Heureusement que Lucas a eu la bonne idée de suggérer à Spielberg de mettre des Aliens dans l'épisode 4 d'Indiana Jones! Grâce à lui, le temple maudit n'est plus le plus mauvais Indiana Jones. On peut lui trouver des qualités, mais elles étaient toutes déjà présentés dans l'arche perdu. Si on continue à prendre plaisir à voir évoluer ce personnage exceptionnel, on tourne quand même en rond. Et quand le chaman nous fait plonger dans son antre, on est plus dans le grandguignolesque que le grand cinéma. L'horreur grand public de Spielberg frise meme le ridicule par endroits, c'est dire... Heureusement, Sean Connery arrive !
On a coutume de dire que ce second volet des Indy est le moins réussi de la franchise, mais moi je dis non ! Au contraire, c'est très certainement le plus abouti et le plus réussi, car après le coup d'éclat amorcé par Les Aventuriers de l'Arche perdue, il fallait aller encore plus loin. Grâce aux moyens considérables dont il a bénéficié, Spielberg a pu concrétiser les situations les plus folles et les plus spectaculaires. Harrison Ford est au sommet de sa forme, beau comme un dieu, Kate Capshaw (alors madame Spielberg) est aussi très belle, John Williams déroule la Raider's March mais trouve aussi un nouveau thème obsédant et un peu ethnique qu'il décline de façon récurrente durant tout le film qui aligne une succession de scènes mémorables à péripéties non-stop et humour à volonté, parfois burlesque même, telles la délirante poursuite en wagonnets, le repas indien bourré d'araignées velues, de serpents farcis ou de cervelle de singe en sorbet, et aussi la scène du pont suspendu, et celle du tapis d'insectes... bref, du vrai bonheur.
C’est en Inde que l’on retrouve le plus célèbre des archéologues où cette fois-ci, il doit venir en aide à la population locale, prise sous le joug d’une terrible secte…
Pour ce second opus, Steven Spielberg ne s’est pas reposé sur ses acquis et nous offre une épatante suite, qui va bien au-delà de ce à quoi on aurait pu s’attendre. A l’extrême opposé du précédent opus (qui s’avérait être un film d’aventure parfaitement gentillet à titre de comparaison), cette fois-ci, Indiana Jones et le Temple maudit (1984) verse dans le glauque et le sadisme.
Le film démarre sur les chapeaux de roues, pas le temps de souffler que l’on quitte déjà Shanghai pour se retrouver en Inde où près des ¾ du film se dérouleront sous terre, dans un impressionnant temple. Ce second volet est très sombre, voir glauque. Des images terrifiantes pour un film d’aventure familiale (classé "PG-13" aux États-Unis et déconseillé aux moins de 10ans en France). Entre les cervelles de singes, la vision d’enfants faméliques, le sacrifice humain (avec arrachage de cœur) ou encore le jeune maharadjah qui prend un plaisir sadique à torturer ses victimes. Très clairement, on ne s’y attendait pas, pendant 120 minutes, c’est une escalade vers l’horreur à laquelle on assiste.
Mais tout cela n’enlève en rien le plaisir que l’on peut éprouver devant cette suite (sans nul doute le meilleur de la franchise). Si le film détonne par sa violence graphique, il marque aussi les esprits grâce à des scènes marquantes comme le sacrifice, le roller coster dans la mine ou encore le pont aux singes.
Qualifié par Spielberg lui-même du plus sombre film de la série, cette aventure d'Indiana Jones est souvent le moins aimé ; personnellement je l'adore son histoire est très prenante et l'action s'enchaîne à un rythme fou de plus Kate Capshaw est sans doute la plus charmante des Indy's Girls. Indiana Jones et le Temple maudit est un excellent film d'aventure plein d'exotisme.
encore un film culte réunissant action et humour non stop, avec des paysages magnifiques, la scène du diner devenue culte et une prestation irréprochable !!!!
C'est parti pour ce deuxième volet archéologique basé autour de la légende des pierres de Sankhara en Asie entre la Chine et lInde. Spielberg et Lucas utilisent toujours la recette de l'action et de l'humour. Cependant celui-ci est plus sombre que le précédent, ce qui lui donne une dimension plus profonde et donne un vrai sens à toutes ces scènes d'actions. Mais ce qui est vraiment c'est la voix doublée d'Harrison Ford qui dessert le jeu de l'acteur. Un très bon film tout de même.
Ce n'est pas le meilleur, mais l'humour, la musique, l'histoire sont à la hauteur du premier. Je les aime tous. Ici, il y a quelques scènes marquantes comme le dîner, les mines qui a donné lieu à une attraction chez Disney World, et la fameuse scène du pont. La fille est également très bien choisi, j'aime beaucoup sa précieuse et ses quelques cris. En plus, elle est dégourdie, ce qui est très appréciable. Quant à Demi-Lune, l'acteur est aussi bon et utile que dans les "Goonies". Bref, que du plaisir ! :D
S’il y a un de ses films que Steven Spielberg ne cesse de critiquer, c’est Indiana Jones et le temple maudit ! Il lui reproche d’être trop sombre et violent. En effet, ce film est le plus violent et c’est même celui-ci qui est à l’origine du PG-13 aux États-Unis. Si George Lucas (n’oublions pas qu’il est le réel instigateur de la saga et que Spielberg ne s’est toujours revendiqué que comme simple réalisateur sur cette série) a décidé de rendre le tout plus sombre, c’est pour conserver la structure narrative de son autre saga à succès qu’il venait d’achever, à savoir Star wars (L’Empire contre-attaque étant le plus sombre de la trilogie). De plus, cela lui permet de retranscrire la colère qu’il ressent dans sa vie privée car il est en plein divorce. Cela permet également d’expliquer le traitement assez sexiste du personnage principal féminin, "Willie" Scott. En effet, celle-ci est une caricature de la femme capricieuse. Elle passe son temps à hurler, à être égocentrique… Bref, c’est une personne insupportable. À cette caricature s’ajoutent d’autres facilités scénaristiques. Ainsi, on y retrouve le recyclage d’un passage de La Guerre des étoiles (ou Star wars épisode IV : Un nouvel espoir) dans la séquence où le plafond descend petit à petit afin d’écraser nos héros. De même, on est surpris de voir que "Willie" Scott change de tenue dans l’avion alors qu’elle n'entre dans celui-ci qu'avec sa robe de spectacle et qu’elle n’était pas attendu dans l’avion. On peut regretter également que certains détails concernant la culture hindoue soient fauxspoiler: (ils mangent de la viande alors que les hindous sont essentiellement végétariens, on y utilise une poupée vaudou alors que cela ne fait pas partie de leurs rites…) . On est aussi surpris qu’Indiana Jones lance une pierre sur un personnage voulant frapper un enfant, ce qui indique aussitôt sa présence à ses adversaires et entraine sa capture. Il est également incohérent au sein de la saga (et non pas à l’intérieur même du film) car Le Temple maudit regorge de magie et qu’Indiana Jones dit au début des Aventuriers de l’Arche perdue (qui se situe en 1936, soit un an après) qu’il ne croit pas en cela. Enfin, il est surprenant de voir des jeunes hindous issus d’un village pauvre parler anglais (même si l’Inde était une colonie anglaise en 1935) et que le villageois qui trouve nos héros dans le canot pneumatique parle anglais puis hindou (c’est Jones qui le traduit aux autres personnages). Toutefois, ces défauts sont très facilement acceptés par le spectateur car Indiana Jones reste avant tout un spectacle de grande qualité qui regroupe plusieurs genres. Le générique (où le logo de la Paramount se fond sur un gong rendant hommage à la société britannique The Rank Organisation) se déroule ainsi sur un spectacle de music-hall directement issu des comédies musicales hollywoodiennes type Busby Berkeley (à noter que Spielberg avait déjà filmé une séquence de ce type dans le mal-aimé 1941). Cette première séquence semble également être un hommage à James Bond (Lucas avait proposé le personnage d’un archéologue à Spielberg lorsque ce dernier avait évoqué son envie de faire un film dans le style de la série britannique) car le fait qu’Indiana Jones soit en costume de soirée fait immanquablement penser au héros de Ian Fleming. Outre le côté aventures lié à la saga, Indiana Jones et le temple maudit possède un aspect horrifique beaucoup plus marqué que dans les autres épisodesspoiler: (il y a tout de même un cœur arraché !) . Cependant, Spielberg et Lucas compensent cette brutalité (on ne compte plus les morts violentes) par un humour très présent et efficacespoiler: (ils osent même reprendre le gag du pistolet du premier volet, à la différence que celui-ci est ici manquant à l’appel). Les deux registres sont d’ailleurs habillement associés dans la mythique scène du repas. Celle-ci fait d’ailleurs partie des nombreuses séquences mémorables de ce volet (qui pour la plupart sont à la base des idées mises de côté sur Les Aventuriers de l’Arche perdue) : le cabaret cité plus haut, le vol plané en bateau pneumatique, le train de la mine (ce qui renforce l’impression ressentie parfois d’être dans un immense train fantôme).. . De plus, Jones se trouve affublé d’un sidekick en culotte courte (Demi-Lune ou Short Round en V.O.) très sympathiquespoiler: (même s’il n’est pas très crédible lorsqu’il se met à faire quelques mouvements de kung-fu !) . Ainsi, même s’il faut reconnaitre objectivement quelques vrais points faibles et que sa noirceur l’éloigne des autres volets, Indiana Jones et le temple maudit est un film extrêmement excitant et regorgeant de séquences mémorables qui en fait l’épisode préféré d’une partie du public.
Deuxième volet des aventures hautes en couleur de l'inénarrable Indiana Jones, un épisode peut être plus abouti mais aussi plus rocambolesque encore ! Le duo Ford/Spielberg est toujours à la manoeuvre sur une bande originale flamboyante signée à nouveau John Williams et l'on repart pour une aventure incroyable dans la jungle ce coup ci. Le gamin Demie Lune apporte une vraie plus-value ici alors que Kate Capshaw s'avère plus agaçante qu'autre chose ! Une fois encore les effets spéciaux sont assez inégaux tout du long, en revanche les scènes d'action sont excellentes et notamment cette course poursuite insensée en wagonnets lors du final. Malgré un dynamisme accru comparé au premier épisode, on s'étonne de s'ennuyer de temps en temps lors de scènes qui s'étirent et qui n'apportent pas toujours en intérêt, par contre dès que ça bouge, ça n'a pas son pareil en terme d'action ! On est sur ce qui se fait de mieux comme film d'aventure, à condition évidemment d'apprécier le genre et malgré les énormités scénaristiques et autres, je mets cette suite au même niveau que le premier opus, un excellent divertissement, culte au possible mais qui a tout de même pas mal vieilli dans l'ensemble. Toujours un grand plaisir de le revoir quand même évidemment.
Pour ce 2ième opus, Indiana Jones sort les grands moyens. on retrouve le célèbre avanturier flanqué d'une blonde qui hurle constament et d'un gosse surdoué. Le film est doté de paysages magnifiques et de costumes somptueux. Cependant, la fête est gachée par quelques scènes qui frisent le ridicule, voir risibles. Cet épisode d'Indiana Jones reste aussi bon que le premier.
On retrouve notre aventurier dans une nouvelle aventure, Le film est bien plus sombre que le premier opus, certes il y a toujours un peu d'humour pour contrebalancer avec l'histoire, mais, les sujets traités dans ce film sont tellement dur, que ce soit la misère, l’esclavagisme, la maltraitante des enfants, la cruauté; bref rien de bien réjouissant. Et pourtant on regarde ça comme un gros film pop-corn, l'action y est peut-être pour beaucoup, film hommage aussi, au film REPUBLIC des années 40, choix ouvertement assumé, par Spielberg et Lucas, on pourrait aussi voir un clin d’œil au film Gunga Din, car les fanatiques sont les mêmes, le Thugs, et l'acteur qui joue le sacrifié, dont on arrache le cœur, ressemble étrangement à celui qui jouait le personnage de Gunga din, était-ce voulu...peut-être car rien n'est laissé au hasard avec deux maître de la réalisation. Le film n'a pas pris une ride, même si certains effets spéciaux sont un peu juste; mais le plaisir est toujours le même.