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Plume231
3 896 abonnés
4 639 critiques
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3,0
Publiée le 25 novembre 2011
"Le Parrain", j'ai adoré, "Le Parrain II", j'ai encore plus adoré, "Le Parrain III" bof bof bof... Mais un "bof" par rapport à la qualité exceptionnelle des deux précédents ce qui veut dire que ce troisième opus est bien au-dessus du correct quand même. La densité de Coppola pour raconter une histoire est toujours là ce qui fait qu'on ne s'ennuie pas du tout mais ce qui n'empêche pas que je n'ai été transporté que par intervalles. Côté casting, c'était un sans-faute total pour les deux premiers opus. Ce n'est pas le cas ici. Andy Garcia est franchement l'"Al Pacino du très très pauvre". George Hamilton, qui donne l'impression de faire partie du casting pour remplacer Robert Duvall, est en comparaison de ce dernier bien fade. Quand à Sofia Coppola, on est en pleine cata. Elle joue incroyablement faux, est visiblement peu à l'aise devant une caméra et sa façon de mourir est plus comique que tragique. Bon heureusement qu'il y a toujours le géant Al Pacino ainsi que Diane Keaton. Dans les seconds rôles, il y a tout de même deux très bonnes surprises : Eli Wallach et Raf Vallone, ce dernier dans le rôle du rayonnant mais éphémère pape Jean-Paul Ier (d'ailleurs c'est une des quelques bonnes idées du scénario d'avoir introduit ce personnage dans l'intrigue !!!). Malgré ses qualités évidentes, il manque la perfection ainsi qu'une petite étincelle pour faire du "Parrain III" un successeur digne de ses deux très illustres prédecesseurs.
Bon film qui termine la trilogie avec des acteurs magnifiques tels que andy garcia, sofia coppola mais surtout al pacino qui est magistral mais il manque quelque chose dans ce film qui n'est pas à la hauteur des 2 premiers mais ça reste un modèle du genre !
La trilogie mythique se clôt tout aussi subimement qu'elle a commencé.Je trouve très courageux de la part de F.F. Coppola de réaliser un 3ème épisode après le classage des deux premiers dans le cercle fermé des chefs-d'oeuvres.Ce 3ème opus ne déçoit et nous donne encore plus que ce que l'on voulait.Il mérite largement sa place auprès de ses deux grands frères.
Ce film est mal aimé car l'évolution n'est pas seulement celle de Michael Corleone mais aussi celle de Coppola, qui nous offre une oeuvre riche et puissante, basé sur la rédemption du vieillissant Corleone. Une oeuvre humaine, subtile et qui a sa place légitime à coté du Parrain I et II.
3 eme et dernier volet de la saga, on reste bien entendue dans le chef d'oeuvre!!!! avec quelque nouveaute, comme les enfants de michael qui sont grand , et ainsi arrive le fils cacher de sonny jouer par andy garcia, ici c 'est plutot sur la tristesse (meme si les deux autre le sont aussi) que coppola joue et au final on prend encore une grosse tarte dans la face!!!!!! la derniere demi heure reste a mon gout du grand cinema!!!!! al pacino est au sommet de son art!!!!!!!!! encore une fois chef d'oeuvre!!!!!!
Coppola à bien fait d'insister, ce troisième volet est bien réussi. Il se situe en valeur entre le 1 et le 2 pour les simples raisons qu'il y a dans ce film plus de cinéma que dans le 2 mais moins de rigueur et de tenue que dans le 1. Le roman d'Amour vrai entre Michael et Kay apporte une note d'humanité et de luminosité dans le beau décors naturel de la Sicile qui s'y prête si bien. Al Pacino y est encore plus remarquable dans sa vie ratée et sa détresse. Par ailleurs, avoir évoqué le souvenir de Jean-Paul 1 (excellent Raf Vallone) est une bien bonne idée; l'histoire des papes depuis Pierre premier n'est pas à l'honneur de la religion catholique, aussi ne faut-il pas oublier celle que nous avons vécu sans la comprendre. La saga des 3 parrains se termine en beauté grâce à la virtuosité du cinéaste qui fait un montage final exemplaire au son d'un opéra dédié dans doute à la mémoire de son père, chef d'orchestre et compositeur musical. Il y a de ci delà quelques fautes de goût ou de script qui gênent comme la femme qui annonce la mort du pape sur le simple fait que ses lunettes glissent de son nez ou Don Altobello, superbement interprété par Eli Wallach (en activité à 96 ans actuellement) qui n'en finit pas de déguster son poison. Mais, foin de tous ces détails, cette saga est une bien belle chose dans l'histoire cinématographique.
le dernier volet de l'immense saga de Francis ford ! c’est le dernier acte d’une tragédie puissante intemporelle et universelle !plus moderne, le film n’as pas le charme rétro façon « film noir »des deux premiers, mais boucle merveilleusement la boucle ! Al dis adieu a son personnage avec fragilité et mélancolie! une grande performance en tout cas !
Le parrain I est absolument mythique avec deux interprètes que l'on retiendra ( Marlon Brando & Al Pacino ) , le II ème est un peu décevant et trop long et le III ème finit en beauté avec une fin qui vous prend aux tripes. On retrouve donc pour une troisième fois Michael Corleone la soixantaine qui décide de mettre une terme à ses activités mafieuses. Pour cela il entreprend plusieurs donations envers l'église. La famille est plus que jamais mise en avant on découvre la fille adulte de Michael Corleone : Mary Corleone ( qui plus est Sofia Coppola la fille de Francis Ford Coppola ) qui tombe amoureuse de Vincent Mancini le fils aîné de Sonny Corleone et donc le neveu de Michael. Michael s'oppose à cette amour le jugeant beaucoup trop dangereux. On fait également la connaissance d'Anthony Corleone qui décide lui , non pas de reprendre les affaires de famille mais de devenir chanteur d'opéra. Joe Mantegna alias Joey Zasa incarne l'ennemi ultime de la famille Corleone. C'est à lui qu'on doit la tentative d'assassinat de Grace Hamilton ou encore la fusillade lors d'un réception avec différents parrains à Atlantic City dans le New Jersey. Un peu plus tard Vincent Mancini deviendra le nouveau parrain. Lors d'un concert d'opéra on projette d'assassiner Michael , une tentative qui échouera mais qui ce soldera par la mort de sa fille. Al Pacino excelle une fois de plus dans le rôle du mafieu et une fin absolument bouleversante. Cultissime
Quand on ressort enfin de ce(s) film(s), c'est non sans une certaine fierté. Pas tant d'avoir assisté à un monument du septième art, pas tant d'avoir entendu les dernières répliques à la mode de Marlon, pas tant d'avoir appris que notre survie lors de nos vacances l'été dernier à Palerme tient du miracle, non, tout simplement on est fier parce que sur les 539 minutes de film, on ne s'est même pas endormi, ou si peu, et ça... ça n'a pas de prix.
Très légèrement en dessous des deux premiers volets (j'attribue quand même cinq étoiles pour la continuité de cette série parfaite), le dénouement de "The Godfather" ne surprend pas, c'est toujours aussi classe, aussi intelligent et passionnant. Les vieux ennemis de Micheal Corleone refont surface alors qu'il tente de se ranger progressivement. La trame narrative est ici de plus en plus sombre. Très cruel, cette partie ne laisse échapper personne, les plus proches de Corleone payent pour lui... La scène finale, à la sortie de l'opéra se révèle d'une puissance incontournable. Notons la belle apparition dans la saga d'Andy Garcia.