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Dawasta
67 abonnés
635 critiques
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1,0
Publiée le 22 janvier 2012
1h40 de pur ennui! Ce troisième film est clairement l'épisode de trop. On nage dans le grand n'importe quoi, et on est bien loin de l'ambiance du premier. Ici on a droit à un mauvais film d'aventures pour et avec des enfants, composé de deux parties : la première, passable mais regardable, la seconde, interminable et complètement ridicule. La musique est tout simplement affreuse. Et c'est pas Tina Turner (qu'est ce qu'elle vient faire là?) qui nous sort son rire de méchant de dessin animé qui va relever l’intérêt de ce gros navet. Une catastrophe. (Très mauvais)
Je l’avais vu dans ma jeunesse et je n’en avais pas gardé un grand souvenir. Revu aujourd’hui et il est quand même pas mal surtout la première moitié jusqu’à ce qu’il se fasse exiler de Barter Town. La suite avec les enfants et le retour en ville et un peu trop grand-guignolesque spoiler: (on se retrouve dans le désert, un train est des rails parfaits pas utilisés depuis des centaines d’années t’attendent sagement , bref …) . Reste quand même de l’action, des décors réussi et des personnages haut en couleurs.
Mel Gibson contre Tina Turner. Cette entêtée d'Entity règne sur la ville du Troc, qui puise son énergie dans les excréments de porc. Mad Max doit d'abord affronter un nain juché sur un colosse, qui deviendra son allié ainsi qu'une tribu d'enfants. Du coup, la violence s'atténue. Un peu. Mêmes décors et ambiance postnucléaires bien largement inférieur que l'opus 2. On recycle ses déchets. Ecologique, non ? Euh... Mauvais coche sur ce coup là. Tout ce qui reste, c'est la chanson de Tina pour le film "We don't need another hero".
Des années après l'Apocalypse, la civilisation se reconstruit tant bien que mal. Max, guerrier solitaire, débarque à Barter Town, ville où les prémices de commerce, de technologie, et de lois, reprennent, du moins en apparence. Car notre héros va se retrouver à nouveau au cœur de rivalités et de brutalités... L'histoire du projet "Mad Max 3" débute plutôt mal. Le producteur de la franchise, Byron Kennedy, se tue en hélicoptère en repérant des lieux de tournage. Ce qui laisse à George Miller le poste de réalisateur et de producteur. Celui-ci, visiblement moyennement motivé, se fait épaulé par George Ogilvie à la réalisation, et cela s'en ressent. Car "Mad Max Beyond Thunderdome" est clairement le volet le plus faible de la franchise. Son premier acte est pourtant efficace, avec un héros marqué à la peau dure, une ville cauchemardesque, et le fameux dôme et son combat étonnant. Mais passé cela, le film vire sur de l'aventure bien moins sombre (voire légère par moment !) à la Peter Pan, avec une troupe d'enfants, et ce jusqu'à un dernier acte très artificiel en termes de narration et de péripéties. C'est dommage car il y avait de bonnes idées. Tina Turner a du charisme en reine qui tente de construire une civilisation, aussi dure soit-elle. La poursuite finale est prenante (mais pas autant que celle de "Mad Max 2"), et la BO de Maurice Jarre efficace. Néanmoins tout ceci se suffit pas à compenser les défauts, et "Mad Max Beyond Thunderdome" est à juste titre considéré comme le point bas de la franchise.
Troisième (et dernier pendant 30 ans) volet de la série, Mad Max au-delà du dôme du tonnerre est généralement le moins aimé de la saga. Effectivement, le film possède d’excellents côtés et des aspects plus négatifs. Ainsi, la première partie du film est dans la droite lignée du second épisode même si le monde commence à se réorienter vers une société plus civilisée. George Miller, cette fois associé à la réalisation avec George Ogilvie, nous offre des idées assez fortes comme celle du dôme du tonnerre (avec le mémorable refrain : « Deux hommes entrent, un homme sort ») et des personnages marquants comme le duo Maître/Bombe (Master/Blaster en V.O.) et Entité (Aunty Entity en V.O.). Le coup de génie de Miller et Ogilvie est de faire interpréter cette dernière par Tina Turner. En effet, elle utilise toute son expérience de la scène pour créer son personnage de dirigeante excellente oratrice, sur-jouant volontairement : il est surprenant que la chanteuse n’ait pas réellement continué dans cette voie, vu son charisme. Cette première partie est assez proche du second volet. C’est à partir du second acte que les critiques se font souvent entendre. Au bout de 45 minutes, George Miller et George Ogilvie changent d’univers. Max se retrouve confronté à des enfants ayant recréé une civilisation assez archaïque. L’idéalisation que les enfants font de Max rappelle celle des Ewoks pour C3PO dans Le Retour du Jedi. La référence à ce film, sorti un an avant, peut être assez juste car Mad Max au-delà du dôme du tonnerre est plus orienté vers le grand public que les deux premiers, ce qui est accentué également pendant tout le film par un humour absent du premier et peu présent dans le second. Dès lors, le rythme est moins soutenu et l’intérêt faiblit même si la manière dont les réalisateurs décrivent la création des croyances religieuses dans les sociétés est assez intéressante. Le troisième acte constitue une rencontre entre ces deux civilisations aboutissant à une course-poursuite (il en fallait bien une pour ne pas oublier que nous étions dans un Mad Max). Celle-ci est assez réussie mais est moins palpitante que celle du second volet. De plus, cette partie possède des faiblesses de scénariospoiler: : pourquoi Max estime qu’il faut retrouver Maître ? (on ne le saura jamais), pourquoi la simple évasion des héros dans un camion provoque des explosions dans la ville ?, pourquoi Entité laisse la vie sauve à Max ? ...
Mad Max au-delà du dôme du tonnerre est donc assez inégal. D’un côté, nous avons un scénario beaucoup plus complexe que les précédents épisodes, des décors impressionnants, une séquence marquantespoiler: (celle du combat dans le dôme du tonnerre, rappelant le péplum) , des personnages charismatiques, des idées scénaristiques intéressantesspoiler: (l’utilisation du méthane issu des excréments de porcs pour créer de l’énergie préfigurant les énergies propres qui vont commencer à être développées quelques années après) et une musique très réussie signée par le grand Maurice Jarre. De l’autre, un aspect grand public et un humour peu raccord avec l’univers habituel de Mad Max, un rythme moins soutenu que dans les précédents et de multiples incohérences. De plus, il est assez surprenant de retrouver Bruce Spence dans un personnage proche de celui qu’il interprétait dans le second mais qui n’est pas le même : il est toujours pilote mais il a un enfant et Max et lui ne se connaissent pas au début du film. Cependant, on accepte rapidement cette non-continuité de personnage. Mad Max au-delà du dôme du tonnerre est donc un film à la fois marquant et à la fois décevant se situant dans une série dont les épisodes sont très différents les uns des autres.
Bizarrement, j'ai fonctionné à l'inverse des gens car j'ai trouvé que cet opus était le plus abouti. Certes, on a perdu le lien avec les deux premiers car on dirait limite que ce n'est pas la même histoire mais il y a quelques bonnes choses à retenir. Déjà au niveau des décors, c'est très réussi surtout pour 1985 ; musicalement, c'est beaucoup plus complet et entraînant ; les deux univers utilisés sont bien sympas et il est intéressant de voir que dans le futur, les sociétés ont régressé dans leurs modes de vies, chose qu'on ne voyait pas auparavant. Perso, je me suis moins ennuyé et les acteurs sont bons, même les enfants. Trilogie à découvrir. 12/20.
Finalement, j'ai mis la même note aux trois films. Au début de ce troisième volet, je n'imaginais pas attribuer trois étoiles. Le film démarre timidement et j'ai eu peur que tout se passe dans la ville du troc. Peur parce que ça manque de lumière, ce qui s'y passe est un peu répétitif et ressemble à du déjà vu. Heureusement, ça s'emballe par la suite, un peu trop facilement parfois et la dernière demi-heure est tout bonnement géniale, entre la prise du monde d'en bas et la poursuite à travers le désert !!
Après deux films novateurs dans le genre post-apocalyptiques, la production australienne de Miller rempile pour un ultime volet. Cependant était-ce vraiment une bonne idée ? On constate que la saga dans ce troisième film commence à partir en vrille, où le délire du primitif régnant sur le monde rivalise avec l'univers de Waterworld. Le début est confus, ne donnant pas de repères au spectateur, à savoir qui est bon ou mauvais ; Miller a apparemment trop puisé dans d'autres sources du fantastique et de l'épique. Nous avons droit à un recopiage de Peter Pan, avec la ville dans la jungle et la théorie du prophète ; la Planète des Singes au niveau des costumes ( ça saute aux yeux ), et Lawrence d'Arabie pour la scène célèbre des sables mouvants. Peut-être est-ce pour cet hommage qu'ils ont engagé Maurice Jarre ( cela dit le thème des Enfants Perdus est très prenant ) ? Le film n'est pas loin d'atteindre les limites du nanard, dans l'univers qui s'emballe et l'esthétisme un peu faiblard ( la photographie des séquences obscures est franchement médiocre ). On a l'impression que la franchise voulait adopter un public plus large.
Si les deux premiers Mad Max étaient des films de genre barrés qui savaient utiliser le second degré, ils conservaient un sérieux que dès le départ, ce troisième volet rejette. Verser dans la série B pur jus ? Pourquoi pas, tant que le dosage demeure précis et que le rythme vient effacer les défauts sans laisser trop de temps pour s’appesantir dessus. C'est ainsi qu'est la première partie de ce Dôme du Tonnerre, maintenant plutôt bien l'intérêt malgré un virage série B assez casse-gueule grâce à de l'entrain et un univers plutôt fun. L'espace de 30 minutes, j'ai donc pris du plaisir, un plaisir plus léger et moins marquant que celui que visaient Mad Max 1 et 2, mais ça n'était pas désagréable. Ça, c'était avant que le volet final de cette première trilogie envoie Max diriger une colo de vacances et ne s'enfonce définitivement dans les plus bas tréfonds du navet. Si je met une étoile pour la première demi-heure, je n'en oublie pas moins que la suite aura été interminable, et qu'il y a belle lurette que je n'avais pas trouvé le temps aussi long devant un long-métrage. Un condensé de niaiserie et le gâchis d'un univers qui méritait mieux. Vivement que Fury Road reprenne les rênes et exploite au mieux le potentiel de Mad Max, ce que la première trilogie aura je trouve, eu toutes les peines du Monde à réussir.
Changement radicale pour George Miller pour achever sa trilogie originale Madmax. Surprenant par tous les niveaux, notamment dans son univers "étendue". La début du film est vraiment prenant et intéressant jusqu'à tenter une approche "planète des singes" avant le dernier arc, qui est maîtrisé. Contrairement à la majorité, j'ai beaucoup apprécié ce 3e opus. Visuellement c est toujours aussi impressionnant, ainsi que les décors. On sent un vrai travail et une vraie envie de se renouveler de la part de George Miller et c est un point qui faut souligner. Certes le milieu du film est assez étrange mais au moins, cela se résolve plutôt bien sur sa fin. Une belle tentative qui m'aura satisfait avec toujours une patte significative. On rajoute à cela, la musique cultissime de Tina Turner, et on a une bonne conclusion
Mad Max 3 est souvent considéré comme le moins bon de la trilogie et même comme un mauvais film. A juste titre. S'il contient tout de même quelques idées intéressantes, il n'en demeure pas moins ridicule. L'idée de présenter une civilisation divisée en quête de ses origines et un Max plus humain sur la voie de la délivrance était intéressante mais loin d'être bien menée. Avec beaucoup moins de violence et plus de gags à la limite du risible, le film est enfantin dans sa dernière heure où Max se retrouve propulsé dans la Cité des enfants perdus. Ainsi, seules les 40 premières minutes sont potables, présentant une ville du Troc pas vraiment civilisée gouvernée par une Tina Turner qui a une certaine prestance mais qui n'est pas convaincante. Les combats et les poursuites ne sont pas prenants, à part peut-être le combat sous le dôme du Tonnerre. Restent une mise en scène globalement bonne mais pas aussi furieuse que dans les précédents films et un Mel Gibson toujours aussi bon malgré un personnage moins intéressant. La trilogie termine mal sa route avec ce dernier opus.
Le volet au goût de navet assurément. L'histoire est assez ridicule et le scénario bidon avec une réalisation bien suffisante donc ennuyeuse, l'univers original n'est plus retranscrit, les acteurs mauvais (Tina Turner surtout). A ne surtout pas visionner car digne d'un mauvais téléfilm.
Euh, j'ai envie de dire WTF ? On va oublier 30s que j'ai vu seulement le premier film, que je n'ai pas trop vu de rapport avec ce-dit premier film et juste prendre comme ça vient. Tout d'abord l'histoire : une histoire sans cohérence, sans lien, sans structure. Juste un truc qui est entre le fourre-tout bordélique, le délire sous LSD et le "aller on fait un troisième film parce que c'est bien". Du grand n'importe quoi, un truc sans aucun sens. Je ne sais pas qu'est-ce qui est le pire : la ville marchant aux déjections de cochons (ce qui, hors contexte, est une solution énergétique pas si bête), les "perdus" du capitaine je sais plus quoi, le père aviateur totalement chtarbé, le titre sans rapport avec le film sauf pour 3min, les méchants increvables... Bref, une histoire désastreuse. On ne va pas s’attarder sur les acteurs trop longtemps non plus : Mel Gibson, qui débute le film avec un style à faire pâlir Nicolas Cage himself, ne décolle pas d'un iota ; Tina Turner se couvre de ridicule avec une efficacité déconcertante ; et les autres rôles secondaires sont aussi riches que le vide intersidéral. Un autre désastre. La musique est globalement moyenne : pas de thèmes intéressant, à part peut-être sur 2-3 notes, et ne colle pas toujours au film même si l'ambiance est créée. La mise en scène très classique ne prend pas vraiment de risque, très classique. Peut-être la séquence finale relève l'intérêt. Seul point vraiment positif : les décors, certes désertiques mais la ville de Babertown fait très réaliste ; et les cascades, bien crédibles. Bref, un film catastrophique, un navet sans nom à éviter.
Loin d'avoir de mauvaises idées, certaines sont mêmes cohérentes, d'autres très éloigné de "Mad Max" portent clairement la marque de George Miller, auteur de la saga. Le mélange ne fonctionne tout simplement pas du tout. Si il garde toujours l'aspect héros mythologique, et continue de faire évoluer son futur post apocalyptique vers le renouveau du monde cette fois, la nouvelle orientation "familial", loin de la violence des deux premiers volets a l'effet d'un choc, pire, de s'être trompé de film. On a pas souvent l'impression d'être devant un film appelé "Mad Max". Impression du aux coulisses du film, après que Miller a accepté de réaliser un troisième "Mad Max" avec une colonie d'enfants perdus, le décès de son ami et producteur Byron Kennedy a retiré son intérêt pour le projet. Le résultat à l'écran est bâtard, Miller n'ayant au final pas réalisé grand chose si ce n'est les scènes d'actions et a laissé la mise en image du reste a George Ogilvie, un collaborateur de ses années télés. Toujours interprété par Mel Gibson, Max n'a plus rien d'un anti-héros, se laisse bêtement guidé par les évenements, la scène d'action finale qui est une poursuite ( sans doute l'un des rares moments ou on se sent dans un "Mad Max") comme un cheveux sur la soupe de manière totalement artificiel , et qui se conclue par un foutage de gueule en plus, Tina Turner... Ba elle est là... Au final on ressort de là frustré, parce que ce film est très ennuyeux et porte mal son titre. Ne pas refaire "Mad Max 2" est un risque, mais un risque intéressant au fond pour emmener la saga vers d'autres horizons.