Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
Xyrons
692 abonnés
3 360 critiques
Suivre son activité
2,5
Publiée le 7 novembre 2009
Un flic à la maternelle est un film regardable mais sans plus. Le scénario est passable, la mise en scène de Ivan Reitman est correcte, le film n’est pas ennuyeux même si il est parfois un peu trop long, les acteurs sont convaincants on retrouve notamment à l’affiche Arnold Schwarzenegger, Penelope Ann Miller ou encore Pamela Reed, il y a quelques bonnes scènes… Bref ça vaut un 11 / 20.
Un film sans intérêt, même si la facette comique de Schwarzy est toujours amusante. Il s'en sort bien, les péripéties s'enchaînant rapidement. Divertissant, mais certainement pas extraordinaire.
Un flic à la maternelle est un film gentillet, rigolo, à regarder en famille, avec ses enfants pour les adultes, avec ses parents pour les jeunes, à éviter pour les ado ^^ On retrouve un Schwarzy au mieux de sa forme dont les expressions de visage sont toujours limitées à deux ou trois (pour Terminator, ça aide mais sorti de ce contexte, c'est un handicap), le scénario est complètement irréaliste, les acteurs surjouent tous, enfin bref, c'est un film qu'il faut regarder sans cerveau, sans chercher à comprendre et en oubliant que c'est un pur nanar... un peu comme la série Friends, si on oublie que c'est complètement improbable, ça devient drôle. C'est un peu pareil... mais enfin, Friends, c'est plus drôle quand même. Je m'égare >< Donc bref, film à conseiller aux gens qui n'attendent que d'un film qu'il fasse le vide dans la tête du spectateur avec une zoulie histoire un peu débile, le rôle est rempli à 100%
Un flic à la maternelle (1991) est l’archétype de la comédie bon enfant U.S. Après avoir dirigé Arnold Schwarzenegger dans Jumeaux (1989), Ivan Reitman le retrouve pour la seconde fois (et une troisième fois avec Junior - 1995). Une comédie prévisible mais qui divertit tout au long. On s’amusera de voir Mr Muscle en prof de maternelle, sifflet à la bouche et tempérament de militaire, face aux mioches (ou garnements) livrés à eux mêmes. Sans oublier bien évidemment, le happy end auquel on ne peut échapper !
Toute une partie de mon enfance et, à ma grande surprise, il a bien vieilli. Rien que le point de départ est un coup de génie et il est bien exploité. Après un début en fanfare qui ravit les amateurs de bourrin tout en restant soft, on a droit à des scènes d'anthologie au cours desquelles on assiste à la prise en main d'une classe de maternelle par ce bon vieux Schwarzie. Avec une ribambelle de gamins naturels et craquants au possible, les rires sont fréquents et notre tas de muscles préféré s'en sort à merveille, y allant à fond sans craindre le ridicule. Il est de plus bien épaulé par une P. Reed parfaite, formant un duo efficace. Prévisible en tout point mais avec un méchant qui parvient à être touchant vers la fin (sans l'être trop non plus), l'atout charme de P. A. Miller et un rythme plus agréable, porté par la réalisation correcte de I. Reitman, un divertissement sans prétention qui vous fait passer un excellent moment. D'autres critiques sur
La nostalgie aidant, les deux heures du film passe bien et le contraste entre les scènes policières sérieuses (fusillades, drogues, crasse...) et les scènes comiques est toujours aussi atypique. Ça ne vole évidemment pas haut et Ivan Reitman emballe son film avec savoir faire mais sans vraiment s'impliquer dans ce qu'il raconte.
Un des films de mon enfance, Arnold dans un rôle totalement inédit, auto dérision inside, c'est très drôle touchant et émouvant ! Ivan Reitman (SOS Fantômes) a su trouver le juste milieu entre le personnage de Schwarzy, les enfants et l'enquête ! Tout cela pour un divertissement de bonne qualité !
La magie de l’autodérision de l’ami Schwartzy me séduira toujours. Certes, ce « Flic » n’est pas une révolution d’humour car tout y est si calibré. Mais bon, moi ce genre de film, je les classe parmi ces spectacles simples et formatés qui savent nous fournir à peu près ce qu’on leur demandait sans être forcément original. Que demande le peuple ?