Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
7 critiques presse
Critikat.com
par Clément Graminiès
"La Belle" a, sous ses apparats d'une douceur infinie, les aspects d'une jolie revanche : celle du pouvoir de l'imaginaire capable de transfigurer la plus banale des réalités.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
[...] ce splendide film noir et blanc éblouit par sa mise en scène virtuose, à la fois millimétrée et résolument ouverte à la digression philosophique et à l’introspection. S’en dégage une sensation de grâce, de liberté et de sincérité qui colle bien à la beauté solaire des enfants du film.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Bande à part
par François-Xavier Taboni
"La Belle" est le portrait très juste d’une bande d’enfants, dominé par la lumineuse révélation qu'est la petite Inga Mickyte.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Les Inrockuptibles
par Jacky Goldberg
Moins directement politique que certains de ses contemporains (Milos Forman en Tchécoslovaquie, Andrzej Wajda en Pologne, Miklós Jancsó en Hongrie), Arunas Zebriunas l’est tout de même, subtilement, en filmant une ville qui s’ennuie, se languit et s’affaisse.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Télérama
par Nicolas Didier
Subtillement, La Belle évoque l'espoir des habitants de voir l'URSS s'effondrer et les beaux jours revenir.
Première
par Christophe Narbonne
L’influence de la Nouvelle Vague est manifeste dans ce film libre, à la matière décousue, qui dessine un généreux portrait de l’enfance sur lequel planent mystères, peurs et enchantements.
La critique complète est disponible sur le site Première
Les Fiches du Cinéma
par Paul Fabreuil
En mariant naturel du cinéma néoréaliste et artificialité de la bande-son post-synchronisée, ce film lituanien de 1969 frise le ridicule.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Critikat.com
"La Belle" a, sous ses apparats d'une douceur infinie, les aspects d'une jolie revanche : celle du pouvoir de l'imaginaire capable de transfigurer la plus banale des réalités.
Le Journal du Dimanche
[...] ce splendide film noir et blanc éblouit par sa mise en scène virtuose, à la fois millimétrée et résolument ouverte à la digression philosophique et à l’introspection. S’en dégage une sensation de grâce, de liberté et de sincérité qui colle bien à la beauté solaire des enfants du film.
Bande à part
"La Belle" est le portrait très juste d’une bande d’enfants, dominé par la lumineuse révélation qu'est la petite Inga Mickyte.
Les Inrockuptibles
Moins directement politique que certains de ses contemporains (Milos Forman en Tchécoslovaquie, Andrzej Wajda en Pologne, Miklós Jancsó en Hongrie), Arunas Zebriunas l’est tout de même, subtilement, en filmant une ville qui s’ennuie, se languit et s’affaisse.
Télérama
Subtillement, La Belle évoque l'espoir des habitants de voir l'URSS s'effondrer et les beaux jours revenir.
Première
L’influence de la Nouvelle Vague est manifeste dans ce film libre, à la matière décousue, qui dessine un généreux portrait de l’enfance sur lequel planent mystères, peurs et enchantements.
Les Fiches du Cinéma
En mariant naturel du cinéma néoréaliste et artificialité de la bande-son post-synchronisée, ce film lituanien de 1969 frise le ridicule.