Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
3 critiques presse
Critikat.com
par Nicolas Maille
Le film ressort aujourd'hui dans une nouvelle version restaurée qui rend parfaitement justice aux très belles images de Raoul Coutard. L'occasion de se rendre compte que "Lola" est bien l'oeuvre mère à l'origine de la comédie humaine du cinéaste nantais. Mais la magie et la grandeur de "Lola", c'est surtout de réussir à nous faire sentir, derrière le noir et blanc et le parlé, l'esprit de la comédie musicale que le film aurait dû être.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
"Lola" est le film matrice de l'oeuvre de Jacques Demy. (...) [Il] expose comme dans un rêve à la fois trop lumineux et trop sombre les trois âges de la vie.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Marianne
par Danièle Heymann
De sa fausse allégresse en noir et blanc (...), on ne se souvenait pas de l'émotion de chaque instant que provoquent, dans cet admirable mélodrame sans larmes, le mouvement perpétuel des corps et des sentiments, un désenchanté enchantement.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Critikat.com
Le film ressort aujourd'hui dans une nouvelle version restaurée qui rend parfaitement justice aux très belles images de Raoul Coutard. L'occasion de se rendre compte que "Lola" est bien l'oeuvre mère à l'origine de la comédie humaine du cinéaste nantais. Mais la magie et la grandeur de "Lola", c'est surtout de réussir à nous faire sentir, derrière le noir et blanc et le parlé, l'esprit de la comédie musicale que le film aurait dû être.
Les Inrockuptibles
"Lola" est le film matrice de l'oeuvre de Jacques Demy. (...) [Il] expose comme dans un rêve à la fois trop lumineux et trop sombre les trois âges de la vie.
Marianne
De sa fausse allégresse en noir et blanc (...), on ne se souvenait pas de l'émotion de chaque instant que provoquent, dans cet admirable mélodrame sans larmes, le mouvement perpétuel des corps et des sentiments, un désenchanté enchantement.