Encore une fois, D.W.Griffith arrive de manière bien convaincante à rendre touchante cette histoire d'un implacable usurier qui finira par mourir de manière bien tragique. Filmé en 1910, ce court métrage d'une vingtaine de minutes, se regarde comme une véritable découverte, car elle est emmener par une mise en scène très fluide et est porté par des acteurs très à leurs aise .
Reprenant exactement le même schéma que dans un de ses précedents courts-métrages "Les Spéculateurs", David Wark Griffith oppose la vie des riches avec celle de leurs victimes pauvres. Là aussi le final apparaît comme grinçant et ironique mais cette fois le tout s'achève avec une note d'espoir peut être un peu exagérée mais impossible d'en vouloir à quelqu'un d'être humaniste.