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cinono1
309 abonnés
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3,5
Publiée le 24 mai 2013
Ce qui est agréable dans la saga Max Max, c'est que les épisodes sont évolutifs...Après le chaos, Max va contribuer à la pérennité d'une communauté...Ce qui s'avère intéressant après la barbarie aperçu dans les deux premiers volets. Et tant pis si la dite communauté composé d'enfants perdus n'est pas toujours décrit avec pertinence, ni véracité (syndrome Hollywood ?). Les décors sahariens impriment la rétine, l'univers recrée est crédible malgré quelques fautes de gouts typique eighties et Tina Turner est parfaitement à sa place dans le rôle de la chef de clan. Au moins une scène d'anthologie, celle bien sur, du combat entre Mel Gibson et l'armoire à glace à l'intérieur du dôme.
Dans ce troisième volet,Mel Gibson est toujours confronté à la pénurie d'eau à cause de l'agrandissement des déserts. Les habitants sont aussi fous que dans le deuxième volet. Mais il doit affronter l'inquiétante Entité interprétée par la chanteuse Tina Turner qu'on a beaucoup critiqué négativement sur interprétation de son rôle. L'univers avec les enfants indiens d'Amérique du Sud rend hommage à Peter Pan .
On aurait pu croire que la série Mad Max, forte de moyens qui se modernisent plein pot et d'un budget croissant, pourrait figurer parmi les rares franchises qui ne se sont pas délitées. Et le départ est relativement décent ; on a un peu l'impression d'être sur Tatooine, mais les décors l'emportent une fois de plus, même si ce n'est pas compliqué de tourner dans l'Australie profonde et de dire : regardez, un paysage post-apocalyptique.
Il ne faut pas plus d'un quart d'heure pour lister toutes les grosses erreurs commises par Miller et Ogilvie ; Mad Max 3 carbure à coups de coïncidences hasardeuses, de rapports de force fantaisistes et de combats beaucoup trop hypants pour être honnêtes. Le soi-disant tant attendu duel sous le dôme du tonnerre est une clownerie sans nom arbitrée par une Tina Turner qui a de la chance d'être à l'aise dans son rôle. Puis le scénario part sur un Sa Majesté des Mouches version désert qui fera une rupture horrible avec la première partie et nous introduira dans un monde, quoique bien fait, qui est sans grand intérêt, et dont on sent qu'il n'est qu'un prétexte pour passer à la suite.
Le scénario ne tient pas la route, ce qui la fout mal pour un film basé sur les engins motorisés. Mais ce n'est qu'après une bonne centaine de minutes qu'on va enfin les ressortir ; à ce stade, c'est ce qu'il y a de plus intéressant de toute manière. Avant ça, il faut supporter les clichés (les grands sont bêtes) et le choix des alliés de Max (fait à la courte paille, visiblement, puisque rien ne vient le justifier). Il faut aussi composer avec une musique de Maurice Jarre totalement inadéquate et un humour qui, non content de rarement faire rire, est souvent de mauvais goût puisqu'il nous est difficile de croire à la mort tellement elle est rendue bassement comique. Pas la meilleure des transitions entre l'ancienne et la nouvelle série Mad Max.
4 ans après le second opus, George Miller rempile pour de nouvelles aventures de notre pote Max le survivant. Direction Trocpolis où on est quand même surpris d'y trouver Tina Turner. Ce volet offre en fait un sentiment mitigé ; si on retrouve dans la première partie ce monde post-apocalyptique qui nous fascine (le combat dans le Dôme du tonnerre frise toutefois aujourd'hui le ridicule), on a ensuite une autre pour le moins étonnante. Passé ce moment de circonspection, on se console avec cette poursuite finale où l'on retrouve l'extravagance du réalisateur. Mad Max : Au-delà du Dôme du tonnerre apporte donc une amère déception ; après avoir goûté à l'excellence de Mad Max 2 : Le défi il est difficile de se contenter de cet épisode ronronnant.
Le troisième épisode de la saga culte Mad Max est décevant. Malgré que les acteurs sont bons avec des costumes toujours kitch, et que le film possède son lot de décors impressionnants, cette troisième aventure apocalyptique ne parvient pas retrouver le souffle épique des deux films précédents. Le scénario n'a pas grand chose à offrir et donne l’impression de tourné en rond pendant plus d'une heure. Les scènes d'actions et course-poursuites motorisés dans le désert Australien ont un petit cote novateur, du moins en apparence mais, elles deviennent trop banales pour qu'elle créé un véritable impact chez le spectateur. La plus grande aventure de Max est loin d’être ce troisième film qui s'écarte de la continuité chronologique de la franchise. En effet, Mad Max 3 n'est pas la suite du deuxième film. Ce Mad Max à plutôt l'aspect d'un remake que d'une suite direct. C'est le cas, puisque le quatrième film qui viens de sortir en salles est une vrai suite de Mad Max 2, Le Défi. Pour de nombreux fans, la plus grande aventure de Max c'est le deuxième film. C'est bien vrai. Mais, il est fort a parier que le dernier film, frappera plus fort que le deuxième volet. La Bande-Annonce, nous annonces du lourd. Ce sera peut être la plus grande aventure de Max. On verra bien. Pour terminer sur cette critique, la dernière chose à dire sur cette troisième aventure du Guerrier de la Route, c'est qu'elle souffre d'un véritable handicap. Son manque d'originalité.
Après les deux premiers opus de la saga " Mad max", Georges Miller éprouva quelques difficultés à se renouveler dans son troisième chapitre et on le comprend.
Aujourd'hui on ne souvient pas forcément que le premier volet réalisé avec peu de moyens et sorti dans peu de salles, reçut un accueil public miraculeux. Les suites ne furent pensées qu'à l'aune de ce succès inattendu.
La ressortie en salles de la série des quatre films ( le dernier fût réalisé plusieurs décennies après ce " dôme du tonnerre ") permet de reconsidérer ce troisième volet qui fait figure de parent pauvre auprès des aficionados.
Certes, moins accompli, il n'en reste pas moins qu'il est loin d'être sans intérêt, même si la transition entre ses deux parties est trop longue et surtout un peu ratée ( partie qui se déroule dans le campement des enfants et adolescents).
Il n'en reste pas moins que la première demi-heure ( sans doute ce que le "dôme du tonnerre " propose de mieux ) et la dernière méritent largement de le visionner.
On relèvera le casting dominé par la chanteuse de soul, très sexy Tina Turner, qu'on ne voit malheureusement pas suffisamment mais qui trouve néanmoins le moyen d'éclipser Mel Gibson.
On rappellera que cet acteur de talent ( il passa aussi par la suite a la réalisation) charismatique, trouvera le moyen, après avoir atteint le statut de vedette internationale, de se mettre à dos une partie de la profession par ses déclarations publques stupides et insultantes.
Ces épisodes fâcheux et renouvelés finirent par avoir raison de sa carrière. Bref, le Mad max de l'écran portait bien son nom à la ville.
Distrayant et moins violent que les deux précédents volets, " le dôme du tonnerre " parvient, presque quatre décennies après sa sortie, à ne pas avoir pris une ride.
Vraiment pas convaincu par ce troisième volet des aventures de Mad Max. Il y a toujours évidemment une excellente ambiance et mise en scène mais tellement loin de l’ambiance post-apocalyptique décomplexée du second film avec ses courses poursuites à gogo. Seule la fin du film vient effleurer l’ampleur des deux premiers films sinon, l’intrigue est très ennuyante à mon sens, ça ne m'a pas du tout absorbé. Bien dommage.
Le troisième volet de la saga est malheureusement une coche en dessous du deuxième film. L'histoire est assez intéressante et originale, mais trop décousue à mon goût. Quant aux acteurs, il n'y a rien de bien flamboyant, mais on peut quand même observer l'amélioration du jeu de Mel Gibson et les débuts de Tina Turner. Il me tarde à présent de voir le 4e volet de Mad Max.
Après des années spoiler: d'errance dans le Wasteland, Max s'est parfaitement adapté à la survie dans la nature sauvage du désert .
C'est alors que spoiler: son attelage de chameaux est volé avec le peu de matériel qui lui restait .
Dépouillé de spoiler: tous ses biens, il arrive dans la cité marchande de Bartetown, qui bénéficie du savoir d'un esprit ingénieux – qui lui a redonné une source d'énergie afin de la faire vivre et se développer – tout en le réduisant au travail forcé et à l'esclavage ; comme tous ceux qui n'acceptent pas le règne de ceux qui s’autoproclament « dirigeants » .
Max devra spoiler: affronter le Dôme du Tonnerre, avec son sens de l'éthique et les valeurs qui font de lui un héros. Ce qui lui vaudra un exil aux confins du Wasteland .
Au bord de spoiler: la mort, il sera secouru par une tribu d'enfants et d'adolescents ayant survécu à un crash d'avion, qui se sont réfugiés dans une oasis où ils ont développé leur propre société autosuffisante .
Ils croient que spoiler: Max est en fait le « Capitaine Walker », l'élu de la prophétie, qui les sauvera et les ramènera au « Pays de demain-demain » .
Max va spoiler: libérer Bartettown avec l'aide de ses nouveaux alliés puis les envoyer en terre promise, où, sur les ruines de ce qui fut Sydney, ils pourront effectivement tenter de reconstruire le monde de demain.
Après avoir spoiler: ibéré les opprimés et leur avoir redonné espoir, Max retournera au cauchemar éveillé du monde qui lui a tout pris, sauf sa vie physique l.
Après la mort de son ami et producteur Byron Kennedy, dans un accident d'hélicoptère, George Miller perdit l’intérêt pour le projet, mais finit par accepter de réaliser ce troisième volet des aventures dystopique de Mad Max Rockatansky dans l’outback australien post-apocalyptique avec l’aide de George Ogilvie.
Bien heureusement pour nous, car c’est l’épisode le plus accompli, après la dyptique initiale entre 1979 et 1981, et avant le grand retour trente ans après dans « Fury Road » en 2015.
George nous plonge dans un brillant mélange de spoiler: Far West et de Rome antique dans lequel les survivants de l’apocalypse n’en sont pas devenus plus sages pour autant. Au contraire, la majorité de ceux qui forment la communauté de Bordertown sont aussi avides et corrompus que ceux qui ont mené l’humanité à l’holocauste nucléaire. Et seule l’arrivée de Max « le fou » et de la tribu des enfants perdus pourra délivrer ceux qui souffrent dans cet enfer sur terre, où seule règne la loi du plus fort et du plus pervers .
La scène du spoiler: Dôme du Tonnerre en pleine d’enseignement sur ce que sont ceux qui cherchent toujours à oppresser et à profiter malhonnêtement, et sur ce que veut vraiment dire être « humain ». Tout comme la bataille finale et l’épilogue , qui closent parfaitement la Trilogie Maxienne du vingtième siècle.
Plus George Miller progresse dans sa série dystopique postapocalyptique, plus il se rapproche du chef-d'œuvre ultime.
Oui "Mad Max 3" n'est pas aussi définitif que ses deux ainés, il y a moins de vigueur et de fulgurance dans la mise en scène, l'humour a pris le pas sur la violence sèche. L'univers de Mad Max nous parait un peu moins sombre (c'est pas disney non plus) et la fin du film laisse un gout beaucoup moins nihiliste qu'avant. Le point positif de ce troisième opus c'est sa manière de reprendre les acquis du deuxième opus (terre dévastée, gangs violents habillés SM, véhicule custumisé...) pour densifier un peu plus cet univers et la mythologie Mad Max, il est vraiment jubilatoire d'évoluer dans ce monde post-apocalyptique à côté de Max. Après le film reste grosso modo un remake aseptisé de "Mad Max 2" (Max accepte une mission pour récupérer son véhicule et ses affaires, péripéties, course poursuite finale) auquel on a rajouté une tribu de gosse pour rendre le tout plus exotique et moins austère que dans le 2. Il reste de sacré bon moment, comme le combat dans le dôme, ou la course poursuite finale qui, sans atteindre le degré d'intensité et de maitrise du 2, se révèle sacrément efficace et bien emballé.
Nous devions être à l'époque des fans inconditionnels de Max le fou et du beau Mel pour apprécier ce désastreux troisième épisode de ses aventures, car aujourd'hui, 23 ans plus tard, il n'y a plus rien de regardable dans ce "Mad Max Au-delà du Dôme du Tonnerre" : recyclage sans imagination des trouvailles du second épisode, absence de cette énergie folle que Miller savait insuffler à sa mise en scène (ici abandonnée au tâcheron Ogilvie), crétinerie sans nom d'un scénario sci-fi / new age, vide abyssal des personnages (plus caricatural que la Turner, tu meurs...), on se demande bien ce qu'il y aurait à sauver dans ce film morne, à l'esthétisme conventionnel (plans splendides du désert, si si !) et à la musique insupportable (on savait que l'utilisation "hollywoodienne classique" de la musique est une passion de Miller, mais ici, il s'est laissé déborder !). A oublier, et très vite !
S'éloignant toujours plus de ses origines, "Mad Max au-delà du Dôme du Tonnerre" est sans nul doute le volet le plus raté de la célèbre saga de science-fiction lancé par Georges Miller. Casting folklorique mené par Mel Gibson, scénario peu inspiré et ambiance rappelant une mauvaise série B, ce 3ème volet est en résumé un bel échec. Le second marquait déjà un fossé avec le 1er mais celui-ci est inqualifiable. Combat ridicule, surprises pas si surprenantes, perte totale des sources qui ont fait autrefois le succès de la saga, telles sont les caractéristiques qui font de ce film un navet que l'on se doit d'éviter.
Il s’agit à ce jour du film qui m’a le plus déconcerté dans la franchise. J’ai apprécié le fait de retrouver l’ambiance post-apocalyptique caractéristique de la saga. Cependant, malgré de bonnes trouvailles, j’estime qu’il n’y a pas ici la même cohérence que dans les autres opus, peut-être parce que ces derniers sont plus simples. Max se rend dans une ville après avoir été dépouillé de ses affaires et va se trouver impliqué dans les conflits internes des personnes influentes au sein de cette cité. Les personnages restent dans l’ensemble intéressants, toujours caractérisés par cette extravagance qui personnifie la saga. Toutefois, j’ai trouvé la deuxième partie un petit peu en décalage avec le rythme qu’il y avait dans les autres films de la série. Malgré cela, les scènes d’action et de poursuites en véhicule sont bien présentes, elles restent dans l’esprit de la saga. De plus, il est plaisant de retrouver le personnage de Max, toujours efficacement interprété par Mel Gibson. De ce fait, j’ai passé un bon moment.
Alors là, agréablement surpris ! On ose dire que c'est le pire des trois ? Dîtes donc tête de banane ? J'ai beau avoir vu le premier, il n'en reste pas moins vide de scenar et réellement dépassé. Le premier ressemble à un sous Dule de spielberg. Ce troisième morceu est grand spectacle alors que le premier est tout à fait pour autiste cinématographique. Vraiment ! l'idée des porcs à méthane ! On est entre le "Dune" de Lynch et on se doute que Spielberg a pompé pour ses enfants perdus de "Hook". Le 3ème est bien barré mais il tient la route, c'est son côté grand public qui peut attirer les foules à voir les premier et deuxième opus par curiosité. La zik, très sympa ! Et pour l'anticipation alors là chapeau ! Nan je dis merci pour le spectacle !