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Un visiteur
3,5
Publiée le 22 septembre 2019
De la comédie romantique typique des années 60, vaudevillesque et cartoonesque à souhait, plus modeste et anecdotique que Diamants sur canapé (sorti un mois plus tôt), avec un décor new-yorkais toujours ensoleillé, des intérieurs colorés, des tenues très pop, un sous-texte sexuel omniprésent et un scénario joyeusement invraisemblable. Certains traits d’humour ont vieilli, d’autres fonctionnent encore parfaitement et l’ensemble passe très bien l’épreuve du temps, prévisible et très suranné, mais toujours rythmé, plein de charme et d’auto-dérision, avec un couple Hudson/Day parfait.
Une comédie ayant pour cadre le monde de la publicité. Totalement hilarante et menée à un train d'enfer. Du niveau d'un Billy Wilder, ni plus, ni moins. Rock Hudson et Doris Day sont particulièrement inspirés dans cette pochade qui n'a pas pris une ride.
Le titre français n'a rien à voir avec l'intrigue. Le scénario est bizarement ficelé, notamment je me demande ce que vient faire ce patron psychopathe. La critique du marketing est étonnante pour l'époque. Le tout est plutôt agréable.
J'ai bien apprécier cette comédie! Le début est assez mou mais lorsque les deux protagonistes se rencontrent et que nait un quiproquo entre eux, ça devient comique et l'ont se demande comment cela va terminer. Selon moi la fin est un peu bâclée mais dans l'ensemble, on passe un excellent moment devant ce film!
Une comédie agréable mais mineure qui reprend exactement le même schéma que "Confidences sur l'oreiller" (Le personnage de Doris Day qui prend le personnage de Rock Hudson pour un autre, Tony Randall dans un second rôle, etc...). On est loin de la franche hilarité, malgré quelques scènes drôles et quelques rebondissements innatendus, du fait de la réalisation un peu molle de Delbert Mann. En fait, le film vaut surtout d'être vu pour son couple vedette.
Ah Pyjama pour deux tout à fait la comédie gentillette et agréable que nous offrait Hollywood à une époque, dommage que la mise en scène manque de vivacité et qu'il vaut attendre que RocK Hudson et Doris Day se rencontre pour que le film démarre réellement mais l'histoire et les dialogues sont bien trouvés. Tony Randall est très amusant aussi.
Il m’étonne toujours de voir à quel point le regard que portait l’Amérique des années 50-60 sur la guerre des sexes, la société de consommation et la femme (femme objet assurément) nous apparaisse aujourd’hui terriblement, mais sublimement, daté. LOVER COME BACK est une charmante représentation de cet état d’esprit. Le charme suranné de ses intrigues fantasques, de ses dialogues aux petits oignons, de son duo d’acteurs pétillant et de son esthétique design ‘to die for’, en font aujourd’hui autant qu’à l’époque de sa sortie, une comédie légère et irrésistible.