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cylon86
2 515 abonnés
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3,0
Publiée le 1 juin 2014
Septième et dernière mission pour Roger Moore dans la peau de James Bond, l'acteur devenant trop vieux pour le rôle. Pour ces adieux, John Glen a mis le paquet : du sommet de la Tour Eiffel à celui du Golden Gate, l'agent 007 est mis à rude épreuve en affrontant un mégalo campé par un savoureux Christopher Walken qui semble s'en donner à cœur joie. Si au final, on n'est plus surpris par le scénario, on se laisse porter par le rythme, ici trépidant, et l'on profite très bien du divertissement qui bénéficie d'impressionnantes scènes d'action. Roger Moore, malgré son âge, a toujours autant de classe et d'humour et il est certain qu'il va manquer à la saga. A noter, la superbe chanson du générique de début, interprétée par Duran Duran.
Rien ne va plus pour Roger Moore, alors que le scénario de cette quatorzième aventure de l’agent 007 est bien trop dynamique pour cet acteur approchant la soixantaine, le méchant interprété par un Christopher Walken qui nous prouve que son charisme naturel ne pâtit pas d’une couleur de cheveux superficielle, lui vole la vedette avec aisance. L’action est à son comble du début à la fin, de la fusillade dans la tour Eiffel à la bagarre aérienne finale, dans ce film signé par John Glen, le réalisateur le plus prolifique de la franchise, et qui, à ce titre maitrise avec virtuosité les codes propres à son héros. L’intrigue et la mise en scène sont suffisamment soignées pour cumuler avec justesse action et suspense et faire de Dangereusement votre l’un des films les plus mémorables de la saga. Après lui, ce Roger Moore vieillissant fera ses adieux à son personnage, remplacé par Thimoty Dalton, mais Lois Maxwell, interprète de l’inoubliable Miss Moneyperry, un des piliers scénaristiques de James Bond, va également s’éclipser pour être temporairement remplacée par Caroline Bliss.
1985 signe la fin du mandat de douze ans inscrit par Roger Moore en temps que James Bond. Il est à ce jour l'acteur ayant tourné le plus grand nombre d'opus. Dangereusement vôtre est heureusement le dernier. Je dis bien heureusement, car l'acteur icône de sa décennie n'est plus ce qu'il a pu être, désormais peu engagé, et à la crédibilité mitigée. Après une scène d'ouverture explosive sur les pentes enneigées de Sibérie, l'action suit son court très tranquillement au fil des courses épiques du château de Chantilly. On découvre un Christopher Walken très en forme dans un de ses rôles majeurs, mais néanmoins peu convainquant en grand méchant plein au as. Le premier vrai défaut de ce film est donc le rempillement déraisonnable de Roger Moore pour un rôle qui en exigeait dix ans de moins. Cela se fait ressentir sur le dynamisme globale, qui, à de trop rares occasions, parvient à maintenir l'attention. L'atmosphère pop cool des années 80 apporte son charme, mais évince très largement ce quatorzième Bond du top cinq. Les Bond girls magnifiques, les bonnes BO, les gadgets high teck, tous ça on connait déjà en 85, et il nous faudra un peu plus que les courbes sculpturales de Tanya Roberts ou Grace Jones, la féline black, pour grimper au rideau. Ce film manque tout simplement de punch et de constance quant à l'intrigue, et s'encombre à outrance de détails loufoques; fracturer la faille de San Andreas, les courses épiques gérées à distance, les microprocesseurs...Mouai, un drôle d'amalgame. Sans vouloir salir une image préconçue, je dirai que c'est à prendre ou à laisser. 2,5/5
Après 6 épisodes, Roger Moore commença à sentir la lassitude et l’âge le rattraper et voulut quitter le rôle de James Bond. Cependant, il fit un tout dernier film, Dangereusement Vôtre, toujours réalisé par John Glen.
Tout commence bien, avec une excellente poursuite en Islande, suivie par un générique absolument fabuleux, chanté par Duran Duran, qui envoyait James Bond dans le monde de la New Wave, tout à fait dans l’air du temps en Angleterre en 1985. On retrouve un duo d’amis, Roger Moore et Patrick MacNee, sur la piste du mielleux Christopher Walken, méchant parfait, entouré de sbires beaucoup moins intéressants, malheureusement (le jeu à côté de la plaque de Grace Jones y est pour beaucoup). La James Bond Girl est plutôt sympathique, jouée par une adorable Tanya Roberts. Et encore une fois, comme d’habitude chez John Glen, hormis une course poursuite parfaite dans les rues de San Francisco de nuit, la deuxième heure, bien que frénétique, est boursouflée, à la limite du pénible. Le passage dans la mine est vraiment bien trop violent pour du James Bond et certaines méandres de l’intrigue sont vraiment tarabiscotées. Heureusement, le final sur le Golden Gate est plutôt réussi et sauve un film un peu loupé et clairement une faible entrée dans la saga.
Le dernier Roger Moore est aussi son plus mauvais intrinsèquement, mais pas le moins appréciable. C’est Timothy Dalton, prévu à l’époque pour remplacer Sean Connery qui reprit le rôle 2 ans plus tard, toujours sous la caméra de John Glen.
La séquence pré-générique annonce le ton du film : spectaculaire mais pas particulièrement original. On retrouve bien tous les ingrédients de la série avec son méchant mégalomane (Christopher Walken qui apporte toute son charisme et sa folie à un personnage pourtant peu écrit), ses 2nds rôles réjouissants (l’athlétique May-Day campée par la culte Grace Jones, l’agent Tibbett joué par Patrick "John Steed" McNee, le savant fou allemand...), ses cascades époustouflantes dans des lieux insolites (le saut de la Tour Eiffel, le final sur le Golden Gate…) et ses personnages récurrents (M, Q, Moneypenny mais aussi le Ministre anglais de la Défense et le général Gogol). Par contre, il manque un peu du charme et de la classe des épisodes précédents (pas de vodka-Martini, ni casino) et la James Bond girl (Tanya Roberts) fait sans doute partie des plus transparentes de la franchise. Et puis, Roger Moore (qui faisait ses adieux au personnage après 7 films) n’a vraiment plus l’âge de jouer 007. Reste un bon épisode mais sans surprise !
Sous l’insistance des producteurs, Roger Moore reprend du service pour son 7ème et ultime James Bond et partage l’écran, à 58 ans, avec ses nombreuses (et bien trop visibles) doublures. Dirigé à nouveau par John Glen, « Dangereusement Vôtre » est une bonne cuvée. Passant beaucoup mieux que les sous-entendus scabreux (et cessés être drôles) qui parsèment les dialogues, les récréatives scènes d’actions sont en bon nombre : pré-générique alpin, cascades sur la Tour Eiffel puis en taxi, poursuite en camion de pompier à San Francisco et final vertigineux sur l’un des piliers du Golden Gate Bridge. Incarnant Max Zorin, Christopher Walken fait partie des intéressants psychopathes de la franchise. Côté féminin, on ne peut pas en dire de même de Tanya Roberts, belle et oubliable potiche qui se fait, en toute logique, supplanter très largement par la sauvage et impétueuse Grace Jones. A noter qu’après 14 contributions, c’est la dernière fois de Miss Moneypenny apparait sous les traits de Lois Maxwell. Sorti en 1985, le film a pu également compter sur le tube du groupe Duran Duran pour grimper aux sommets des charts.
Un James Bond plutôt bon, même si l'on ne peut pas parler de James Bond girl mais de fille courageuse. L'humour est plus subtil que dans Octopussy et les ennemis sont bien plus intéressants - une femme noire comme véritable ennemie de James Bond, il fallait oser ! Tanya Roberts est de loin l'actrice la plus séduisante des James Bond, même si elle joue le rôle d'une cruche. Finalement, le résultat est correct.
Un James Bond moyen, avec un scénario réduit. Roger Moore est à l'aise, il reprend ici pour la dernière fois le rôle d'un James Bond vieillissant, il était temps d'arrêter et Christopher Walken s'amuse bien dans le rôle du méchant. Les scènes d'actions sont réussies comme la scène du camion de pompier ou encore à la fin sur le Golden Gate Bride.
Quatorzième épisode de la franchise James Bond, Dangereusement Vôtre constitue le dernier Roger Moore, confronté cette fois à Max Zorin (Christopher Walken, dans le meilleur rôle de méchant jusqu'à présent), millionnaire qui veut à tout prix faire exploser la Silicon Valley. Sorti en 1985 et ayant les particularités de se dérouler un peu à Paris et d'offrir un rôle à Dolph Lundgren, son destin ne sera pas différent de ses prédécesseurs puisqu'il commence plutôt bien mais finit par livrer un curieux mélange non abouti, au goût fort dérangeant.
Dernier James Bond de l'époque Roger Moore, ce film reste sur la lignée d'Octopussy avec cependant un retour à l'espionnage plus terre à terre! James Bond plus vieux que jamais, reste à sa place et ne tombe plus les filles à la pelle, ni ne saute d'explosion en explosion. Pour rester dans l'ambiance, John Steed en personne (Patrick McNee de Chapeau Melon...)aide avec la même allure notre héros, ce qui est plutôt agréable pour les puristes. Christopher Walken est parfait en méchant schizo et grace Jones laisse son emprunte. La poursuite parisienne reste pour moi également une scène culte dans la série. Un épisode donc de retraités qui malgré tout passionne et restera comme culte par de nombreuses scènes! Allez, Merci roger!
Quatorzième épisode de la saga, Roger Moore y incarne une dernière fois le célèbre espion britannique. Si Moore a tout de même pris un coup de vieux, sa performance n'en reste pas moins de bonne facture. Côté scénario, Bond découvre sur la cadavre de 003 une puce ultra secrète fabriqué par Max Zorin (très bien interprété par Christopher Walken). Ce dernier a pour objectif de détruire la Silicon Valley pour régner en maître sur le marché des micros processeurs. Si le scénario n'est pas très poussé, il n'en demeure pas moins suffisamment intéressant pour nous tenir en haleine. Ce James Bond garde tout son intérêt grâce aux méchants très charismatiques (Walken et Jones) et à une très belle scène finale sur le Golden Gate Bridge de San Francisco. Au final, ce James Bond est dans la moyenne de la saga et Moore peut partir avec les honneurs pour laisser la place au petit nouveau Timothy Dalton.
2tant fan de James Bond, je peux vous affirmer que celui-ci est le plus mauvais, hésitant entre série à la Dallas ou gros film d'action. Roger Moore et vieillisant, Grace Jones ridicule, mais seul Christopher Walken vient sauver le tout. Passez votre tour!
Septieme et dernier James Bond de la période Roger Moore, un peu vieillissant mais comme toujours plutot à son avantage, Dangereusement votre ne se classe cependant pas parmi les meilleurs d'entre eux. La faute à une photographie désuète, et à une intrigue qui bat quelque peu de l'aile. On notera cependant la présence de méchants charismatiques, incarné par le génial Christopher Walken, et par la vénéneuse Grace Jones.
14ème opus de la série des Bond et dernière représentation pour notre cher Roger Moore (dans l'ensemble excellent !). Film sans saveur et sans aucune surprise par rapport aux précédents volets. Le plus énervant ce sont tous ces éléments complètement capillotractés qui dirigent le scénario dans un sens ou dans l'autre sans forcément que l'on comprenne pourquoi. Après je suis d'accord pour dire qu'au final on retombe toujours sur nos pattes, d'autant plus que la dernière scène sur le Golden Gate de Frisco est magistralement bien tournée. D'autres scènes méritent elles aussi d'être créditées telle que la scène sur la Tour Eiffel et la course poursuite qui suit ainsi que celle avec le camion de pompiers. Mais pour le reste c'est quand même assez creux et l'absence de gadgets de notre bien aimé Q se fait terriblement ressentir ! De son côté le casting est bon, avec une belle trouvaille que cette Grace Jones en méchante destructrice et un Christopher Walken au niveau, même s'il peut faire mieux dans l'interprétation du gros Méchant ! De son côté Tanya Roberts est sublime et ça ne m'étonne pas qu'elle ait marqué les esprits en posant pour Playboy...
En résumé : qui dit "James Bond" dit "film à voir", mais il ne restera pas dans le top de la saga.