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    Les 400 coups
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    Degrace
    Degrace

    31 abonnés 419 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 3 août 2007
    Je ne vois pas dans cette oeuvre toute la profondeur pathétique que d'aucuns lui accordent volontiers. Léaud joue bien, certes, mais il ne m'émeut pas vraiment. Il donne le sentiment que malgré ses petits problèmes d'adolescent mal aimé; et nombreux ont connu pire; il surmonte les évènements avec une certaine indifférence, pour ne pas dire une agaçante impassivité. Rien ne semble toucher ce jeune homme, qui finit par nous ennuyer. De même, si Albert Rémy est ultra-convaincant en franchouillard moyen, cela ne rend pas son personnage plus intéressant. Je retiens donc de ce film qu'il est un petit essai sur l'enfance et l'adolescence, qui ne découvre rien de bien intéressant, et qui se contente d'ouvrir des pistes, comme de montrer quelques platitudes. On retiendra aussi quelques dialogues tordants entre Guy Decomble et le jeune Patrick Auffray, comme ce fameux "c'est pas légal".
    matthieu_amat
    matthieu_amat

    3 abonnés 29 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 juin 2007
    «Les quatre cents coups» est le premier volet des «Aventures d'Antoine Doinel», magnifiquement incarné par Jean Pierre Léaud, dont c'est ici la naissance au cinéma. Doinel, à l'orée de l'adolescence se trouve confronté à la dureté du monde mais en pressent aussi les beautés. Il est malheureux à l'école, mal aimé au foyer, mais a un grand ami, découvre Balzac et le cinéma. Il en viendra à fuir de chez lui et à accomplir quelques larcins, qui lui feront connaître la souricière, puis la maison de redressement; mais c'est toujours les yeux grands ouverts que pleure Doinel. Dans la magnifique séquence où on le voit transporté en fourgon de police, les mains aux barreaux il observe Paris et ses lumières, le Ritz, la fête foraine, Pigalle. Aussi, dans les moments les plus durs et injustes de sa jeunesse, Doinel reste-t-il plein de force, curieux du monde, en attente des possibilités à venir, symbolisées par cet océan devant lequel le film s'achève en toute beauté. Truffaut utilise largement les extérieurs pour que s'y jouent les mouvements de l'enfance: jeux, passages, fuites, errance, départs. « Les quatre cents coups » est dédié à André Bazin, mort un an plus tôt. Cela est doublement significatif: quoiqu'il n'ai pas eu le temps de la voir naître, la Nouvelle Vague doit beaucoup a l'influence intellectuelle de Bazin, fondateur des «Cahiers». En outre, il fut pour Truffaut, qui le rencontra à quinze ans, un père spirituel, et même plus. L'hommage vaut donc comme une reconnaissance de paternité, et doublement, à l'occasion de la sortie d'un film fondateur de la Nouvelle Vague, qui est en même temps le premier long-métrage de son auteur. Si l'on ajoute qu'il est largement autobiographique (la situation familiale de Doinel, le vol de la machine à écrire, la maison de redressement, sont des éléments de l'enfance même de Truffaut), on comprendra d'autant plus le sens de la dédicace au père adoptif. Enfin, on n'oubliera pas la très belle musique de Jean Constantin.
    Eldacar
    Eldacar

    48 abonnés 357 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 18 février 2008
    Un film culte et qui le mérite. Dans cette oeuvre quasi-autobiographique, François Truffaut nous dévoile l'adolescence du turbulant Antoine Doinel, interprété avec talent par Jean-Pierre Léaud. Plus qu'attachant, il interpréte ici son plus beau rôle. Entre-autre, on retient de se film la scéne d'ouverture, le magnifique plan-séquence ou l'on suit Antoine qui court et le dernier plan ou, chose rarissimme à l'époque, Jean-Pierre Léaud fixe la caméra. Mais il y a trop à dire sur se film, alors je le conseille à tout le monde. A voir de toute urgence !
    oranous
    oranous

    142 abonnés 1 097 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 27 juin 2007
    C'est un très beau film.
    Le film raconte comment les jeunes en manque de liberté essayent par leurs propre moyen d'y acceder. Malheuresement parfois a trop vouloir etre libre on "fini" par ne plus l'etre du tout.une fin magnifique. (son "reve" se realise enfin que ce soit voir la mer etre avoir un sentiment de liberté absolu ou presque.).
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 19 mai 2007
    Film touchant à voir une fois dans sa vie .
    La musique est mémorable. Un grand classique en noir et blanc ou chacun se reconnait un peu dans ce film.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 13 mai 2007
    Une perle du cinéma de la nouvelle vague à voir absolument! Tout y est magique! On sourit presque devant les innombrables bêtises de Doinel (remarquable JP Léaud qui jouait déjà de façon très instinctive). De plus, ce film relève aussi de l'autobiographie en de nombreux points sûrement, n'en témoignent l'expérience du centre d'observation pour mineurs ou son beau-père.
    François Truffaut réussit à nous livrer un regard juste sur une enfance injuste.
    SpiderBaby
    SpiderBaby

    43 abonnés 619 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 9 mai 2007
    Le premier film de Truffaut, peut être son meilleur, en tout cas mon préféré. Une des crêtes de la nouvelle vague aussi. Chronique douce-amère, surtout amère, de l'enfance, avec le gouailleur Léaud /Doinel, qui a un problème avec les adultes et l'autorité. Touchant, humain, beau. Un très grand film, à ranger au panthéon du 7e art.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 7 mai 2007
    Chronique de l'enfance, drôle, touchante, intelligente, attachante. Le meilleur de François Truffaut.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 1 avril 2007
    UN SCENARIO INCROYABLE qui fait rire et pleurer à la fois avec une histoire bien construite. Les acteurs sont exelent.
    scorsesejunior54
    scorsesejunior54

    151 abonnés 694 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 21 janvier 2007
    Film emblème de la Nouvelle Vague française, "les 400 Coups" a été réalisé en 1959 par François Truffaut, scénariste la même année du mythique "A Bout De Souffle" de Godart. Cette chronique parisienne possède bon nombre de qualités surprenantes, notamment lors d'une première partie que l'on pourra qualifier de "référence". Le cinéaste semble capable de mêler différentes formes d'arts, alliant à son film quelques caractéristiques de modes d'expression différents. Sa narration notamment, évoque la bonne chanson française contant avec humour, nostalgie et beauté une tranche de vie d'apparence banale. Il est facile de s'attacher aux protagonistes, particulièrement dans celui incarné par Jean-Pierre Léaud, symbole d'une fraîche innocence qui se perd. Ajoutez à cela une musique à l'air obsédant aux sons jazzy et vous obtenez une belle déclaration d'amour à celle-ci. Les plans généraux de le capitale rappellent les photographies en noir et blanc des années cinquante, à la fois réalistes et jouant sur les ombres et éclairages, les traits grossis ou affinés modifiés à loisir par son directeur. La littérature aurait très bien pu capter également cette histoire familiale, à travers une intrigue à rebondissements peuplée de gens aux caractères significatifs qui auraient fait la part belle aux descriptions poignantes. Le metteur en scène est parvenu à donner un certain charme à cet ensemble joyeusement hétéroclite. Quelle dommage alors qu'il ne parvienne pas toujours à passer outre les fautes techniques et que sa direction d'acteurs reste un peu trop théâtrale. Peut-être cela aurait-il mieux introduit une seconde moitié amputée de dialogues et perdant de son intensité par une réalisation un peu hésitante. Celle-ci ne parvient pas à garder son rythme et s'accorde des temps morts en plus de sembler à tourner à vide. Plaisant toutefois dans son ensemble.
    Ti Nou
    Ti Nou

    496 abonnés 3 495 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 décembre 2006
    Dès son premier film François Truffaut signe l'un des grands classiques du cinéma français, il y décrit l'adolescence de manière émouvante et subtile, sans jamais tomber dans les clichés ridicules et ennuyeux.
    Caine78
    Caine78

    6 712 abonnés 7 398 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    Le chef d'oeuvre de Francois Truffaut. Fort, marquant, on sent déja un grand réalisateur derrière la caméra. On est vraiment épaté par ce récit, aussi émouvant que tragique. Jean Pierre Léaud est formidable. Un grand film.
    Carne
    Carne

    79 abonnés 1 116 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    Je viens de découvrir Les 400 Coups de Truffaut en VHS et même si j'ai plus été touché par Le Dernier Métro ou L'Enfant Sauvage, je dois dire que ce film offre une vision marquante de la jeunesse dans les années 50. Outre les violences verbales entre élèves et autres méchancetés (Lorsque les élèves cassent les lunettes d'un élève détesté...), le film retrace le parcours d'Antoine Doinel, un jeune élève provocateur qui n'arrive pas à se conformer au système et qui va alors faire un nombre incroyable de bétises pour se considérer comme étant un homme jusqu'à réaliser son rêve à l'aide d'un dernier plan magnifique. La mise en scène de Truffaut colle au plus près de Jean-Pierre Léaud qui vampirisait dès lors l'écran malgrès son jeune âge...
    Un très bon film !!!
    thewall
    thewall

    13 abonnés 740 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    Un premier film assez magistral qui donna naissance à la Nouvelle Vague et à un cinéaste français majeur. A redécouvrir en salles pour tous les amoureux du cinéma.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    Les 400 coups font parti des ces films qui retracent une epoque, voir une generation.Si c'est le premier film de Truffaut, il n'en deumeure pas moins le plus fascinant, montrant les quartiers de Paris, dont la Place Clichy, avec une elegance rare.Bien sur ce n'est pas le but premier et le film prend souvent des allures de film autobiographique pour le realisateur.Les aventures d'Antoine Doinel (Magnifique Jean Pierre Leaud pour son age) dans ce film, interroge sur l'enfance, cherchant son havre dans un monde englobe par la tristesse dont Antoine cherche a s'en delivrer.La derniere image n'en sera pour cette quette, que plus susblimee
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