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Un visiteur
5,0
Publiée le 17 mars 2008
Bien que considéré comme étant inférieur aux deux précédents film pour certain,le Parrain 3ème Partie clos néanmoins magnifiquement la saga. C'est un Michael Corleone fatigué et énormément attachant (comparer au deuxième film) qui apparait dans ce film. Si ce n'est pas le film le plus représentatif de la saga,il s'agit surement de l'opus le plus émouvant.
Troisième volet de la trilogie culte !!! Un film excellent, magistral, un des meilleurs de tous les temps. Al Pacino jouant excellement !!! C'est l'histoire d'une famille au sein de la mafia, c'est le volet de la rédemption !!!
Encore un chef d'oeuvre dans la lignée du Parrain I et du Parrain II ! Le scénario est encore super ! Les acteurs sont EXCELLENTS ! Cette fois, Andy Garcia succède à De Niro .... A VOIR ABSOLUMENT pour ce qui ne l'ont pas encore vu !
Ca c'est du film. C'est même du très grand film. The GodFather, quel film, quel plaisir! Troisième opus de la saga de Coppola, cette troisième partie est très impréssionante. Coppola a réunis tout les grands acteurs Italo-ricains une fois de plus pour en faire un film plus touchant que les autres, on s'intéresse ici davantage à la fille ( Fofia Coppola! Eh oui ) du Godfather, alias Al Pacino, et sa relation avec son cousin germain ( Andy Garcia! ). On assiste aussi à une reflexion sur la psychologie du parrain, de comment il en est arrivé là, que son seul moyen de résoudre les problèmes étainet d'éliminer lles sujets en question, où son univers se résolvait à la violence, le pognon et sa famille d'abord et les autres F*** Them. Ce film est tout simplement génial même si malgrès tout il y a de nombreuses longueurs, le film tient la route. Surtout à ne pas voir avant la Part I et la Part II. Trilogie indispensable
Qu’elle superbe suite et fin de la trilogie du Parrain. L’histoire est toujours aussi passionnante. Les acteurs sont fantastiques pour ne pas dire extraordinaires. L’une des meilleures trilogies depuis le début du cinéma. Beaucoup estime que cette suite est inferieure aux précédents opus, mais moi je ne suis pas d’accord car c’est une merveilleuse clôture.
Tout le monde le dit le plus mauvais des trois, je ne suis pas daccord! Soit, avec la sublime fin du 2, on ne comprend pas ne serais-ce que Coppolas est fait une suite. Jusqu'à la dernière demi-heure, je constate que c'est un film plein de rythme, de poêsie, d'amour, d'humour. Un bon film mais, vu les deux précédents, juste pas mal. J'aurais sûrement mis 2 étoiles. Mais, la fin change complétement mon jugement: finalement, Coppola a bien fait. Pour moi, il est mieux que la partie 2.
Même si ce qui se produit dans ce troisième et dernier film clos la boucle, même si cela peut sembler logique, mérité vu la vie du Parrain, on partage les émotions de celui-ci spoiler: et ces émotions sont la douleur, la tristesse , j'aurais aimé une autre fin. Mais cela n'en reste pas moins un beau film, fort.
Alors la magnifique mais ce qui m'a le plus touché c'est la fin et la solitude du personnage de Pacino, le cri étoufé qu'il a, quel grand acteur, quel grand film, quelle grande fin rien a redire Copola... c'est un dieu :D
Les fans de la saga ne seront pas déçu par cet ultime opus. On n'y retrouve tous ce qui à fait le succés des 2 précédants film, notamment un grand Al Pacino, un trés bon second rôle ( Nicolas Cage ), et encore et toujours de très bon dialogues. Ce dernier épisode clos les aventures de la famille Corleone avec brio, la réalisation de Coppola reste très appliquée. L'histoire est encore une fois encore bien ficellée, et le final est superbe et prenant, surtout pour ceux qui ont suivie la saga. Au final ce dernier film, malgré les années de décalage avec les deux premiers ne déçoit pas loins de la. Néanmoins les fans préfererons sans doute le tout premier. Il reste que pour voire ce film il vaut mieux avoir vu les deux précédents pour apprécier pleinnement ce final réussi.
Le dernier segment de la trilogie du "Parrain" a beau être le moins réussi de la saga sicilienne, il n'en reste pas moins un excellent film ! Il faut dire que le film partait avec de nombreux handicaps à commencer par les absences de Marlon Brando, Robert De Niro et, plus étonnant, de Robert Duvall. Mais Francis Ford Coppola a su colmater les brèches de ce casting en étoffant le rôle de Talia Shire et de Diane Keaton et en faisant appel au fougueux Andy Garcia, à la fragile Sofia Coppola et au fourbe Eli Wallach. Pas évident non plus de reprendre le flambeau après 2 épisodes rentrés au Panthéon du 7e art surtout 15 ans après le dernier épisode. Coppola a néanmoins compris que la réussite de son film reposerait sur un équilibre entre l’impératif de renouvellement (indispensable pour éviter de sombrer dans le déjà vu) et son obligation de fidélité aux codes de la mythologie du "Parrain". Le scénario reprend donc les ficelles de la saga (sens de la famille, trahison, honneur…) en mêlant la petite histoire à la grande (la mort du Pape Jean-Paul I) mais s'attarde davantage sur l'usure du pouvoir avec un Al Pacino vieillissant en quête de rédemption. L’acteur livre peut-être l’une de ses meilleures prestations, notamment lors du final sous forme de tragédie grecque. Toute la fatalité du destin semble alors se résumer à son regard usé. Malheureusement, l’interprétation époustouflante de Pacino est également le principal défaut du film puisque, à part lui (et, dans une moindre mesure, Andy Garcia), aucun acteur du film ne peut se targuer de livrer une prestation aussi mémorable que celle des Brando et autres De Niro des 2 premiers opus. "Le Parrain 3" souffre également de son année de production, les années 90 étant visiblement moins adaptées au ton classieux de la saga très marquée 70’s. Il n’en reste pas moins que ce dernier épisode conclut parfaitement la saga (quelle autre fin aurait pu être imaginée ?) et nous permet d’entendre une fois encore la somptueuse musique de Nino Rota.
Cette dernière partie de la trilogie tente d'allier la famille Corleone a la nébuleuse du Vatican autour du pape Paul VI. Voila pour l'intrigue principale, peu crédible. On asssite au testament de Mickael Corleone (fin des affaires, retour en Sicile,...). Si la dernière demi-heure du film est bouleversante, l'ensemble est tout de même en dessous des deux premières parties.
Troisième opus final de la plus grande saga du cinéma. 25 ans après Coppola signe l'apothéose finale de la famille Corleone. Ce film se déroule 16 ans après "Le Parrain 2". Comme le précédent où l'histoire et le business familial se confond avec la grande Histoire (Cuba 1959) ce dernier épisode use du même système avec le scandale qui a mouillé la banque du Vatican avec des ramifications mafieuses dans les années 1978-1981 (d'après histoire vraie donc). Un peu en-dessous des deux premiers celui-là pose certaines questions... Au-début Vincenzo (Andy Garcia digne successeur de Pacino) ne semble pas connaitre le père de sa cousine (!?) Michael Corleone et vice versa d'ailleurs (?!) tandis qu'onse demande où sont passés les autres membres de la famille de Sonny (James Caan dans le premier)... Tel un drame antique Michael Corleone est aveuglé par son ambition et la tragédie semble frapper le Don pour ses péchés par le biaise de ses proches. Impitoyable et funeste mais toujours aussi beau et impressionnant.
Souvent considérer inferieur à ces prédéceseur, cette troisiéme partié de la plus grande saga de tout les temps n'a pourtant rien à envié au deux films des 70'. La longue scène final à l'opera est l'un des plus grand moment de la trilogie.
Dès les 1ères images, le ton est donné. La villa abandonnée des Corleone au Nevada montre que tout a changé, que les affaires de la Famille ne sont plus les mêmes et que l'heure de la repentance a sonné pour Michael. Avec cet ultime épisode qui clôt la trilogie en beauté, on voit bien que la boucle est bouclée, Michael rongé par la culpabilité veut maintenant revenir dans la légalité. Lui qui plus jeune se retrouva sans le vouloir à la tête de la Famille par la faute de son père essaye maintenant de laver son âme entachée par tous ses crimes. La difficulté de la rédemption qui apparaît ici pour la 1ère fois et la critique de la mafia qui est plus présente que jamais fait de cette 3ème partie le film le plus mélancolique et le plus amer de la saga. Coppola filme magistralement la fin de Michael que l'on sent arriver progressivement, remplacé par une nouvelle garde composée entre autre de son neveu Vincent et de sa fille Mary. Leurs 2 acteurs, Andy Garcia et Sofia Coppola apportent un nouveau souffle à l'épopée formidable de cette famille et trouvent parfaitement leur place aux côtés des anciens toujours aussi bons en particulier Talia Shire dont le personnage s'étoffe dans cet ultime épisode. Le film réussit à nous emporter une dernière fois dans ce monde grâce aux mêmes atouts que les 2 précédents, une histoire forte (où politique et religion se même admirablement), des personnages charismatiques et une réalisation impressionante qui sublime les acteurs. On pourra seulement regretter que ce dernier volet ressemble beaucoup trop au 1er dans sa construction mais cette légère faiblesse n'enlève rien à la qualité du film. Quand le générique de fin apparaît, la tristesse nous envahirait presque à l'idée de savoir que plus jamais on ne suivrait les aventures des Corleone ni qu'on n'entendrait cette magnifique musique dans un autre film, puis on se dit qu'on vient d'assister pendant près de 9 heures à l'une des plus fortes saga du cinéma et ça, c'est juste inoubliable.