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Un visiteur
3,5
Publiée le 17 juillet 2013
Indiana revient et il est un brin plus lourd et miso que dans le volet précédent. Nous lui pardonnerons dans la mesure où il va vivre ce qui sera certainement son aventure la plus déjantée. Out les nazis et les concurrents archéologues cupides et vaniteux, voici les asiatiques fourbes (du début) et les illuminés indiens tarés de la tête. Outre un scénario bateau, un côté manichéen exacerbé et une réal qui n'évolue pas par rapport au précédent, ce volet restera dans les annales pour son lot de scènes cultes à base de faune hostile, de dîners peu ragoutants, d'arrachage de coeur sans anesthésie, de lavage de cerveau en douceur et de course poursuite en wagonnets miniers. Et que dire du personnage de "Willie" qui aurait dû mourir au moins 20 fois et du petit "Demi Lune" qui nous offre des moments de bravoure complétement incompatibles avec son âge et sa taille réduite. Le moins bon de la trilogie mais qui se rattrape par son côté kitsch et déjanté et le caractère vraiment malsain des méchants.
Encore plus d'action, de rebondissements et d'humour. Mais aussi plus sombre et plus violent. Toutefois, cette surenchère se fait au détriment d'un scénario moins prenant que " l'Arche Perdue ". Mais ne boudons pas notre plaisir. C'est totalement fou, mené plein gaz et on reprend son souffle qu'au moment du générique de fin. La réalisation est extravagante, le casting, les décors et la musique sont également au rendez-vous. Alors, que demander de plus ...
Evidemment moins surprenant que la première aventure d’Indiana Jones, qui avait le mérite de nous présenter son héros légendaire, Le temple maudit, qui est en fait un prequel au précédent, est en plus construit selon un schéma scénaristique bien plus classique, essentiellement à cause de ses enjeux moins passionnants et au nombre de pays visités plus limité. Accompagné d’une danseuse de night-club et d’un gamin chinois espiègle, deux personnages secondaires très stéréotypés (Spielberg reconnait d’ailleurs s’être inspiré du personnage de Tchang dans Tintin et Lotus bleu pour écrire ce dernier), notre archéologue préféré se retrouve donc cette fois en Asie pour affronter une secte indienne adeptes de sacrifices d’enfants. Le fantastique se mêle ainsi très bien à l’aventure mais cette fois l’humour est minimisé au profit d’une certaine noirceur, un choix revendiqué par Georges Lucas qui avait prouvé avec Star Wars que l’épisode central d’une trilogie se devait d’être le plus sombre des trois. Dès son ouverture très violente, on est effectivement plongé dans une histoire épique mais moins axé grand public que la première (ce fut d’ailleurs le premier film à être déconseillé aux moins de 13 ans aux Etats-Unis).
Bien que Le Temple Maudit soit très souvent considéré comme le moins bon de la saga (avant le 4), il faut tout de même reconnaitre que ce film possède une grande, grande qualité. En tout cas, largement supérieur au quatrième opus qui ne mérite pas d'être. Un Indiana Jones toujours aussi charismatique, drôle, épatant. Ce volet est peut être plus violent que les autres, bien que la scène la plus choquante, l'arraché de cœur, reste une scène culte. Une nouvelle fois, tout y est, est n'en déplaise aux détracteurs d'Indiana Jones, la musique est tout aussi intéressante que dans les autres épisodes, et fonctionne bien avec le contenu du film. Une nouvelle fois, les scènes cultes et drôles ne manquent pas: La scène du repas, la poursuite minière, le freinage avec les pieds, la scène ultra cultissime du pont coupé en deux et j'en passe... Et bien que l'histoire différente des deux autres épisodes, on suit sans aucun déplaisir les aventures du plus grand et charismatique aventurier du 7éme art. Harrison Ford campe toujours à merveille le professeur Jones. Il forme dans ce film un trio d'enfer avec l'excellent petit orphelin demi-lune et la génialissime Willie, meneuse de revue hystérique (caricature de la femme qui hurle tout le temps ^^) .Le scénario de ce second épisode est formidable et est remplit de rebondissements. Le film est plus humoristique que le précédent et cela ne gâche rien, bien au contraire. Pour en revenir, comme je disais au début de ma critique, ce film est considéré malheureusement par beaucoup, comme le moins bon de la saga parce que jugé un peu trop sombre et violent, et Je trouve justement que c'est cela qui fait tout son charme et qui le différencie des 2 autres opus. Bref un film CULTE !
Ce deuxième volet des aventures du célèbre archéologue (qui est censé se dérouler avant l'action des "Aventuriers de l'arche perdue") s'avère bien plus sombre que son prédecesseur. Sacrifices humains, enfants réduits en esclavage, rien ne nous est épargné. Mola Ram, le méchant de ce second film, est réellement terrifiant. L'ambiance malsaine (quoique servie par des éclairages rougeâtres) est néanmoins désamorcée par des touches d'humour bienvenues, apportées par la chanteuse Willie Scott et le jeune Demi-Lune.
si il y avait plus de 5 étoiles je les mettrais..de l'aventure avec un A géant, dès le début ça ne s'arrête plus et c'est pleins de scènes et de répliques qui sont devenues culte..cervelle de singe en sorbet, tiens on dirait des gâteaux sec..et surtout l'ambiance, la plus réussie que j'ai put voire on est totalement dedans spoiler: surtout la scène du sacrifice quand le prêtre arrache le coeur du pauvre gars ..bref ce film est l'aventure à lui tout seul, un voyage inoubliable..
Etant pas fan de cette saga, ce second opus n'est pas le meilleur pour moi. Je n'ai pas autant accroché que le premier. Je ne me suis pas attaché aux nouveaux personnages. Je me suis un peu ennuyé à certains passages. La scène dans les mines avec le wagon ne pas comblé. Sinon, on retrouve une aventure bien maîtrisé, avec de bons décors, de bons costumes, une bande son toujours mythique, et un acteur toujours excellent. Il y a aussi pas mal d'humour.
Ce deuxième opus commence plus dynamiquement ! En 10 minutes le scénario nous met direct dans la place où va se dérouler l’aventure. Ici Steven Spielberg laisse tomber le côté professeur et laisse entièrement la place au côté aventurier ! Le personnage de Demi-Lune rajoute un côté humour à ce film plus marrant que le premier ! Le scénario est par la suite un peu loufoque avec ces thugs mais toujours palpitante ! La course dans la mine étant l’apogée de ce film. Cependant un peu dommage qu’il y est énormément de faux raccord ! Rien à dire sur Harrison Ford !
On a coutume de dire que ce second volet des Indy est le moins réussi de la franchise, mais moi je dis non ! Au contraire, c'est très certainement le plus abouti et le plus réussi, car après le coup d'éclat amorcé par Les Aventuriers de l'Arche perdue, il fallait aller encore plus loin. Grâce aux moyens considérables dont il a bénéficié, Spielberg a pu concrétiser les situations les plus folles et les plus spectaculaires. Harrison Ford est au sommet de sa forme, beau comme un dieu, Kate Capshaw (alors madame Spielberg) est aussi très belle, John Williams déroule la Raider's March mais trouve aussi un nouveau thème obsédant et un peu ethnique qu'il décline de façon récurrente durant tout le film qui aligne une succession de scènes mémorables à péripéties non-stop et humour à volonté, parfois burlesque même, telles la délirante poursuite en wagonnets, le repas indien bourré d'araignées velues, de serpents farcis ou de cervelle de singe en sorbet, et aussi la scène du pont suspendu, et celle du tapis d'insectes... bref, du vrai bonheur.
Le film Indiana Jones et le Temple Maudit est sorti en 1984. Il s’agit du 2ème film centré sur le personnage d’Indiana Jones. Cependant, chronologiquement, c’est un préquelle du premier volet. L’histoire se déroule en Inde ou Indiana Jones doit faire face à une secte millénaire : les Thugs. Il sera aidé d’un jeune chauffeur Demi-Lune et d’une meneuse de revue nommée Willie. Pour moi, cet Indiana Jones revêt une valeur sentimentale car c’est un des films de mon enfance avec E.T, Les dents de la Mer etc. Je suis ébloui par les décors de cet opus, avec une Inde mystérieuse et dangereuse. J’ai beaucoup apprécié certaines scènes, celle du pont à la fin par exemple ainsi que la scène d’ouverture dans le bar à Shanghai. Le personnage de Demi-Lune est vraiment attachant contrairement à celui de la danseuse qui est pleurnicharde et souvent à se plaindre. L’humour est toujours aussi présent que dans les Aventuriers de l’Arche Perdue. La musique de John Williams est toujours aussi parfaite avec bien sur le thème bien connu des Indiana Jones.
A mon avis, cet opus est aussi bon que le 1er avec certes un côté un peu plus violent (c’est la secte qui veut ça avec les sacrifices) mais toujours aussi drôle et mouvementé. Un vrai film d’aventure.
Un peu plus faible que le premier et le troisième Indiana Jones, il reste malgré tout de très bonne qualité. Doté de personnages tous plus détonants les uns que les autres (mention spéciale au méchant de l’histoire), il est ultra-divertissant. Le scénario se tient en s’inspirant de la mythique secte des Thugs. Il ne manque pas d’imagination, est dynamique (il y a quelques ralentissements par moment mais cela reste très mineur), et les scènes d’actions sont toujours aussi extra ! Celle du wagonnet et surtout la scène finale du pont sont vraiment génialement menées. Aspect caractéristique des trois premiers Indiana Jones, la qualité des décors et des costumes. Ce deuxième métrage ne déroge pas à la règle et s’avère remarquable, en donnant une très grande diversité de lieux, tous mieux reconstitués les uns que les autres. Curieusement ce film se veut sans doute le plus léger (avec une danseuse de cabaret entrainée dans les affres de l’Inde profonde) et en même temps s’avère être le plus sombre des trois. C’est peut-être ce qui donne ce sentiment un peu bancal que ne possède pas le premier épisode et le 3. Les séquences dans la caverne des Thugs sont violentes, et il y a quelques morts crues. Ces changement d’ambiances brutaux sont parfois un peu gênants, et alors que le 1 et le 3 les entremêlés, ce film tend davantage à les juxtaposer côte à côte. A noter toujours l’excellente musique, variée, soulignant parfaitement les moments de tensions, suivant les images à la perfection, et la mise en scène virtuose de Spielberg. Sa caméra virevolte, se calme, propose des cadrages audacieux, des plans qui mette parfaitement en valeur la qualité des reconstitutions. Comme souvent c’est dans les scènes d’action qu’il fait le plus merveille, et je ne reviendrai pas sur la qualité de ces dernières. Bref, ce deuxième épisode, est un très bon film, très divertissant, encore une fois bourré d’inventivité, et on retrouve parfaitement l’esprit des nombreux livres d’aventures du XIXème siècle. Ces récits extravagants, reposant sur des choses extrêmement réalistes, appuyés même parfois sur des faits scientifiques, et proposant en même temps des histoires complètement rocambolesques pour des rebondissements à tout va.
En un mot : horrible! Un film pas du tout réussi, très grand navet de l'histoire cinématographique avec des scènes plus que nuls (et oui ça existe!). Tout d'abord, il y a de nombreuses scènes qui sont vraiment dégueulasses; et d'autres qui sont vraiment trop enfantines; et trop vraiment trop irréalistes. La fin n'arrange rien du tout : c'est d'un ridicule!!! Indy se trouve dans une sorte de grotte où il y a des esclaves...et monte ensuite à bord d'un train...on croirait vraiment que c'est une attraction à Disney! Aucun intérêt!
"L'aventure a un nom..." tel était l'accroche de cette suite du mythique "Aventuriers de l'arche perdue" qui confirme bel et bien que le genre aventure au cinéma est représenté par Indiana Jones et Indiana Jones. Episode le plus sombre de la saga qui lui a valu d'être critiqué pour sa violence. Une nouvelle interdiction fut crée à l'époque à cause du temple maudit, le PG13 que l'ont maudit tant aujourd'hui. Commençant par une comédie musicale, pour enchainer avec un côté James Bond ( Spielberg a toujours voulu réaliser une comédie musicale et un Jmaes Bond ) "Indiana Jones et le temple maudit" est un grand fourre tout de tout ce qui n'a pas pu être intégré dans "Les aventuriers de l'arche perdue". Un saut en avion sur un bateau gonflable, un dîner particulier, un chef de secte qui arrache les coeurs, une chanteuse pleurnicharde, une course poursuite dans une mine digne d'une attraction disneyland. Ce chef d'oeuvre est un peu portnawak mais totalement jouissif et jubilatoire, enchainant lui aussi les scènes cultes et thèmes chers à son réalisateur: l'enfance.