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Comédie musicale réalisée par Mark Sandrich, la troisième d’une série de cinq films avec Fred Astaire et Ginger Rogers.
Il paraîtrait que c’est lui qui a créé le couple Astaire-Rogers.
« En suivant la flotte » pourrait être baptisé « Escale à San Francisco » !
Un Fred Astaire que je qualifierai de sage, mais quel plaisir de le voir en duo avec Ginger Rogers.
Si le scénario est assez mince, il a le mérite d’y inclure Randolph Scott ; étonnant pour moi de le découvrir dans une comédie musicale, moi qui l'ai toujours associé à une des figures viriles du western. Ici, il est un jeune marin gentiment ingrat.
Mais comme c’est une comédie musicale, tout finit pas s’arranger grâce aux facéties de Fred Astaire et de sa partenaire Ginger Rogers.
Il paraîtrait que c’est lui qui a créé le couple Astaire-Rogers.
« En suivant la flotte » pourrait être baptisé « Escale à San Francisco » !
Un Fred Astaire que je qualifierai de sage, mais quel plaisir de le voir en duo avec Ginger Rogers.
Si le scénario est assez mince, il a le mérite d’y inclure Randolph Scott ; étonnant pour moi de le découvrir dans une comédie musicale, moi qui l'ai toujours associé à une des figures viriles du western. Ici, il est un jeune marin gentiment ingrat.
Mais comme c’est une comédie musicale, tout finit pas s’arranger grâce aux facéties de Fred Astaire et de sa partenaire Ginger Rogers.
weihnachtsmann
Le démarrage n'est pas du tout représentatif de l'ensemble. Quel dommage....... On ne peut qu'être déçu du déroulement du film. Beaucoup trop de romance et peu de danses au final.
Pourtant la partition offre de sacrés morceaux cultes. "We saw the sea " "let's yourself go" et évidemment ce qui sauve un peu l’ensemble le final avec « let’s face the music »
On reste sur sa faim.
Pourtant la partition offre de sacrés morceaux cultes. "We saw the sea " "let's yourself go" et évidemment ce qui sauve un peu l’ensemble le final avec « let’s face the music »
On reste sur sa faim.
Les films musicaux avec Fred Astaire et Ginger Rogers pourraient faire l'objet d'une riche et répétitive thématique...il y a de tout et celui-ci est à mettre avec les plus pauvres, quantité oblige. La direction artistique est bien sûr de taille, mais l'intrigue semble aussi trouée qu'un gruyère pour être remplie des passages dansés qui n'arrivent pas pour autant avec naturel. Tout ça pour un final très court.
Le plus reprèsentatif des rèalisateurs (mais non le seul) qui a dirigè Fred Astaire et Ginger Rogers est Mark Sandrich, à qui nous devons cinq films dont "Follow the Fleet" qu'il signa en 1936. Ici, seuls comptent les moments où le couple danse! A l'origine, les personnages campès par Astaire et Rogers n'existaient pas et furent crèès de toutes pièces pour l'occasion! L'idèe ètait en fait d'associer leur couple sophistiquè à celui, bien plus guindè, formè par Randolph Scott et Harriet Hillard! La meilleure scène du film se trouve curieusement dans son final avec la très belle chanson "Let's Face the Music and Dance" qui se dèroule sur le pont de la flotte où Astaire rencontre une Rogers qui s'apprêtait à se jeter par dessus bord et qui va retrouver le temps de cette chanson la joie de vivre! Un grand moment! Le reste est sans surprise avec de la romance, des chansons, un club du nom de « Paradise » , un concours de danse (on vous laisse deviner qui va le gagner) et un capucin qui amuse la galerie...
Les 10 films (il m'en manque encore un ou deux!!!) avec le couple mythique Ginger Rogers-Fred Astaire, si on met de côté l'exception bizarrement brillante de "Swing Time", vont de moyen à très médiocre. Ben "En suivant la flotte" est dans le fond-fond du panier. D'habitude une indigeste intrigue vaudevillesque qui pourrait tenir sur un feuille de papier A4 après que celle-ci soit passée dans un broyeur à ordures est rattrapée par un numéro musical ou une chanson formidable. Là rien, c'est plat sans intérêt, rien d'inoubliable, pas de truc comme "Cheek to Cheek" ou "Bojangles Of Harlem". La seule chose que l'on voit c'est que Fred Astaire et Ginger Rogers savent danser. Hiha!!! quelle nouvelle!!! Sans parler que Fred Astaire ne joue pas franchement dans la finesse notamment quand il machouille frénétiquement son chewing-gum, véritable Madeleine de Proust de la phrase récurrente dans notre chère Education nationale "Je ne veux pas de ruminants dans ma classe!!!". La mise en scène sans rythme de Mark Sandrich n'arrange absolument rien à l'affaire, et ce film devient très vite plus agaçant que divertissant. On a plutôt envie de s'y noyer au lieu de la suivre la flotte.
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