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selenie
6 250 abonnés
6 184 critiques
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3,0
Publiée le 21 avril 2020
Les décors également sont assez grandioses du Château de Chantilly au Golden Gate en passant par la Tour Eiffel, les séquences de bravoure ne manquent pas. Si l'intrigue principale demeure un peu tirée par les cheveux on apprécie tout de même le petit truc en plus avec le médecin style disciple de Mengele dans les camps de la Mort de 39-45. D'ailleurs, en VF le mot silicon est littéralement prononcé comme la silicone, d'une stupidité effroyable puisque silicon en anglais veut surtout dire silicium, déjà plus cohérent avec la composante d'une puce électronique ! Si on plonge avec délectation dans cette nouvelle aventure, il faut bien l'avouer, c'est aussi et surtout grâce à son tandem de méchants Grace Jones-Christopher Walken qui forme un couple atypique, à la fois d'un glamour vénéneux et d'une folie presque physique dans leur performance. Site : Selenie
7ème et dernier James Bond interprété par Roger Moore, le pire comédien de la franchise. Pour sa dernière apparition, les scénaristes ont conçu un scénario qui fait la part belle aux scènes d’action ; Roger Moore va devoir faire le clampin sur le tournage et admirer sa doublure faire des roulé boulé et autres cascades. Entre papy Moore qui traîne la patte et l’entrer en scène d’une doublure tonique ; çà se voie, çà crève même les yeux… pathétique. Depuis 3 films, la franchise se discrédite. Au-delà de Moore ; Loïs Maxwell, 23 ans de Moneypenny derrière elle, fait limite rire lorsqu’elle minaude avec Bond… séance de drague à l’EHPAD !!! Et pour compléter le tableau gériatrique, le « so british » Patrick Mc Nee est appelé en renfort ; « so funny ». Le scénario est aussi un pensum : approximations narratives, histoire rocambolesques de cheval dopé, une trame narrative pauvre et s’étirant en longueur que l’on a limite la sensation d’assister à un film parodique. A se mettre sous la dent, reste un film généreux en scène d’action parfois spectaculaires même si là aussi on assiste à un vaste recyclage (la poursuite à ski du pré générique ; Rémy Julienne recycle ses vieilles cascades autos du « Cerveau »). Sous la dent aussi Christopher Walken qui lui apporte un peu de sang neuf ; même s’il reste aussi bien sous exploité au regard de son potentiel. A éviter même pour le spectacle ; à la même époque on faisait déjà mieux… « Piège de cristal » par exemple. tout-un-cinema.blogspot.com
15 ème aventure de Bond et c'est la dernière avec Roger Moore. Bond doit faire face à Zorin, un riche et puissant industriel avec une intelligence hors du commun, qui est speécialisé dans l'informatique prépare un plan machiavélique. Ce bond est une bonne aventure et clôture brillamment l'ère Roger Moore. Il a un très bon casting, Christopher Walken dans le rôle de ce psychopathe de Zorin est très convaincant, Grace Jones également. Même si le film subit quelques lenteurs, côté action on est servi, rien que dans la course poursuite en plein Paris. Toutefois on notera que Roger Moore accuse le poids des années, un Bond qui devient vieillissant et qui perd en crédibilité, dont le public subit une lassitude. Toutefois, on ne retira pas la haute performance de Roger Moore dans l'ensemble des films Bond, qui a su imposé son style, et à pallier à l'absence de Sean Connery. D'ailleurs c'est toujours Roger Moore qui a fait le plus de film à ce jour. Dangereusement vôtre reste toutefois un bon cru.
Un James Bond, ou comme d'habitude se mele l'action, les cascades et tous ce qui va bien. Le scénario se répète tout de meme avec des russes, puces microscopiques, et tout le toutim. un air de déja vu.
Sur on va dire les "anciens" James Bond, ce fut un de mes préférés. Christopher Walken en méchant, la BO de Duran Duran, et le last but not least de Roger Moore en James Bond font un bon film à voir, ou plutôt maintenant à revoir...4/5
Un 14ème épisode (et dernier de Roger Moore), un peu poussif mais restant divertissant avec quelques scènes sympas et le couple tordu formé par Christopher Walken et Grace Jones.
Un bon cru avec un méchant interprété magistralement par Christopher Walken. A noter aussi l'excellente prestation de Grace Jones en redoutable tueuse. Seul petit bémol un Roger Moore un peu âgé pour le rôle mais qui conserve un charme intact.
C'est le 2eme moins mauvais Bond de la période Roger Moore, derrière Octopussy. Dans les points positifs : - Christopher Walken incarne parfaitement le méchant complètement taré - Sa femme de main est hyper stylée et apporte beaucoup de charme à ce film. - Une super ouverture à skis, toujours très réussies dans les Bond manifestement.
Mais l'histoire est bancale, Moore toujours autant à la ramasse... La bonne nouvelle, c'est que c'est la fin du règne Moore. Place à Timothy Dalton !
Sous l’insistance des producteurs, Roger Moore reprend du service pour son 7ème et ultime James Bond et partage l’écran, à 58 ans, avec ses nombreuses (et bien trop visibles) doublures. Dirigé à nouveau par John Glen, « Dangereusement Vôtre » est une bonne cuvée. Passant beaucoup mieux que les sous-entendus scabreux (et cessés être drôles) qui parsèment les dialogues, les récréatives scènes d’actions sont en bon nombre : pré-générique alpin, cascades sur la Tour Eiffel puis en taxi, poursuite en camion de pompier à San Francisco et final vertigineux sur l’un des piliers du Golden Gate Bridge. Incarnant Max Zorin, Christopher Walken fait partie des intéressants psychopathes de la franchise. Côté féminin, on ne peut pas en dire de même de Tanya Roberts, belle et oubliable potiche qui se fait, en toute logique, supplanter très largement par la sauvage et impétueuse Grace Jones. A noter qu’après 14 contributions, c’est la dernière fois de Miss Moneypenny apparait sous les traits de Lois Maxwell. Sorti en 1985, le film a pu également compter sur le tube du groupe Duran Duran pour grimper aux sommets des charts.
Bon, on ne se cachera pas que James Bond a vieilli, mais il conserve néanmoins de beaux restes. Comme à l'habitude, on ne s'ennuie pas et les 2h passent sans s'en apercevoir. Ici, on a même droit à une course poursuite au cœur de Paris. L'action, les cascades paraissent un peu désuète, les gadgets sont très peu présent dans celui-ci et encore moins de jolies voitures. Donc , ce Bond est un peu en dessous des autres opus mais se laisse voir et revoir sans problème.
Dangereusement votre, est le meilleur film de Bond avec Roger Moore, voici pourquoi :
-La meilleure chanson de la saga James Bond : A view to a kill interprété par Duran Duran -Christopher Walken alias Max Zorin interprète le meilleur ennemi de Bond, avec sa part de folie, son humour noir et surtout son physique de personnage dangereux. -Ensuite les lieux de l'action : Chantilly, San Francisco, Golden Gate...
Même si le scénario de Dangereusement vôtre ressemble beaucoup à celui de Goldfinger, ce dernier est nettement que le film de 1964. C'est pourquoi je recommande ce film à ceux qui ont toujours cru que Dangereusement vôtre était nul, car ce dernier est en effet l'un des meilleurs James Bond, avant bien sûr L'espion qui m'aimait et Au Service secret de sa majesté. J'espère que mon commentaire pourra vous être utile si vous avez été indécis sur ce film.
Ah la la après les précédents et décevants James Bond Dangereusement votre est plus réussi même si Roger Moore a vieilli il nous surprend toujours. Le méchant Christopher Walken fonctionne bien et a un plan machiavélique intéressant. L’actrice Grace Jones a une grande noirceur. Une grande partie du film se passe en France, ce qui fait plaisir à voir. Un bon James Bond Je vous le conseille
Un bon vieux 007 des années 80, ça ne se refuse pas ! Toujours aussi british et séducteur, l'agent secret réussit une fois de plus à nous divertir dans une aventure haute en couleurs. Bond trouve sur le corps de 003 une puce électronique qui est construite par la société Zorin Industries. En enquêtant sur ce magnat immobilier, Bond découvre que Zorin a pour objectif de détruire Silicon Valley pour avoir le monopole du marché des puces électroniques... La réalisation est un peu plate, mais pas mauvaise: la mise en scène est agréable, les prises de vues réussies, les mouvements fluides, la profondeur de champ est bonne et le cadrage réussi. Manque juste un peu de punch dans les séquences d'actions pour être vraiment réussi. Le scénario est un peu tiré par les cheveux et les scènes d'actions s'étirent trop sur la fin; mais elles ne sont pas moins spectaculaires et bien rythmées. On trouvera quelques incohérences et clichés sur lesquels on ne s'attardera pas pour continuer d'apprécier le spectacle. Les acteurs sont crédibles, pas de sur- ou de sous-jeu, sans pour autant être des interprétations oscarisables. Les personnages sont attachants et bien écrits. Les dialogues font preuve d'humour et sont majoritairement plaisants. La photographie de Alan Hume (Star Wars Épisode VI- Le Retour du Jedi) a pris un coup de vieux mais la lumière reste bonne et les couleurs sont réussies. Le montage est un peu lent par moments mais regagne en intensité dans les séquences de courses-poursuites. Les décors sont très beaux, les costumes réussis et la musique très années 80, mais ça fonctionne encore. "Dangereusement vôtre" reste un bon cru à déguster au cours d'une soirée nostalgie.
septiemeartetdemi.com - Quelle résistance de la part de la franchise face au temps ! À ne connaître que ce film et les précédents, la rupture entre le genre originel et celui de maintenant s'annonce de plus en plus fine. C'est à croire qu'ils le font exprès. On est en 1985 et l'affiche est encore dessinée à la mode des années 1940 (on y aura droit jusqu'au dernier des cinq films de 007 par John Glen, Permis de tuer, en 1989). Certes, une affiche n'est pas qualitative, mais on est encore loin de l'explosion commerciale de 1997 et le scénario figé dans ses classiques insiste à être le reflet de son actualité, puisqu'il nous radote la détente américano-soviétique. Le sujet de la Guerre froide est heureusement sur le point de s'épuiser. Difficile de considérer l'oeuvre dans l'absolu quand elle étire la matière élastique d'un démodé résilient que Roger Moore, essoufflé, ne peut pas déchirer. De son propre aveu et de celui de son prédécesseur Sean Connery, à 57 ans, il était trop vieux (pour résultat, ce film est celui que l'acteur aime le moins dans lequel il ait joué). Mais l'équipe est brassée, ce qui témoigne de premiers grands mouvements : tout comme Moore, Lois Maxwell va quitter la série, n'amenant même pas à soixante minutes ses apparitions cumulées dans la série. Mais en attendant, on reste sur sa faim.