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Ghibliste
76 abonnés
577 critiques
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4,5
Publiée le 24 octobre 2014
Michael Corleone se fait vieux, usé et fatigué, alors il veut se ranger, avec sa famille, quelque peu réduite... mais cela sera-t-il possible avec toutes ses casseroles aux fesses ? "Le Parrain III" joue bien plus sur la corde sensible, parfois un peu trop d'ailleurs, avec quelques séquences où l'on croirait entendre les violons de sortie... Le scénario est un peu moins puissant aussi, malgré quelques scènes marquantes (l'attaque à l'hélico, la confession, le final sur les marches, etc....), mais ça reste du très lourd, une belle conclusion, plutôt habile et inattendue, malgré quelques facilités et petits ratés sur 2-3 scènes à la fin... Al Pacino est toujours aussi génial, dans un registre plus sensible, Andy Garcia s'en sort très bien, les femmes un peu moins je trouve (à part Talia Shire), et on a toujours droit à une galerie de tronches pas possibles ! ^^ Un dernier volet qui fait honneur au monument qu'est la trilogie de Francis Ford Coppola.
Le parrain 3 est encore une réussite incroyable. Même s'il n'est pas aussi parfait que les deux premiers, ce dernier volet est intense et captivant comme les autres. Le parrain n'est pas l'un des trilogies les plus cultes du cinéma pour rien après tout!
Un film acceptable mais pas digne d'être la suite des 2 précédents opus.Al Pacino m'est clairement apparu moins imposant, le scénario, le ton sont une déception.
Difficile de finir une telle histoire aprés les 2 précédents et c'est d'ailleurs uniquement le fait d'avoir vu les 2 autres avant et rien d'autre qui m'aura "tenu en haleine" devant ce Parrain 3. S'il ne se prend pas les pieds dans le tapis Coppola met la poussière dessous en balançant vite fait certaines parties de l'intrigue et en prolongeant d'autres moments plus "larmoyants" qui à force de repetition finissent par lasser. Au final j'ai commencé à decrocher bien avant une fin apocalyptique à la quelle je n'ai du coup plus compris grand chose. Tel est le sens de ce film: tu peux vouloir lacher la mafia, la mafia, elle, ne te lachera pas, tout comme la lassitude qui a commencé à me prendre dans la dernière heure de ce film longuet. Dommage.
Un voile noir se pose sur ce dernier épisode de la vie des Corleone. Un Don qui cherche la rédemption et la relève qui presse pour reconquérir l'autorité que les années ont laissée filé. Andy Garcia est parfait, il colle parfaitement à son personnage et redonne un peu de peps à une trilogie très parlante. On retrouve un peu des ressorts qui ont fait l'intensité du premier volet; plus violent, plus tranchant, avec des moments de grâce. Coppola use toujours des mêmes thèmes, de la même mise en image, les banquets, les fêtes de famille et puis comme dans un drame grecque, il y a l'opéra où la tension monte crescendo jusqu'au final, quintessence de la douleur de chacun. Le don finira seul, comme dans une peinture morte, faisant partie d'un paysage pur, il n'y a que cette dernière image qui reste pure sur le terre des Corleone.
Un troisième opus très émouvant, en forme de tragédie qui fait la part belle aux personnages. La saga continue et Coppola nous offre un dernier épisode de qualité, qui rappelle un peu le premier : une fin de règne, une atmosphère crépusculaire, un passage de témoin, le tout en plein milieu d'une intrigue dense et machiavélique. Mais Pacino n'est pas Brando, et son aura a un peu disparu dans ce film. Andy Garcia, quant à lui est génial et les personnages féminins prennent une dimension particulière, notamment celui de Sofia Coppola. On retrouve aussi une mise en scène délicate et feutrée qui sied parfaitement à l'histoire. Le tout est donc assez poignant et toujours de qualité.
Une fin que je trouve personnellement grandiose et qui en plus nous offre des références historiques. La fin est toujours le meilleurs moment et là il l'était vraiment.
Que dire que se film est parfais ses vrai car , le scénario est très bien amener et nous plonge dans un monde ou la mafia est partout est contrôle tous même le Vatican .
Dix-huit ans après la sortie du premier opus et seize ans après celle du deuxième opus, voici la conclusion dont cette trilogie grandiose avait besoin pour se finir magistralement.
Presque aussi magistral que ses deux prédécesseurs, Le Parrain 3 conclue la trilogie dans le plus grand spectacle. Filmé comme un opéra grandeur nature, le film marie une beauté graphique époustouflante a une intrigue spectaculaire. Vieux et affaibli, Michael Corleone tente de se repentir de ses pêchés, notamment au niveau de l'église et du Vatican. Mais les ennemis du passé vont vite le rattraper. Un chef d’œuvre inoubliable, dôté d'une fin magistrale, dans la lignée des deux premiers opus.
Une troisième film de la saga Le Parrain plus intéressant et plus vivant que les deux premier. Le contexte est bien plus stimulant que ces précédents et je trouve que cela implique plus la famille de la mafia. Le film donne toujours aussi une image réel de la mafia de l'Amérique d'antan. Un casting est aussi solide que le deuxième avec Al Pacino pas mal dans son rôle et d'un Andy Garcia convaincant. Cependant, je me suis pas mal ennuyé car c'est vraiment pas le genre de film que je regarde malgré qu'il y a peu plus d'actions. Des décors et des costumes bien adaptés par rapport à l'époque déroulant le film. La durée du film est très long que j'ai failli m'endormir. Un film que je n'envisage pas de le regarder.