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    Le Bûcher des vanités
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    99 critiques spectateurs

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    bsalvert
    bsalvert

    406 abonnés 3 576 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 8 mai 2011
    Avec une telle intrigue et de tels acteurs, on a du mal à croire que ce film ne laisse guère de traces et pourtant...
    belo28
    belo28

    68 abonnés 1 130 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 19 septembre 2010
    Une pléiade d'acteurs mais une mise en scène qui rappelle les plus mauvais Hitchcock... Dommage!
    Akamaru
    Akamaru

    3 090 abonnés 4 339 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 9 avril 2009
    "Le Bûcher des vanités"fut sacrifié à sa sortie.J'ai cherché à en savoir plus,surtout quand on bénéficie d'un réalisateur de renom(Brian de Palma)et d'un casting à faire pâlir(Tom Hanks,Bruce Willis,Morgan Freeman,Mélanie Griffith).Corrosif.Le film égratigne tout le monde,que ce soit les politiciens véreux,les avocats corrompus,les pasteurs vénals,les journalistes charognards ou les parvenus hautains.Un véritable fourre-tout qui ne s'embarrasse pas de réalimse,préférant asséner des vérités toutes faites en prenant soin de la formule.Assez méprisable et méprisant comme manière de faire,tout comme ces gens lâches,avides de pouvoir et d'argent,prêts à sacrifier n'importe qui pour améliorer leur train de vie."Pour réussir,il faut vendre son âme",c'est clairement énoncé ici.La réunion de grands acteurs fait chou blanc.Ceux-ci devant se dépétrer de personnages totalement repoussants.De Palma achève de précipiter son film dans l'abyme,abordant sa mise en scène avec une prétention rare.Même si on approuve le superbe plan-séquence d'introduction,avec Willis allant de sa limousine au micro.Un peu de modestie hors et dans l'écran n'aurait fait de mal à personne!
    Tedy
    Tedy

    249 abonnés 2 480 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 3 décembre 2009
    Un bon De Palma, passionnant et bien mené.
    caro18
    caro18

    172 abonnés 2 213 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 12 septembre 2011
    Le scénario est pourri et le film n'evite ni la grossiereté ni l'ennui.
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 177 abonnés 4 170 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 25 juin 2024
    En 1987, Brian De Palma, 57 ans, 19 films à son actif est un réalisateur accompli et reconnu. Plusieurs de ses films ont été encensés par la critique comme « Sœurs de sang » (1973), « Phantom of the Paradise » (1974), « Carrie au bal du diable » (1976), « Pulsions » (1980), « Outrages » (1989) ou se sont révélés de très solides succès publics comme « Furie » (1978), « Scarface » (1983), « Les incorruptibles » (1987). Une carrière conduite sous le signe d’une indépendance artistique toujours sous la menace d’une rentabilité attendue de la part d’un réalisateur capable de séduire le public quand sa réalisation ample et visuellement imaginative fait mouche. Mais juste après le four commercial cuisant qu’a été « Outrages » son premier film réellement engagé, dévoilant la face obscure du comportement des troupes américaines au Vietnam, Brian De Palma est à la recherche d’un succès susceptible de régénérer sa crédibilité. Warner Bros vient d’acquérir les droits du « Bûcher des vanités », best-seller de Tom Wolfe journaliste célèbre qui pour l’occasion a écrit son premier roman paru en 1987. Le projet d’adaptation est proposé à De Palma. Un consensus est rapidement trouvé pour accentuer la tonalité ironique du film, laissant un peu de côté l’aspect très documenté du livre de Wolfe. Cette initiative sera d’ailleurs reprochée à de Palma par la critique, participant sans aucun doute à l’échec commercial du film. Pourtant le scénario écrit par Michael Cristofer allié à une réalisation intense donne naissance à un pamphlet au vitriol débouchant sur un constat accablant de la vacuité, l’incurie et la corruption qui de l’intérieur déstructurent la société américaine. Une forme d’optimisme aussi comme souvent chez les Américains à travers le juge Leonard White interprété magistralement par le grand Morgan Freeman qui n’a pas besoin de plus de deux scènes pour de sa haute stature conclure toute cette mascarade un peu morbide en « remettant l’église au milieu du village » comme on dit, rappelant à un auditoire médusé ce que l’honnêteté veut dire et comment elle peut et doit guider les hommes pour mieux vivre ensemble. Bruce Willis incarne Peter Fallow (copie fantasmagorique de Tom Wolfe lui-même ?), un journaliste alcoolique devenu star après l’écriture d’un best-seller relatant les déboires d’un trader (Tom Hanks) pris dans un tourbillon « mediatico-politico-judiciaire » après qu’une soirée bien arrosée l’a conduit lui et sa maîtresse (Melanie Griffith) à s’égarer dans le Bronx où ils ont percuté un jeune noir depuis resté dans le coma. Le canevas de l’intrigue posé avec brio et verve par De Palma s’ensuit la longue liste des rodomontades, petites bassesses, trahisons, hypocrisie en tous genres n’épargnant personne et souvent montrées à l’aide un humour caustique n’entravant en rien la force du propos comme a pu l’affirmer la critique de l’époque. Il faut dire que sous la direction d’un De Palma goguenard mais l’œilleton de sa caméra grand ouvert, les Bruce Willis, Tom Hanks, Melanie Griffith, Murray F. Abraham, John Hanckock, Kim Catrall, Saul Rubinek, Donal Moffat, Kevin Dunn et bien sûr Morgan Freeman cité plus haut sont tous impayables trop heureux en poussant leurs personnages jusqu’à la caricature parfois outrancière de fustiger une élite à laquelle ils ont sans doute bien conscience d’appartenir. Certaines scènes sont des petits bijoux de dérision paroxystique. Plus de trente ans après sa sortie, le film commence à être réhabilité notamment en Europe tellement le film de De Palma semble avec le recul, prémonitoire de ce qui se produit aujourd’hui en Europe. Son film revêt dès lors une tout autre portée. Enchaînant sur un autre film incompris avec « L’esprit de Caïn » (1992) lui aussi en voie de réhabilitation, De Palma pas loin de la sortie a eu la bonne idée de réaliser « L’impasse » (1993) suite de « Scarface » et surtout « Mission impossible » (1996) son plus gros succès commercial. Le réalisateur pouvait alors poursuivre sans trop d’à-coups mais sans coups d’éclat sa foisonnante et parfois surprenante carrière.
    this is my movies
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    699 abonnés 3 087 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 11 mai 2019
    Un des plus gros échecs de la carrière de B. Willis, de T. Hanks mais aussi de B. DePalma, et un film qui inaugurait la décennie maudite de M. Griffith, qui ne se remettra jamais de cette période de désamour du public. En même temps, elle incarne à la perfection la démesure et l’insouciance de son personnage, puisqu'elle se pointera un jour sur le plateau après avoir fait refaire ses seins, obligeant l'équipe à revoir certains plans ! A part ça, le tournage fut pour DePalma un petit cauchemar. Flanqué d'un casting qu'il ne voulait pas (il voulait J. Lithgow à la place de Hanks et J. Cleese puis J. Nicholson à la place de Willis, il voulait aussi M. Pfeiffer à la place de Griffith), il dû livrer un scénario plus adapté à Hanks, qui ne pouvait pas jouer un personnage aussi affreux que dans le bouquin de Wolfe, il dû aussi se débattre avec l'égo d'un B. Willis imbuvable sur le plateau, et il se heurtera finalement à l'incompréhension d'un public et d'une presse aux aguets : le public à cause de sa façon de dépeindre les masses, la presse pour avoir "allégé" le propos du livre. Partant d'un pavé de 700 pages réduit à 2 heures de film, DePalma ne signe pas pour autant une bouse, faut pas pousser non plus. En fait, son film sonne plus comme un réveil, celui de nos consciences, manipulées par toute une masse gens qui veulent nous amené à un point qui les arrange. Ainsi, "Le bûcher des vanités" renvoit dos à dos politiciens obnubilés par les élections, polémistes qui excitent les foules à leur profit, les citoyens qui se complaisent dans une soif de justice expéditive, au mépris de la vérité, ceux qui profitent du système (le film devait aller encore plus loin au sujet de Lamb mais une scène le montrant sortir de l’hôpital alors qu'il était censé être dans le coma sera coupée au montage), et au milieu, ceux qui en sont victimes (mais qui méritent bien un châtiment, c'est là toute l'ambigüité et la force du propos) et ceux qui y croient encore, mais qui sont seul. Bref, une comédie parfois hilarante, avec un casting monstrueux, un DePalma encore très en forme à la mise en scène, un scénario malin, un rythme d'enfer et un propos qui n'a jamais été aussi actuel. Presque un chef d'oeuvre, qui mérite largement d'être redécouvert ! D'autres critiques sur thisismymovies.over-blog.com
    Michael R
    Michael R

    103 abonnés 1 255 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 4 décembre 2023
    Une farce cynique campée par un casting tout en cabotinage sur le privilège blanc, la justice américaine, le communautarisme réalisé par Brian De Palma qui use de plongées et contre-plongées pour matérialiser les rapports de force. C'est très 80's (et donc daté et parfois agaçant), mais il ne faut pas bouder son plaisir.
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    7 196 abonnés 7 501 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 août 2012
    Le Bûcher des vanités (1991) de Brian De Palma, adapté du roman éponyme de Tom Wolfe (publié en 1987), nous plonge en plein cœur des magouilles tant financières que politiques de New York. Le film narre l’histoire d’un golden boy qui, de la gloire aux tabloïds, a vécu une véritable descente aux enfers suite à un banal fait divers dont il a été victime. En un rien de temps, toute la sphère médiatico/politico/judiciaire s’emballe et cherchent à tirer profit du fait divers pour tirer la couverture à leur avantage, au grand dam de Sherman McCoy, passant d’élite de la haute finance à simple proie ne sachant plus à qui se fier. Comme à son habitude, Brian De Palma fait des merveilles au niveau de la mise en scène, nous offrant notamment un excellent plan-séquence d’ouverture et de nombreux plans tout au long du film (notamment des contre-plongées). Ajoutez à cela une impressionnante distribution où se croise Tom Hanks, Melanie Griffith, Bruce Willis, Kim Cattrall, Morgan Freeman et même Kirsten Dunst dans une courte apparition (elle en était déjà à son troisième long-métrage à tout juste 9 ans). Ce qui est amusant à la lecture du scénario, c’est qu’il serait facile de transposer l’histoire à notre époque, en modifiant certains éléments et personnages, en y instaurant par exemple le scandale qui éclata dans la fameuse chambre de l’hôtel Sofitel de New York en mai 2011 entre le Président du FMI Dominique Strauss-Kahn & la femme de ménage Nafissatou Diallo.
    NeoLain
    NeoLain

    4 955 abonnés 4 741 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 novembre 2011
    Il n'a pas reçu un bon oeil de la presse, c'est un des bides de De Palma. En tout cas je fus pas trop déçu de mon coté. On y aperçoit Kirsten Dunst (elle joue la fille de Tom Hanks), encore bien plus jeune que dans Entretien avec un vampire, l'acteur F. Murray Abraham (procureur). Morgan Freeman en juge. Ce film de De Palma est pas le meilleur, mais la réalisation est bien agréable, Tom Hanks est le point central qui nous réserve une buche d'une excellente prestation.
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 358 abonnés 4 180 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 2 juillet 2020
    Si le livre “Le bûcher des vanités” s’est vendu à plus de deux millions d’exemplaires aux Etats-Unis, l’adaptation cinématographique de Brian De Palma fût un échec commercial, et ce malgré le prestigieux casting composé de Tom Hanks, Bruce Willis et Melanie Griffith. L’histoire nous invite dans le bourgeois Manhattan où un homme marié gagne des millions à la Bourse et possède un magnifique appartement. Un soir, une erreur d’aiguillage sur l’autoroute, le conduit avec sa maîtresse dans le Bronx. A la suite d’un fait divers, l’homme devient la proie des politiciens, des médias et de la justice qui ont besoin de redorer leur blason. “Le bûcher des vanités” est une comédie sur les riches et sur l’importance qu’ils prêtent à leur réputation. Brian De Palma critique ouvertement les politiques et autres élites tout en soulevant des notions de racisme. Malheureusement, nos acteurs ne semblent pas à l’aise dans leur rôle. Sont-ils justement la représentation de ce qu’ils jouent ? Un certain malaise plane sur l’ambiance générale et l’intrigue cafouille dans des monologues sans modestie n’évitant pas les caricatures. Brian De Palma est un cinéaste inégal, il nous passionne souvent et parfois il nous ennuie. “Le bûcher des vanités” n’échappe à la seconde hypothèse.
    D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
    Eselce
    Eselce

    1 389 abonnés 4 238 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 14 décembre 2015
    Je n'ai pas trouvé ça génial. Il y a quelques scènes retenant l'attention sur le moment et vite oubliées. Les principales sont pour Tom Hanks et Mélanie Griff. Les scènes de Bruce Willis sont fades. Un bon scénario, mais très long et agaçant. De l'humour, pourtant.
    Scorcm83
    Scorcm83

    101 abonnés 508 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 31 mai 2017
    Un film assez surprenant, sur l'univers des médias et de la haute finance sur fond d'affaire raciale et de mœurs, très bien menée par un Brian De Palma assez sobre mais toujours aussi efficace. On suit une galerie de personnages hauts en couleur et même si le film ne possède pas vraiment de séquence marquante, je dois avouer qu'il reste très plaisant à regarder, notamment grâce à l'interprétation de ses acteurs principaux : Bruce Willis, Tom Hanks et Mélanie Griffith.

    *Le Bûcher des vanités* n'est clairement pas une oeuvre majeure dans la filmographie du cinéaste mais possède tout de même une identité visuelle et thématique très forte, c'est pourquoi je le conseille tout même.

    A voir !
    Nicolas L.
    Nicolas L.

    86 abonnés 1 746 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 11 mai 2021
    Un DePalma que je n'avais pas encore vu. Excellente interprétation de Tom Hanks en golden boy dépassé, histoire très acerbe de la politique et des médias, et évidemment mise en scène de haut vol notamment avec la scène d'ouverture en long plan séquence magistrale. Juste une scène de fin inutile et moralisatrice tendance cul cul la praliné. Mais très bon film dans l'ensemble.
    Redzing
    Redzing

    1 112 abonnés 4 468 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 4 mai 2012
    Gros échec commercial et massacré par les critiques de l'époque, "The Bonfire of the Vanities" ne méritait pas tant de haine, à l'image de son personnage principal. Certes, l'intrigue est un brin décousue, mais le sujet très intéressant. On y suit un golden boy insouciant qui va devenir, à la suite d'un simple accident, la proie de tout un système politique, judiciaire, et médiatique, qui ne cherche qu'à tirer profit de l'affaire. Il s'agit donc d'un portrait au vitriol du système US, soutenu par de très bons acteurs (Tom Hanks, Bruce Willis, F. Murray Abraham, Morgan Freeman...) qui apportent chacun leur touche cynique. Enfin, côté technique, la réalisation de De Palma est irréprochable : double focales, plan séquence d'introduction, split screen, etc. Bref, une comédie noire qui vaut le coup d'oeil.
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