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Votre avis sur Indiana Jones et le Temple maudit ?
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Dans la droite lignée du précédent opus, avec finalement un peu les mêmes qualités et défauts (je pourrais presque faire un copier-collé de ma critique des "Aventuriers de l'Arche Perdu" !). Harrison Ford toujours au top, le rythme et l'humour efficace, un scénario un peu basique (un peu trop « gore » même !) ... La fin est mieux réussi que le premier épisode qui faisait un peu trop simplet, le tout à tout de même un peu vieilli.
Une aventure d'Indiana beaucoup plus sombre et sordide ! Heureusement que les acteurs et actrices secondaires sont là pour rajouter une touche d'humour ! Par contre on est bel et bien transporté dans le film : de la tension, du suspens, du dégoût, de l'aventure. On est emmené avec un scénario bien écrit et une bande originale toujours aussi accrochante
Je suis dsl mais suis je la seule à trouver que ce film a très mal vieillis ? En effet je trouve que les James bond a côté vieillissent bcp mieux ! Je me suis ennuyée tout est sur jouée et le rôle de la blonde effarouchée qui crie tout le long du film et qui a toujours peur de se casser un ongle n'est plus du tout d'actualité !
Sublimissime un film culte de toute la saga des indiana jones c'est un des meilleurs voir le meilleur les scènes d'actions sont excellentes vraiment à regarder ça vaut le coup
ce film est bof meme si Harrison fort est au top de sa forme le film laisse rapidement place a l ennuie heureusement quil on mit willy pour mettre de l humour peut present dans ce film je prefere le 1er
Un cran en dessous du 1e et du 3e , ce second volet est quand même un très bon film d'aventures. Plus sombre que le premier, il nous emmène cette fois en Inde. Indiana Jones est accompagné cette fois d'une danseuse de cabaret (Kate Capshaw qui incarne le rôle à merveille) et d'un petit garçon inventif. Il nous offre encore de belles cascades et de nombreuses scènes d'action superbement mises en image par Spielberg. L'ensemble bénéficie de somptueux décors, d'une musique enivrante.
Il y a énormément de faux raccord sur les paysages de fond. On voit clairement certains fonds verts très mal incrustés. Une montagne se déplace de quelques centimètres en arrière-plan, une falaise disparaît d'une scène à l'autre, etc. L'introduction est assez longue et inutile, on aurait directement pu entrer dans le sujet pour raccourcir la durée du film qui reste plutôt longue. Le jeu d'acteur rattrape un peu ces bêtises, ça reste bien joué pour un vieux film. Certaines scènes d'humour sont bien réussies, ils poussent la blague jusqu'au bout, ce qui finit par nous faire rire. Le but final est très long à mettre en place. Jusqu'à la conclusion, on ne sait pas précisément où ils allaient ni pourquoi ils y allaient. Ce qui est très dérangeant car on n'a pas d'objectif à quoi s'accrocher, on n'a aucune direction à suivre. On ne peut pas se dire qu'il est proche de son but final ou pas, on ne le connaît pas. Il y a de longs dialogues sans queue ni tête qui n'apportent rien à l'histoire dans toute la première moitié. Les actions ne manquent pas sur la fin, mais des scènes se répètent pour le suspens et ça se voit donc ça perd en crédibilité. Sur un tapis roulant qui avance, un coup il est à 20 cm de la fin, puis après il se retrouve à 50 cm pour prolonger la scène. Ça fait mal monté. Dans l'ensemble, c'est plutôt moyen et ennuyant.
Un Indiana Jones incroyable comme le 1er ou le 3e... Une histoire accrochant avec de superbes idées
Je viens de revoir ce film 30 ans après et il n'a pas vraiment vieilli , du grand spectacle très efficace , des décors majestueux , des scènes d'action à couper le souffle , chaque plan respire le cinéma et la créativité . Ce film est assurément un chef d'oeuvre du septième art .
ConFucAmuS
Retour de l'aventurier au fédora maniant du charme aussi bien que du lasso. Si Le Temple maudit opère à un retour en arrière dans sa chronologie (il se passe avant Les Aventuriers de l'Arche perdue), le film marque bien le bond en avant pour ses créateurs. Selon des règles appliquées sur la saga Star Wars, George Lucas estime qu'un numéro 2 doit être plus sombre. De son côté, Spielberg est encore déboussolé par le film La Quatrième dimension, qu'il produisait et fut marqué par le décès de 3 comédiens. Pour Indiana Jones, c'était donc une tentative pour donner de nouvelles teintes à son univers, et pour son réalisateur un moyen de se libérer d'un poids sur la conscience.
Quoiqu'il en soit, le film est une réussite sur tous les plans. Il assume encore plus sa filiation avec un certain Tintin, notamment dans les scènes d'action extravagantes, qui tirent parti du lieu et des obstacles sur la route (au hasard, la première scène au bar ou la chute libre dans un canot pneumatique (!) ). En ce sens, Le Temple maudit est une parfaite continuation de son prédécesseur, incroyablement ludique et rigolo. Particulièrement dans les échanges drolatiques entre Indiana et Willie (Kate Capshaw, sensationnelle), auxquels Spielberg ajoute une bonne dose d'humour lugubre (vous n'êtes pas prêt d'oublier ce festin au palais de Pankot).
Pourtant, cette suite est effectivement plus sombre, sûrement bien au delà des espérances de G. Lucas. Les aventures de la petite troupe (Indiana, Willie et Demi-Lune) recèlent de moments chocs, à base d'embrochage, de coups de fouet et de sacrifice à cœur perdu. Si vous aviez oublié à quel point Spielberg peut être sauvage, ce film va vite vous rafraichir la mémoire. Pour la petite histoire, Le Temple maudit est à l'origine d'une nouvelle classification aux États-Unis, le PG-13 (déconseillé au moins de 13 ans), tant sa violence a surpris voire ulcéré.
Le Temple maudit est un parfait mélange d'humour, d'horreur et d'action. Sur ce dernier point, il offre à la franchise certains de ses plus beaux morceaux de bravoure, tous contenus dans sa dernière demi-heure (la poursuite en wagonnet, le pont de singe) qui mêle matte painting, miniatures et effets pratiques.
S'il n'est pas aussi étincelant que Les Aventuriers de l'arche perdue (en cause, le rythme un peu étrange), ce deuxième volet en est malgré tout un digne héritier. Le retour au cinéma d'aventures a cependant permis à Spielberg de retrouver sa verve et son mordant. Quant à Lucas, il voyait sa deuxième licence conforter sa place à part dans le paysage. Une victoire donc.
Quoiqu'il en soit, le film est une réussite sur tous les plans. Il assume encore plus sa filiation avec un certain Tintin, notamment dans les scènes d'action extravagantes, qui tirent parti du lieu et des obstacles sur la route (au hasard, la première scène au bar ou la chute libre dans un canot pneumatique (!) ). En ce sens, Le Temple maudit est une parfaite continuation de son prédécesseur, incroyablement ludique et rigolo. Particulièrement dans les échanges drolatiques entre Indiana et Willie (Kate Capshaw, sensationnelle), auxquels Spielberg ajoute une bonne dose d'humour lugubre (vous n'êtes pas prêt d'oublier ce festin au palais de Pankot).
Pourtant, cette suite est effectivement plus sombre, sûrement bien au delà des espérances de G. Lucas. Les aventures de la petite troupe (Indiana, Willie et Demi-Lune) recèlent de moments chocs, à base d'embrochage, de coups de fouet et de sacrifice à cœur perdu. Si vous aviez oublié à quel point Spielberg peut être sauvage, ce film va vite vous rafraichir la mémoire. Pour la petite histoire, Le Temple maudit est à l'origine d'une nouvelle classification aux États-Unis, le PG-13 (déconseillé au moins de 13 ans), tant sa violence a surpris voire ulcéré.
Le Temple maudit est un parfait mélange d'humour, d'horreur et d'action. Sur ce dernier point, il offre à la franchise certains de ses plus beaux morceaux de bravoure, tous contenus dans sa dernière demi-heure (la poursuite en wagonnet, le pont de singe) qui mêle matte painting, miniatures et effets pratiques.
S'il n'est pas aussi étincelant que Les Aventuriers de l'arche perdue (en cause, le rythme un peu étrange), ce deuxième volet en est malgré tout un digne héritier. Le retour au cinéma d'aventures a cependant permis à Spielberg de retrouver sa verve et son mordant. Quant à Lucas, il voyait sa deuxième licence conforter sa place à part dans le paysage. Une victoire donc.
Face au succès du premier volet, Indiana Jones est de retour et donne, cette fois, son nom à la saga. Spielberg nous livre une nouvelle fois un film d’action / aventure très intense. Indiana fait équipe avec des deux compagnons en la personne de Kate Capshaw (alias Willie) et Jonathan Ke Quan (alias Demi-Lune). Si ce dernier est très réussi, c’est beaucoup moins le cas du personnage féminin qui n’est là que pour être le « love interest » de l’aventurier. Elle est très caricaturale, parfois insupportable et colle très mal à l’action contrairement à Marion qui était bien meilleure dans le premier opus. Toutes les scènes sont spectaculaires et sont clairement là pour vous en mettre plein la vue. Le souci c’est qu’en voulant trop en faire, la plupart d’entres elles deviennent grotesques tant elles sont impossibles (la scène de l’avion par exemple).
Vous avez là le film parfait si vous souhaitez de l’aventure et de l’action à foison néanmoins attendez-vous à un scénario qui alterne le bon et le moins bon.
Vous avez là le film parfait si vous souhaitez de l’aventure et de l’action à foison néanmoins attendez-vous à un scénario qui alterne le bon et le moins bon.
Je préfère personnellement ce deuxième volet au premier. Il dispose de scènes très marquantes comme celle d'ouverture ou la scène sur le pont. Je trouve les scènes d'action meilleures, même si elles sont beaucoup moins nombreuses. Malheureusement, le personnage de Willie est parfois un peu insupportable je trouve, et les méchants sont toujours aussi oubliables. Cependant, les scènes de torture dans le temple sont excellentes selon moi et toute la séquence où Indiana tente de s'échapper du temple est épique.
Bref, un film d'aventure très bon, meilleur au premier selon moi.
Bref, un film d'aventure très bon, meilleur au premier selon moi.
Le célèbre archéologue professeur aventurier comme Tintin le reporter, sa plus grande fan Lara Croft, intrépide modèle de héros des temps moderne, XXème siècle du commerce, de Shanghai des triades, l’occasion pour Indiana Jones.
Un nom de cinéma spectacle crée par le duo Steven Spielberg et George Lucas, des références auto-clin d'œil Star Wars, à leur donner des claques et claquettes sur scène chanté par la délicatesse extrême-orient pavillon d’or restaurant impérial.
Le saut d’un bond non stop vers d’autres horizons voisines nostalgiques, vers l’Inde des éléphants Dieux multiples talents artistiques, au temps de l’empire britannique colonial, une suite donnée au succès du premier, les aventuriers de l’arche perdue.
Ça va, c’est peu mieux le temple maudit incroyable les baffes lasso lacet, chez cet érudit éminent voyageur chasseur de trésor inestimable, une boutique héritage de père en fils, beaucoup de familiarité en redécouvrant la mise en scène.
L’appétit ragoûtant au cinéma, inviter par cette civilisation millénaire à bras ouvert et offrande au plus offrant, le dépaysement total pour les petites princesses fiancées douillettes, il n’y aura que cela à table, tonnerre de Macau !
On entre dans l’antre du côté obscur, loin de cette campagne affaiblie par l’intrigue, assez terrible à voir pour grand public, les pratiques sont inimaginables, incommensurables, du relais complexe dans cette histoire de voltigeur qui finira par y arriver, heureux parfaitement.
Un nom de cinéma spectacle crée par le duo Steven Spielberg et George Lucas, des références auto-clin d'œil Star Wars, à leur donner des claques et claquettes sur scène chanté par la délicatesse extrême-orient pavillon d’or restaurant impérial.
Le saut d’un bond non stop vers d’autres horizons voisines nostalgiques, vers l’Inde des éléphants Dieux multiples talents artistiques, au temps de l’empire britannique colonial, une suite donnée au succès du premier, les aventuriers de l’arche perdue.
Ça va, c’est peu mieux le temple maudit incroyable les baffes lasso lacet, chez cet érudit éminent voyageur chasseur de trésor inestimable, une boutique héritage de père en fils, beaucoup de familiarité en redécouvrant la mise en scène.
L’appétit ragoûtant au cinéma, inviter par cette civilisation millénaire à bras ouvert et offrande au plus offrant, le dépaysement total pour les petites princesses fiancées douillettes, il n’y aura que cela à table, tonnerre de Macau !
On entre dans l’antre du côté obscur, loin de cette campagne affaiblie par l’intrigue, assez terrible à voir pour grand public, les pratiques sont inimaginables, incommensurables, du relais complexe dans cette histoire de voltigeur qui finira par y arriver, heureux parfaitement.
Cet Indiana Jones est pour moi bien en-dessous du premier volet de la saga. Cela tient tout d'abord au scénario. Hormis une première scène de haut vol, la première partie du film est sans intérêt. Elle en devient presque même agaçante. Là où le premier réussissait à nous porter, celui-ci, pendant une bonne partie, n'arrive pas du tout à nous accrocher. Cela est du à plusieurs choses : tout d'abord une intrigue qui arrive assez tardivement et dont on ne comprend pas vraiment les enjeux, deuxièmement, une héroïne féminine assez lourdingue dont on a envie de fermer le clapet. Enfin, un catalogue "d'horreurs" comme on pourrait en vivre dans un train fantôme, qui sonne terriblement faux, et très vieilli. Le côté "sombre" de ce second volet donne une atmosphère pesante assez ennuyeuse. C'est seulement dans la dernière partie que l'on retrouve l'aventure à travers un décor et une scène de ciné complètement démesurée. Elle vaut le détour, c'est certain. Mais elle arrive bien trop tard.
Une épisode réussi et un peu plus terrifiant que le premier mais qui souffre d'un ton un peu plus pataud et d'une intrigue un peu désordonnée.
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