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Thomas Stockman
6 critiques
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4,5
Publiée le 10 février 2021
Le Parrain III est sublime, l'image, le montage, la musique, le jeux d'acteur, tout. Le dernier plan est selon moi le plus tragique des films type mafia americo/italienne. spoiler:
Une troisième et dernière partie encore une foie réussie, je prend un agréable plaisir devant cette franchise devenue cultes, "Le Parrain" reste et restera le classique des films de mafieux.
Énorme déception. J'ai vu les 3 films à la suite et celui ci souffre cruellement de la comparaison avec les précédents. Le scénario est nettement moins intéressant. Mais le gros point négatif du film réside dans des nouveaux personnages ni attachants ni credibles. Vincent et Mary sont même carrément agaçants et leur jeu d'acteur laisse complètement à désirer. Alors que les 2 premiers opus bénéficiaient du talent de très grands acteurs, ce 3e film apparaît très "bas de gamme" en terme de casting... L'immense talent d'Al Pacino (qui a dû se sentir bien seul !) ne peut suffire à remonter le niveau global de ce film très dispensable. Mieux vaut considérer "le Parrain" comme un diptyque.
Un tatinet en dessous des deux premiers mais ça reste un grand chef d'oeuvre. Al Pacino excelle encore une fois. Une très belle fin pour une des meilleurs sagas de l'histoire du cinéma !
Même si cela reste du grand cinéma, avec un Al Pacino encore une fois sobre, excellent et un Andy Garcia à la hauteur pour prendre la relève, ce Parrain 3eme partie n'atteint pas le niveau de ces prédécesseurs... Peut être par un léger manque de puissance dramatique malgrés la scène finale de l'opèra de haut niveau....la boucle est bouclée.
La troisième partie de cette série de fil était juste excellente elle mérite mes louanges ! Pour ma part c'est le meilleur film "Le Parrain" car tout était lucide même les scènes en Italien j'été content d'avoir vu Vincenzo (Andy Gracia) qui joue parfaitement ce rôle j'aimerais bien voir le parrain 4 mais cela est juste impossible car il n'est jamais sorti ça aurait été au plaisir de voir Andy dans le rôle du chef de la famille Don Corleone bref cette troisième parti à été énorme merci à Francis Ford Coppola !
Pour beaucoup, ce troisième volet de la saga Corleone est le plus faible. Je suis loin d'être de cet avis , et me concernant c'est le meilleur de tous. On retrouve un Michael vieilli, montrant une image de lui droite et honnête, s'acoquine avec le Vatican et sent que le temps de la succession est proche. Le casting est excellent ( Sofia Coppola notamment) mais je trouve dommage de ne pas revoir Robert Duvall, présent dans les deux premiers films notamment. Tremplin pour deux futurs acteurs renommés: Andy Garcia , jouant le fils illégitime de Sony,le frère de Michael, et un certain Joe Mantegna , incarnant le détestable Joe Zaza. Alors que tout semble s'arranger pour Corleone,une conspiration due a un de ses " amis"de la mafia ( Don altobello) fera que rien ne se terminera bien. La scène finale, est éblouissante et magnifiquement filmée.Jamais Al Pacino n'a démontré une telle puissance dans son jeu d'acteur. La boucle est bouclée.
Je profite du confinement pour revoir la saga Le Parrain, Et comme à chaque fois je réalise que le troisième volet est peut-être le meilleur! Sous-estimé depuis trop longtemps, ce film est un chef-d'œuvre qui conclut une des plus grandes tragédies cinématographiques du XXe siècle. Du scénario au casting au décor, c'est une leçon de cinéma qui fini en apothéose et qui fonctionne à chaque visionnage.
Bien que le dernier et sans doute le moins aimé de la "saga" Coppola est encore Coppola ! . Une mise en scène sublime qui plonge dans l'abîme des Corleone . La scène de l'opéra est à elle seule une leçon de cinéma . Je suis moins à l'aise quand au dernier plan du film . La fin de Michael Corleone méritait sans doute mieux que cette expédition à la va vite mais bon sang quel panache !
Suite et fin de la trilogie familiale des Corleone avec un nouveau personnage charismatique interprété par Andy Garcia, le neveu de Michaël. J’ai apprécié ce nouveau venu qui amène un certain mystère à l’intrigue. Je ne m’étendrai pas sur les scènes avec Sofia Coppola que je n’ai pas trouvée crédible. Sinon, j’ai aimé les scènes d’action, bien faites, comportant une vraie tension. Mention spéciale à la scène finale qui, sans rien dévoiler, fait monter le suspens, sur fond d’opéra, à la fois très beau et très efficace en terme de tension et d’accompagnement de l’action. En revanche, j’ai trouvé que ce dernier opus manquait un peu de rythme. C’est un peu lent, les scènes de nostalgie et l’évocation des souvenirs du passé n’apportent pas grand chose (« la porte de la maison où habitait mon père », « la chambre où je pensais à toi »...). Contrairement aux précédents films, même si le mythique Don Vito est évoqué, on ne ressent pas le poids de sa présence (malgré son absence), les quelques souvenirs évoqués ne le permettent pas. C’est peut être voulu pour montrer que Mickael a bel et bien pris la place de son père, sauf que celui ci n’a - à mon sens - pas la carrure et l’envergure d’un Marlon Brando. À mon sens, ce dernier film est vraiment pas mal, mais un cran en dessous des précédents.
Épilogue de la trilogie mafieuse réalisée par Francis Ford Coppola, cette troisième partie prend place seize années après les événements du précédent film. La soixantaine bien entamée, le "Cappo di tutti i capi" ("chef de tous les chefs") Michael Corleone réalise que sa fin de vie approche et cherche à légitimer l'immense empire qu'il a construit au cours de son règne sanglant. La plupart des membres de sa famille ont disparu et les rares proches qui lui restent n'ont pas l'intention de poursuivre son entreprise, si ce n'est Vincent Mancini, le fils de Sonny, assassiné durant le premier film. En multipliant les dons au Vatican et en investissant dans une importante société immobilière internationale, le Parrain espère laisser derrière lui la vie de mafieux pour assurer à sa famille un avenir confortable et sûr. Mais Michael Corleone réalise rapidement que la violence et la corruption ne sont pas inhérentes au milieu des gangsters. Inspirée du scandale de la banque italienne Banco Ambrosiano en 1982 (étroitement liée à la Mafia) et de la mort du pape Jean-Paul Ier (dont les circonstances de la mort nourrissent encore aujourd'hui de nombreuses spéculations), l'intrigue qui conclue cette sage légendaire initiée en 1972 a moins convaincu les critiques lors de sa sortie que celle des deux volets précédents. D'ailleurs, Coppola lui-même ne considère pas vraiment ce troisième film comme une oeuvre à part entière de la trilogie, mais plutôt comme un épilogue, une conclusion "bonus". Toutefois, je trouve que ce jugement, tant de la part du réalisateur que du public, n'est pas mérité. Bien qu'en-deçà du premier volet, cette troisième partie présente un niveau plus qu'acceptable et ne doit pas souffrir d'une comparaison avec ses prédécesseurs. Profitant d'une belle photographie, d'un Al Paccino à l'apogée de sa performance dans la peau du Parrain et d'une séduisante et attachante Sofia Coppola dans le rôle de la fille Corleone, cette conclusion mérite d'être observée au même titre que les deux premiers films.
Un troisième opus montrant un parrain plus humain, à l'age mur. La relation avec sa fille, son ex femme et son neveu est au centre de l'histoire. Un des intérêt est également de montrer la difficile transition du monde de le délinquance vers celui des affaires légales : investissement dans des activités légales, création d'une fondation de charité, liens avec le Vatican. Pour le reste l'intrigue est tirée par les cheveux et difficile à suivre. Davantage de violence, de spectacle, des beaux décors en Sicile et à New York, on se rapproche d'un film de gangster pas très original. Pacino et Garcia jouent très bien. La presse de l'époque étrille Sofia Coppola qui pourtant a une réelle présence. On lui aura probablement reprocher de jouer à 19 ans dans un film de son père.
Personnellement, je trouve cette partie nettement meilleure que la précédente. On sent davantage qu'on est dans une suite du Parrain qu'avec la deuxième partie. Inclure le vatican dans l'intrigue est une super idée selon moi. Aussi, investir les enfants des protagonistes du premier volet m'a plus. Andy Garcia propos une interprétation parfaite du fils de Sonny (coup de coeur de ce troisième volet). J'ai trouvé que la manière dont est abordé ce "Parrain" est plus cadencé, plus moderne même si Michael est vieillissant. Ce volet clos avec brio la trilogie en apportant une réflexion supplémentaire sur le pouvoir et les sacrifices qu'il engage dans ce milieu des "familles". Un final irréprochable, ni trop long, ni trop court, juste efficace.