Avis : Chucky la poupée de sang - Page 7

Encore meilleur que le premier !!! On a ici un Chucky plus inquiétant, plus machiavélique, plus sanguinaire, plus drôle... il est plus de tout en fait !!! J'adore, Je le recommande aux plus grands adeptes du genre !!!

Suite assez moyenne des péripéties de la poupée possédée (et du pauvre Andy !). Si il résulte de cette suite quelques scènes somme toute sympathiques, l'ensemble est très moyen et ne se suit pas avec le même engouement que son aîné. On déplore ainsi un rythme un peu bâtard et un regain d'intérêt amorcé par le retour de Chucky qui finalement s'estompe petit à petit. Dommage car la poupée doublée par Brad Dourif reste cruelle et cynique à souhait !

Plus de 40 millions de dollars pour un film ayant coûté à peine 9 millions, qui s’est permis de proposer une nouvelle star de l’horreur en la poupée Chucky tout en s’étant fait remarquer à divers festivals (dont celui d’Avoriaz, édition de 1989), il est donc tout a fait normal que Jeu d’enfant se voit offrir une suite. Après, encore faut-il que cette dernière soit à la hauteur de son prédécesseur, ce que le cinéma hollywoodien, et notamment horrifique, n’a que trop rarement su mettre convenablement en application. Et encore, on pouvait espérer le contraire avec cette Poupée de Sang, réalisé par John Lafia, scénariste du premier opus avec le créateur de celui-ci, Don Mancini. Au final, nous obtenons un produit… potable.

Comme on pouvait s’y attendre, ce Chucky 2 ne s’est pas trop foulé pour exister. Il a suffi au scénariste de faire le lien avec le long-métrage précédent pour en faire une suite directe, de ressusciter le célèbre tueur en plastique, lui donner le même but qu’auparavant ( spoiler: pourchasser le petit Andy pour s’emparer de son corps
), reprendre les mêmes acteurs… et le tour est joué ! Le tout en proposant bien plus de meurtres, de moments dans lesquels Chucky apparaît à l’écran en action ou bien pour balancer une petite insulte dont il a le secret. Mais en dépit de cela, cette suite laisse tomber le côté « enquête policière » du premier opus pour se focaliser tout spécifiquement sur l’aspect « divertissement horrifique » de l’ensemble pour amuser la galerie contre une certaine perte d’intérêt au scénario. Un constat qui fait de Chucky, la Poupée de Sang un banal long-métrage d’horreur devant lequel nous assistons à un enchaînement de mises à mort de personnages secondaires (parfois gratuites, spoiler: comme le technicien de l’usine des Braves Gars
) jusqu’au final, se voyant affronter les survivants principaux au tueur, le tout enveloppé dans un long dénouement qui ne semble ne plus en finir malgré un décor et des moments bien sympathiques.

Ensuite, dans les caractéristiques neutres de Chucky 2, nous nous devons de parler de la mise en scène. Cette dernière se montre tout aussi impersonnelle que dans le premier film et se révèle être même moins maîtrisée. Néanmoins, il y a suffisamment de savoir-faire pour que la Poupée de Sang nous apparaisse tel un divertissement rythmé et finalement assez bien fichu pour ne pas nous perdre totalement. Et ce malgré un casting peu engageant, qui côtoie des comédiens de bonne facture et d’autres, banals au possible (un constat qui s’adresse avant tout à Christine Elise). Un paragraphe ma foi court, des arguments expédiés à la va-vite… pour expliquer que depuis le premier film, rien n’a vraiment changé. Même s’il existe quelques nuances ici et là, la Poupée de Sang se présente à nous comme une sorte de version un peu plus horrifique de son prédécesseur, n’ayant fait que reprendre ses défauts et atouts sans jamais chercher à innover.

Et, encore une fois, si le film réussit à divertir, c’est grâce à Chucky lui-même. Comme pour l’opus précédent, la poupée tire son épingle du jeu de part des effets spéciaux lui donnant vie très convaincants, son aura à la fois machiavélique et farceur, et surtout au retour de Brad Dourif au doublage. Tel Robert Englund pour Freddy, il est Chucky. Par là, il faut comprendre que le comédien est irremplaçable, étant le seul à interpréter son personnage comme il se doit, lui donnant le charisme nécessaire (rien que par là voix, s’il vous plaît !) afin d’en faire un protagoniste terriblement attachant et jouissif malgré son statut de tueur psychopathe. Sans aucun doute un indispensable au casting, au film et pour le coup à la franchise !

Voilà, c’est vraiment tout ce qu’il y a à dire sur Chucky, la Poupée de Sang. En gros, pas grand-chose si ce n’est que cette suite reprend ce qui a été fait dans le premier film (pour le coup, je vous renvoie à ma critique sur Jeu d’enfant), en moins bien. Un divertissement horrifique lambda qui peut une nouvelle fois compter sur sa « tête d’affiche » pour susciter la curiosité et garantir un visionnage pour le moins amusant. Mais cela sera-t-il encore suffisant pour permettre aux futures suites de valoir encore que l’on s’y attarde ? Réponse prochainement !

La saga des Chucky fait partie des films d'horreur qui font vraiment peur et donc, quand on les regarde, on s'accroche à son fauteuil ! Le N°2 est aussi bon que le N°1. Alex VINCENT, malgré son jeune âge, nous prouve qu'il n'en a pas si peur que ça au contraire des adultes et il assume ce rôle avec un aplomb stupéfiant tout autant que Daeg FAERCH, Jimmy BENNETT, Harvey STEPHENS, Giovanni FREZZA et Stephen DORFF à cet âge là ou à peine plus vieux dans des films similaires. Si vous ne l'avez jamais vu et vous voulez faire des cauchemars la nuit prochaine, regardez-le et demain matin vous vous réveillerez en sueur. C'est un film que j'ai eu plaisir à voir et à enregistrer en DVD. Il a en effet sa place dans toute bonne DVDthèque à condition de ne pas le mettre dans toutes les mains !

Moins bien que le premier mais il se laisse tout de même regarder. Cependant le fait de réparer une poupée démembré, brûlée bref foutue est un peu tiré par les cheveux. La poupée animatronique est elle toujours aussi bien foutue.

Un retour réussi pour ma poupée de sang préféré avec encore des meurtres sanglant. Chucky retrouve Andy Barclay pour notre plus grand plaisir :-D.

Une suite vraiment réussie, avec de nombreuses scènes flippantes et un très bon scénario. De plus, la réalisation est vraiment originale, enchainant plans séquences et plans fixes. Un film que je recommande vivement pour tous les fans du premier.

Assez semblable au premier mais qui reste fun. Une suite correcte malheureusement avec toujours le même gosse.

Très satisfait de cette suite, on retrouve bien sûr Andy qui se retrouve pourchassé par chucky qui lui est pret à tout pour s'emparer de son corps LOL. Franchement, on ne s'ennuye jamais dans ce genre de film, toujours de l'action et c'est le point fort du film. Suspens & humour sont les 2 registres qui décrivent le mieux ce film .

Bon film, du gore de l'humour noir, comment finit Chucky m'a fait explosée de rire ! À voir pour les amateurs de "comédies horrifiques".

Moins effrayant que son predecesseur, cette suite n'en est pas désagréable pour autant.L'infernal chucky, plus que jamais coiffé à la diable,continue de s'en prendre a andy barclay qui atterit cette fois dans une famille d'accueil chaleureuse et aimante souhaitent lui faire oublier les evenements traumatisants qu'il a connu auparavant.
C'est mal connaitre le diablotin de plastique que de l'avoir enterré si vite.
Il parsemera sa route de cadavres et de sang, non sans un humour decapant.
J'ai vraiment apprecié cette suite sans pretention qui est a la fois inquietante et humoristique( sans tomber dans la parodie la plus grotesque pour autant).
Seul le final dans l'usine est pour moi un peu vite expédié mais bon....
Sinon, on retrouve l'acrtice christine elise de "beverly hills" dans le role de la soeur protectrice d'andy.
A noter une drole de scene ou la maitresse d'ecole feuillette les dessins des eleves avant de tomber sur celui d'andy sur lequel est joliment colorié"fuck you bitch".Quel farceur ce chucky quand meme!

Chucky 2, à défaut d'être une très bonne suite, reste un bon divertissement horrifique. On va être sur un long métrage d'horreur qui va se trouver être assez long dans sa première partie, il faudra attendre l'arrivée de Chucky pour que le rythme devienne plus pimenté. Voir la poupée démoniaque ; aussi drôle, grotesque que sadique et gore ; trucider ses pauvres victimes est assez hilarant faut l'avouer ( Brad Dourrif fait ici un excellent travail de doublage). Les personnages sont banales et peu intéressants ;d'autant plus que le jeu d'acteur rendrait jaloux un épisode Grey's Anatomy;si ce n'est Andy, avec son traumatisme dû aux événements du 1er film, qui apporte un touche de consistance sur cet ensemble de vide que représente ces antagonistes. L'univers de l'industrie du jouet est sympa et bien amené, surtout avec le climax final du film. À noté une fin un peu trop expéditive, mais bon, c'est un usage coutumier dans les slahsers movies.
Un petit divertissement sans prise de tête ( ceux qui ont vu le film comprendront le sens de cette phrase...)

Exellente suite, toujours dans la lignée du premier, j'ai rien a dire sur ce film, Chucky est toujours aussi méchant, le scénario tient la route, c'est bien fait, enfin ce film est génial.

Un scénario inconcevable, plus incohérent que le précédent. Aucune crédibilité mais cette poupée je l'adore ! Donc deux étoiles pour son humour glacial et sa gueule tripante.

Child's Play 2 constitue une suite extrêmement logique au premier opus, et les deux films vus comme un tout se complètement parfaitement. Le premier film nous bluffait avec ce nouveau type de serial-killer et était plus axé sur la présentation de Chucky et le potentiel des poupées tueuses. Cet épisode ressemble beaucoup plus à un film d'horreur comme on l'entend généralement, l'ambiance est bien plus sombre et le film lui-même est nettement plus gore : maintenant qu'on connait Chucky, faut le faire passer aux choses sérieuses. La réalisation, plus précisément les mouvements de camera, permet de donner à ce film toute son atmosphère et bien que les situations et meurtres sont téléphonés et prévisibles, on sent la tension véritablement s'installer, John Lafia prend son temps et nous laisse de faux indices, et ça devient un régal. Point négatif, inhérent au principe même du film : ce qui pourrait être effrayant perd nettement de son impact lorsque c'est une poupée rousse faisant dans l'ironie qui est dans l'action. Bien que ça soit parfaitement malsain.