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    La Vie est belle
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    914 critiques spectateurs

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    Artriste
    Artriste

    115 abonnés 2 003 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 16 juin 2024
    Comédie dramatique italienne, écrite et réalisée par Roberto Benigni, La Vie Est Belle est un film bouleversant, un chef-d'œuvre du septième art. L'histoire débute en 1939 à Arezzo, une ville italienne, et nous fait suivre Guido Orefice, un jeune italien juif plein de gaieté qui rêve d'ouvrir une librairie malgré les tracasseries de l'administration fasciste. C'est dans ce contexte qu'il fait la rencontre inopportune de Dora, une institutrice étouffée par le conformisme familial l'obligeant à se marier à un homme pour qui elle n'éprouve pas vraiment de sentiments. Tombant amoureux l'un de l'autre, il l'enlève le jour de ses fiançailles. De leur union va alors naître Giosué. Mais cinq ans plus tard, les lois raciales sont entrées en vigueur et, en tant que Juifs, Guido et son fils sont déportés vers un camp de concentration allemand. Ce scénario donne lieu pendant près de deux heures à une intrigue nous faisant passer par tous les sentiments, allant du bonheur à l'horreur. Si la première heure nous fait vivre une jolie romance, la deuxième nous plonge dans un drame absolument poignant. Mais ces deux parties ne sont pas aussi binaires et parviennent à distiller de la tristesse et de la joie tout au long de leur durée. On passe sans cesse du rire aux larmes dans cette fable aux scènes mémorables traitant avec une intelligence rare de l'Holocauste. Le récit est finement écrit et chaque action a des conséquences sur la suite de cette terrible mésaventure. Le ton se veut d'une grande justesse, parvenant à nous faire rire à d'innombrables reprises, même lors de séquences pourtant effroyables, en plus de toucher en plein cœur à d'autres moments, lorsque la mort se rapproche. Si tout cela est possible, c'est également en grande partie grâce aux attachants personnages interprétés par une distribution exceptionnelle. Roberto Benigni interprète un mari follement amoureux, un père aimant sa progéniture au point de tout faire pour lui faire oublier ce cauchemar pourtant bien réel. Il s'en donne à cœur joie dans ce rôle taillé pour lui et cela se ressent fortement à l'écran tant sa bonne humeur est communicative. Il est entouré par Nicoletta Braschi qui incarne sa femme avec beaucoup plus de sobriété mais qui est tout aussi touchante. Giorgio Cantarini quant à lui, du haut de ses cinq ans, livre une superbe prestation tout en candeur et dont on oubliera pas l'adorable visage. Giustino Durano et Horst Buchholz complètent la distribution avec deux rôles plus secondaires mais ayant une place tout aussi importante. Il serait injuste de ne pas mentionner également les nombreux figurants qui sont tous parfaitement impliqués. Cette petite famille unie provoque énormément d'émotions à travers leur amour et les relations qu'elle peut avoir avec ses bourreaux. Des échanges soutenus par de nombreux dialogues d'une belle authenticité, notamment du au fait que Guido soit un moulin à paroles. Sur la forme, la réalisation du cinéaste italien se veut particulièrement qualitative. Sa mise en scène parvient à capter chaque détail et évolue dans deux environnements radicalement différents entre la petite ville où il fait bon vivre et les murs insalubres suintant la mort du camp de concentration. Ce visuel ambivalent est accompagné par une très bonne b.o. signée Nicola Piovani, dont les compositions, tantôt guillerettes, tantôt désespérées, collent à merveille à l'action et au propos, en plus de nous marquer durablement. Ce conte historique s'achève sur une fin déchirante, venant mettre un terme à La Vie Est Belle, qui, en conclusion, est une œuvre nécessaire, aussi magnifique qu'effroyable, devant absolument être visionnée.
    Uchroniqueur
    Uchroniqueur

    154 abonnés 2 376 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 novembre 2020
    "La vie est belle" , un film de Roberto Benigni et avec Roberto Benigni réalisé en 1998, un très bon film bien entendu, bien réalisé, belles images, belle photo, scénario en béton, une envergure historique, une durée généreuse et un jeu d'acteur un peu trop énergique ... Roberto Benigni occupe toute la place, c'est fatiguant, gesticulant, bavard et le film est clairement construit par lui, pour lui et autour de lui. Le doublage n'arrange rien, il est toujours délicat de passer de l'italien au français, il convient toujours mieux de regarder les films en V.O. Malgré ce sur-jeu La vie est belle, demeure un très bon film.
    WalkthisWay
    WalkthisWay

    22 abonnés 670 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 18 novembre 2012
    Selon moi le film aurait gagné en efficacité si la première partie du film avait été moins longue.
    Julien D
    Julien D

    1 196 abonnés 3 461 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 11 août 2013
    Réussir à faire rire autour d’un sujet aussi grave que l’Holocauste ne pouvait être l’œuvre que d’un réalisateur au mauvais gout écœurant soit d’un génie de l’humour. Heureusement, les précédentes prestations de Roberto Begnini d’abord en tant qu’acteur, en particulier dans les comédies de Jim Jarmusch, puis en tant que réalisateur, avec, entre autres, Johnny Stecchino qui abordait déjà avec légèreté un sujet difficile, nous ont permis de nous assurer qu’il s’agissait d’un comédien dont la subtilité et la créativité avaientt de quoi être comparable à celles de Charlie Chaplin. Le defaut majeur de La vie est belle est d’avoir du mal à démarrer, voulant absolument créer un lien affectif en revenant sur les origines du couple qu’il forme sa femme à la ville comme à l’écran, Nicoletta Braschi, mais une fois l’intrigue et le huis-clos débutés, l’émotion que confère le spectacle comique de ce père plein d’optimisme réussit donc l’exploit d’être absolument poignante.
    dougray
    dougray

    238 abonnés 1 904 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 avril 2016
    Trop souvent cantonné au rôle de "pitre" italien dans lequel il a tendance à se complaire, Roberto Benigni a frappé un très grand coup et marqué, à jamais, l’histoire du cinéma avec "La Vie est belle". Et c'est peu dire qu'on a pas vu arriver ce film et qu'on pouvait craindre le pire au vu de son pitch. Difficile, en effet, d'imaginer faire rire sur un sujet aussi sensible que les camps d’extermination nazi... surtout lorsque l'intrigue prévoit la présence d'un gamin et de son père ! Mais, Benigni a eu un éclair de génie en traitant ce sujet sous un angle inédit : le réalisme transcendé par la fantaisie de son héros. "La Vie est belle" est, ainsi, tout sauf une pochade vaguement humoristique qui tournerait en ridicule l'horreur de la Shoah, ni même une parodie. Le sujet traité" interdisait un tel traitement et Benigni l'a bien compris. Ainsi, tous les personnages du film sont fidèles à l'idée qu'on se fait des personnes ayant vécu cette époque terrible... à l'exception du fantasque Guido qui prend le parti de s'amuser de tout pour, au final, mieux survivre et égayer le quotidien de sa famille. Les explications qu'il doit trouver pour expliquer l'inexplicable à son jeune fils (Giorgio Cantarini, formidable), y compris dans les camps de la mort, sont toujours terriblement touchantes par leur innocente naïveté. C'est tout l'intérêt du film qui, jamais, n'élude son sujet (certains moments restent très durs dans ce qu'ils évoquent) mais qui proposent une lecture différente, loin du misérabilisme habituel mais qui n'atténue, en rien, la gravité ambiante. spoiler: La scène finale du père vient, d'ailleurs, définitivement rappeler la dureté du film.
    Au contraire même, les facéties de ce père qui ne pense qu'à protéger son fils de l'horreur, sont bouleversantes... tout comme, dans une moindre mesure tout de même, son amour pour sa femme (Nicoletta Braschi) sans être pesantes. C'est sans doute le tour de force de "La vie est belle" qui fait partie, à mon sens, des très rares films me paraissant parfaitement incritiquables, au moins sur le plan de son sujet et de son traitement. Tout au ^plus pourra-t-on reprocher au film de s'appesantir un peu trop sur la période précédent l'internement dans les camps... mais ce "défaut" est très certainement dû à l'aura quasi-immédiate du film qui a, surtout, surpris à partir de ce moment. Dès lors, j'ai imaginé que l'intrigue se passait quasi intégralement dans un camp de concentration, ce qui n'est pas le cas et m'a un peu surpris la première fois. Mais, avec le recul, cette longue introduction me parait finalement plus que nécessaire pour, d'une part, proposer un autre terrain de jeu aux héros et, d'autre part, présenter suffisamment les personnages et leur "originalité". "La vie est belle" est, donc, une oeuvre unique débordant d'amour et d'humanité... qu'il convient de faire voir à tout le monde !
    sylvio41
    sylvio41

    15 abonnés 255 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 22 octobre 2007
    Peut-on rire de tout au cinéma ? Assurément non, il y a des thèmes à prendre avec des pincettes tant ils sont synonymes de souffrances. Faire une fable moraliste sur la tolérance, OK, mais de là à présenter les camps d'extermination comme des colonies de vacances, le tout avec la verve insupportable de Benigni, non ! Il y a des limites à ne pas dépasser
    totoro35
    totoro35

    102 abonnés 1 787 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 4 août 2012
    Enorme succès critique et public à sa sortie, "La vie est belle" dut cependant faire face à une poignée de polémiques hors de propos, accusant notamment son réalisateur Roberto Benigni de prendre à la légère un évènement tragique de notre histoire et remettant une énième fois sur le tapis la sempiternelle question: peut-on rire de tout ? Débats complètement stériles, Benigni ne cherchant pas à montrer l'holocauste sous un angle historique mais plutôt sous celui de la fable (ce qui ne l'empêche pas de montrer l'horreur de la situation) et ne riant à aucun moment du drame qui se joue devant nos yeux mais plutôt malgré lui, prônant le rire comme ultime arme de survie. Le véritable problème du film ne réside à mes yeux aucunement dans ses intentions et son propos, fort louables, mais définitivement dans sa forme. Alors que Benigni parvient à construire une histoire bouleversante sur le papier, construisant parfaitement son récit voyant la dolce vita de la première partie doucement mais sûrement gangrénée par la folie (et la connerie) des hommes, sa mise en scène désespérément plate empêche le film d'atteindre la force d'un Chaplin, l'émotion tant attendue étant du coup réduite à une simple tendresse envers le sacrifice de ce père prêt à tout pour garder son fils en vie.
    Alolfer
    Alolfer

    126 abonnés 1 146 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 24 juin 2020
    La vie est belle est un film magnifique mélangeant comédie et dramatique . Un film avec une fin qui vous fera pleuré
    pietro bucca
    pietro bucca

    66 abonnés 1 228 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 26 mai 2013
    Un sacré beau ,l'émotion coule a flot,limite un peu trop chargé....Mais bon,Roberto a le profil de l'emploi pour ce beau role.
    CH1218
    CH1218

    198 abonnés 2 879 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 19 avril 2016
    Peut-on vraiment rire de tout ? Roberto Benigni le pense et le prouve en réalisant « la Vie est Belle», une comédie légère sous fond d’Holocauste. Sa prise de risque, certes gonflée, s’avère véritablement payante, tant la stratégie ébauchée par ce père de famille pour protéger son fils de l’horreur est touchante. Jamais immorale, ni malsaine, cette fable "chaplinesque" unique est excessivement riche en émotion au point qu’on lui pardonne ses défauts.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 13 juillet 2017
    Le chef-d'oeuvre "La vie est belle" de Roberto Benigni possède un concept avant tout risque comme nous pouvions le voir. Mêler humour et drame dans un contexte de Seconde Guerre Mondiale et traitant aussi la vie des prisonniers juifs dans les camps de concentration. Je peux dire que le trio d'acteur Benigui/Braschi/Cantarini est bien plus qu'excellent. Roberto dans son rôle de père fidèle à son fils fait tout pour que son fils ne découvre pas qu'il est dans un camp pour mourrir et ses par la complicité des autres prisonniers pour lui cacher cette terrible vérité. Je peux dire que l'humour marche parfaitement même dans ce contexte amer et l'on a plaisir à se moquer du système des nazis. L'une des meilleurs scènes sans spoiler la plupart de vous est la scène du bureau avec les diffuseurs audio qui est vraiment touchante et prouve que l'amour est indestructible et éternel même face au plus impitoyable des dangers. Mais notamment l'autre scène puissante est  celle du brouillard qui rappelle à quel point la folie humaine est contagieuse. Chacun ne cesse de se demander dans ce film comment l'on a pu laisser les nazis exterminer plusieurs millions d'innocents pour des raisons pitoyables de race et de sang. Nous pouvons noter que Roberto et Nicoleta étaient déjà en couple pendant le tournage du film, ce qui permet ainsi de développer un excellent jeu de rôle et une meilleure immersion. Je notamment féliciter la préstation de Gorgio Cantarini qui a un rôle tout à fait difficile pour son âge mais ses capacités en tant qu'acteur sont excellentes. C'est par ce conte moderne que l'on apprend les vraies valeurs du père et l'importance de la famille qu'il faut préserver.
    gizmo129
    gizmo129

    96 abonnés 1 519 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 10 juillet 2015
    Un des films les plus original qui existe et un chef d oeuvre du 7ieme art à ne pas en douter ! Traiter la guerre par l'humour il fallait oser et sur un sujet aussi difficile, on peut dire que le résultat est somptueux !
    Qui d autre que Begnini lui même pouvait incarner ce héros plein de vie entouré par la mort ?
    Le film se décompose donc en deux parties, la première où la rencontre des deux amants, fait de comique de situation et de quiproquo avec une montée du fascisme en arrière plan. Puis, dans la dernière heure, place à l enfer des camps mais sous un forme de jeu pour faire oublier l absurdité de cette guerre. Place alors à l émotion, à la peur, à l effroi, aux larmes mais aussi à la joie de voir ce petit enfant heureux d être avec son papa qui possède une foi inébranlable en l humanité.
    Un très très beau film.
    GéDéon
    GéDéon

    85 abonnés 513 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 19 janvier 2023
    Une œuvre époustouflante tant il faut être sûr de sa maitrise pour aborder le sujet de l’holocauste sous l’angle de l’humour. Et le trublion italien, Roberto Benigni, y est parvenu avec talent. Ce long-métrage est d’autant plus brillant qu’il se décompose en deux parties distinctes nous entraînant à chaque fois dans un tourbillon d’émotions. Le début traite de la rencontre amoureuse entre un jeune homme débordant de malice et une charmante institutrice un peu coincée (interprétés par Roberto Benigni et Nicoletta Braschi, son épouse également dans la vraie vie). Contrairement aux romances traditionnelles, le réalisateur insuffle un rythme incroyable avec des scènes d’une grande drôlerie. Puis, l’histoire bascule dans le drame avec la survie dans un camp de concentration allemand durant la Seconde Guerre mondiale. Là encore humour et bouffonnerie parviennent à l’emporter avec subtilité. Bref, en obtenant à la fois l’Oscar et le César du meilleur film étranger en 1999, il s’agit d’une fable humaniste d’une très grande profondeur.
    stebbins
    stebbins

    501 abonnés 1 747 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 mai 2012
    Un film qui montre le monde tel qu'il devrait être, plaçant la valeur du conte devant tout le reste - y compris l'Histoire. La Vie est Belle selon Benigni porte bien son titre, leitmotiv sous-jacent d'une fable délibérément optimiste portée par un acteur-réalisateur au talent indiscutable : véritable gag-man de son état, Roberto Benigni construit son long métrage autour de Guido, jeune italien séducteur et malicieux aux fonctions polyvalentes. A la fois naïf et fantasque, luttant presque inconsciemment contre un monde sombrant vers l'horreur, par son charme, ses mensonges et sa bienveillance Guido tient du vagabond de Chaplin : burlesque dans l'effet de sa gestuelle, de ses multiples accoutrements, ce personnage peu banal détient l'âme - et donc l'arme - du film. Très dialogué, quasiment théâtral dans sa forme visuelle La Vie est Belle articule son récit en deux parties bien distinctes : la première - la plus réussie - tient de la comédie populaire italienne, développant la romance naissante entre Guido et sa dulcinée Dora. Reposant sur la légèreté et le comique de situation cette première partie témoigne de l'imaginaire perpétuel du réalisateur ; dans un deuxième temps Roberto Benigni rentre dans le vif de son sujet, à savoir la Shoah... C'est alors que le film devient particulièrement ambigu, l'auteur cherchant avant tout à divertir - comprendre faire rire ET faire pleurer - en dénaturant le cauchemar des camps de la mort. S'il n'escamote jamais complètement la terrible réalité de l'Histoire ( parfois assez bien reconstituée ) il passe tout de même beaucoup de pommade sur le tableau macabre que la Shoah représente véritablement. On ne se risquera pas à parler de négationnisme à propos de La Vie est Belle, bien qu'une sensation paradoxale perdure une fois la projection achevée : si l'héroïsme de Guido est sauf par sa portée sacrificielle le comique de détournement dérange considérablement par son efficacité souvent irrespectueuse à l'égard des disparus. Bémol majeur pour une fable que je prends toujours plaisir à revoir, car généreuse et poétique. A voir au moins pour deux séquences : celle du Grand Hôtel et celle, plus lyrique, de Guido passant Offenbach dans la nuit des camps...
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    Ceci est un film médiocre, et cette étoile n'est là que pour rendre hommage au bon jeu des acteurs. Rien n'est réaliste là dedans, même moi qui ne vivait pas à cette époque ait pu m'en rendre compte, par contre mon grand père, déporté à Auschwitz, a quitté la pièce à la moitié du film en me disant ces mots avec lesquels j'adhérais totalement:" Ce camp qui est montré, par rapport à là où l'on était, sache que c'est pareil que Disney Land.". Ce n'était pas un jeu,c'était un enfer et ce film est tout sauf réaliste. Aucun intérêt.
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