucléaire, Max rencontre une tribu de jeunes enfants et adolescents (j'ai eu l'impression de revoir les Ewoks de Star Wars : Le Retour du Jedi d'ailleurs ...) coupée du monde après avoir rencontrer la terrible Tina Turner et affronté un gros bras. De la bagarre, du rire (surtout au début personnellement ...) et puis une belle histoire ... J'ai cependant l'impression que tout va trop vite dans ce film, Max est constamment en mouvement si bien que le film fait un peu bâclé. En parlant de point négatif ... la scène finale du Mad Max 2 : The Road Warrior est reprise ici a l'identique : remplacez le camion par un train, la citerne par une roulotte, le méchant catcheur en string par Tina Turner, le punk-homosexuel en chef par un mec qui est tombé dans une cuve de merde avant et voilà ... La toute fin est très jolie, pleine de poésie et le film se laisse regarder.
Ce qui est agréable dans la saga Max Max, c'est que les épisodes sont évolutifs...Après le chaos, Max va contribuer à la pérennité d'une communauté...Ce qui s'avère intéressant après la barbarie aperçu dans les deux premiers volets. Et tant pis si la dite communauté composé d'enfants perdus n'est pas toujours décrit avec pertinence, ni véracité (syndrome Hollywood ?). Les décors sahariens impriment la rétine, l'univers recrée est crédible malgré quelques fautes de gouts typique eighties et Tina Turner est parfaitement à sa place dans le rôle de la chef de clan. Au moins une scène d'anthologie, celle bien sur, du combat entre Mel Gibson et l'armoire à glace à l'intérieur du dôme.
Quel supplice cette trilogie. Moi qui voulais rattraper mon ignorance sur ces modèles du genre, j'aurai mieux fait de rester dans le rêve et la légende. Je crois bien que ce numéro 3 est encore plus mauvais que les 2 premiers, une sorte de Peter Pan mal propre et mal revisité. Je ne retiendrai qu'une seule chose, les vrais seuls nanars de Mel Gibson : la saga Mad Max. Je suis complètement passé à côté de l'univers de cette saga, dommage...
Après deux films novateurs dans le genre post-apocalyptiques, la production australienne de Miller rempile pour un ultime volet. Cependant était-ce vraiment une bonne idée ? On constate que la saga dans ce troisième film commence à partir en vrille, où le délire du primitif régnant sur le monde rivalise avec l'univers de Waterworld. Le début est confus, ne donnant pas de repères au spectateur, à savoir qui est bon ou mauvais ; Miller a apparemment trop puisé dans d'autres sources du fantastique et de l'épique. Nous avons droit à un recopiage de Peter Pan, avec la ville dans la jungle et la théorie du prophète ; la Planète des Singes au niveau des costumes ( ça saute aux yeux ), et Lawrence d'Arabie pour la scène célèbre des sables mouvants. Peut-être est-ce pour cet hommage qu'ils ont engagé Maurice Jarre ( cela dit le thème des Enfants Perdus est très prenant ) ? Le film n'est pas loin d'atteindre les limites du nanard, dans l'univers qui s'emballe et l'esthétisme un peu faiblard ( la photographie des séquences obscures est franchement médiocre ). On a l'impression que la franchise voulait adopter un public plus large.
Autant les deux premiers étaient révolutionnaires et un peu uniques dans leur genre! Autant celui là n'a rien de bon à offrir, du grand n'importe quoi, pas beaucoup d'action et de cascade en voiture!! Du pur gâchis!
Pas le meilleur des 3 (mon préféré reste le deuxième), mais ce volet se laisse bien regarder. On retrouve une ambiance désertique et apocalyptique très sympa et un Mel Gibson en grande forme, à fond dans son rôle. Pour autant, le film - qui démarre très bien avec les combats sous le Dôme - évolue de façon assez bizarre et incompréhensible avec cette histoire de sauveur un peu bof, qui débarque d'on ne sait où. Pas mémorable donc, mais divertissant et classe.
Ce troisième et dernier volet de la trilogie Mad Max commence par une première partie tournée dans l'esprit du premier, mais finit malheureusement dans une seconde partie n'ayant aucun rapport avec ses prédécesseurs, tournée vers le côté burlesque et enfantin, qui nous fait presque regréter sa sortie en salle.
Ce film est un pur navet , j'avais assez aimé le 1 et le 2, mais le 3 est tout simplement nul ! Les WTF s'accumulent et enfoncent de plus en plus le film dans la connerie ! Le début va encore mais après c'est l'avalanche de l'extravagance ! Même l'acteur principal semble perdu au milieu de ce mic-mac incompréhensible !
Prabablement le meilleur des trois, mais qui perd un peu le fil de la trame du début. Ce n'est plus la recherche d'essence, c'est le recherche d'un nouveau monde. Un remake de la trilogie pourrait être sympa avec les effets spéciaux actuel.
(...) il se contentera de réaliser les scènes d'action, laissant les scènes de dialogues à George Ogilvie, un compatriote qui signe son premier film alors qu'il a déjà plus de métier que Miller, hantant les plateaux télé de son Australie natale. Quand au scénario, il est greffé sur un autre projet dans les tiroirs du studio, une adaptation du classique "Sa Majesté les Mouches" avec Max qui découvre ces enfants perdus. A partir de là, quel regard porter sur ce 3ème volet, le plus décevant de tous ? Savoir que ce n'est pas Miller qui réalise l'ensemble du film pourrait donner aux scènes de dialogue un côté un peu plan-pan, plus télévisuel, mais on sent toutefois que ces scènes ont bénéficié d'un travail sur le story-board de Miller avec des mouvements très dynamiques et des raccords parfois hyper audacieux. Les acteurs jouent bien, sans plus, et il manque sans doute une petite pointe de folie, le film ayant un côté trop propre malgré une direction artistique assez incroyable, avec ce monde de poussière, de sable, de merde et de sueur, peu éclairé, peuplé d'âmes tourmentées et de personnages troubles. Tina Turner s'en sort plutôt bien dans ce rôle de leader charismatique mais le background du personnage reste trop peu développé et de manière générale, l'histoire de Trocopolis n'est qu'effleurée tandis que l'irruption des enfants s'intègre de manière maladroite au récit. Cette rupture de ton est mal passée chez moi au premier visionnage et le second se révéla toujours aussi pénible sur ce point. (...) Les scènes d'action que Miller a filmées comptent encore parmi des modèles du genre, agissant de manière générale comme une catharsis sur lui, le genre restant son préféré, lui qui se définit comme très calme et posé dans la vie. Ses cadres, son découpage, la vitesse d’exécution, les raccords insensés, sa façon de filmer la tôle froissée, l'inventivité des cascades et sa faculté à marier horreur et action, tout ce qui faisait la force des films précédents, tout ça est encore là, de manière plus éparse et il se fait même un petit plaisir en rendant hommage au péplum avec ce duel épique entre Blaster et Max devant une foule avide de sang. Les lumières de Dean Semler sont fabuleuses et le spectacle est régulièrement au rendez-vous, faisant du film un opus décevant au sein de la saga mais un produit hautement recommandable au milieu d'une production annuelle moins audacieuse à différents niveaux.La critique complète ici