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    Les 400 coups
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    Béatrice G.
    Béatrice G.

    80 abonnés 458 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 mars 2014
    Une chronique sur l'enfance douce-amère, touchante et tendre. L'apparente simplicité du film révèle en fait une extrême justesse et surtout petinence, même un demi-siècle plus tard; enfin c'est à ça qu'on reconnaît les chefs d'oeuvres: ils sont intemporels! A l'image du reste, le tout jeune Jean Pierre Léaud est simplement fabuleux et crève l'écran. Le final spoiler: où on suit le héros Antoine dans sa course vers la liberté
    est magnifique. A voir pour la culture, certes, mais surtout pour le plaisir!
    Caine78
    Caine78

    6 645 abonnés 7 398 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    Le chef d'oeuvre de Francois Truffaut. Fort, marquant, on sent déja un grand réalisateur derrière la caméra. On est vraiment épaté par ce récit, aussi émouvant que tragique. Jean Pierre Léaud est formidable. Un grand film.
    darthbebel
    darthbebel

    25 abonnés 636 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 décembre 2010
    Plein de vie. Très naturel. Dans le style, on a l'impression que ça a été tourné hier, si ce n'est l'histoire, la photo et Paris, ce qui y rajoute un petit charme du passé avec une naration moderne.
    moonboots
    moonboots

    57 abonnés 1 322 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 juillet 2009
    Un excellent classique, l'enfance de Truffaud, incarné par Jean-Pierre Léaud
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 24 juin 2014
    Un film culte du cinéma français. On suit la vie d'un jeune garçon turbulent, parfois tendre et surtout attachant. La première partie est légère est amusante mais la seconde partie du film tourne plus vers le drame. Quant à l'acteur principal, il est formidable.
    Yannickcinéphile
    Yannickcinéphile

    2 372 abonnés 4 409 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 6 mars 2017
    Les 400 coups est un film considéré comme un des chefs-d’œuvre de sa génération. Pour ma part j’ai un peu de mal à y voir, si ce n’est par une tonalité plus grave, un métrage bien différent d’un Diabolo menthe par exemple. C’est un film sur la jeunesse et ses difficultés.
    Le rythme est lent, et le ton est à la chronique. Succession de tranches de vie d’un jeune des années 50, le métrage se suit sans déplaisir, mais avec le sentiment que ça manque de peps, de relief, et cela en dépit de certaines séquences plus graves que de coutume dans le cinéma de ce genre. Pour tout dire, le film alterne des passages vraiment bons, et authentiques, avec des séquences plus quelconques, voire assez anecdotiques et amenées avec des lourdeurs (la relation du héros avec Balzac). Truffaut semble parfois appuyer ses effets à l’excès, et je n’ai pas vraiment trouvé la fraicheur que l’on peut habituellement ressentir dans des films se déroulant avec des héros jeunes.
    Le casting est d’ailleurs un peu inégal. Jean-Pierre Léau est bon, mais il campera avec beaucoup plus de force et de subtilité un Antoine Doinel plus mature. La vérité, c’est que Léaud a déjà un jeu très mature, trop mature, et qu’il perd précisément du naturel et de la fraicheur qu’on peut trouver chez des acteurs du même âge. Truffaut est un cinéaste de l’écrit, du préparé, et j’ignore la genèse de ce film, mais il me semble clairement ressentir cette dimension trop écrite, qui apparait tant dans l’histoire que dans le jeu des acteurs, et spécialement chez Léaud. En revanche ses parents sont très bien campés, et Claire Maurier campe tout spécialement un personnage singulier qui apporte beaucoup de substance au film. Pour ma part, c’est le personnage le plus vrai et le plus original du film, un de ceux qui justifient le visionnage des 400 coups. Pour le reste, il y a des apparitions d’acteurs de renoms : Moreau, Brialy, Demy est aussi de la partie, mais ça reste anecdotique.
    Quant à la forme, Truffaut livre une mise en scène sympathique, mais je n’ai rien trouvé de spécialement mémorable. Pour ma part ce n’est pas un film qui dénote une modernité particulière. Noir et blanc classique, on appréciera tout de même les décors naturels, mais la mise en scène n’est pas très enthousiasmante. C’est filmer assez mollement, et les bonnes séquences restent éparses dans un film globalement correct mais sans plus.
    Je dirai simplement que ce métrage est un film sur la jeunesse qui ne se distingue pas énormément dans le genre. Chaque décennie a eu des films dans ce genre, dans les années 50 Les 400 coups tient une bonne place, mais j’ai du mal à percevoir ce qui le rendrait exceptionnel. 3.
    bsalvert
    bsalvert

    399 abonnés 3 561 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 20 juin 2011
    Pas vraiment de surprise dans ma notation, ce film est daté et les paroles tellement articulées, ce n'est pas pour moi.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 8 décembre 2012
    Excellent film, la mise en scène et les dialogues sont épatant et on ne s'ennuie pas.
    En plus une époustouflante prestation de Jean-Pierre Léaud qui incarne si bien le personnage du petit Antoine, j'ai été impressionné!
    carbone144
    carbone144

    86 abonnés 765 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 19 juin 2013
    Bon, ça a vieilli. Très bonne interprétation, surprenante de spontanéité de JP Léaud. Mais sinon, si pour l'environnement dans lequel se passe le film, on peut y trouver un intérêt certain, le film nous laisse trop sur sa fin. Un peu long pour ce que c'est. Dommage.
    Hotinhere
    Hotinhere

    543 abonnés 4 937 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 octobre 2024
    Chronique autobiographique pleine de tendresse d’une enfance blessée éprise de liberté, incarnée par la révélation JP Léaud. Et la Nouvelle Vague apparut.
    Napoléon
    Napoléon

    138 abonnés 1 561 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 17 mai 2022
    L'histoire est très plate, répétitive et sans surprises. Les acteurs quand à eux sont opaques ne laissant rien transparaître, le petit virement psychologique d'Antoine vers la fin ne change rien. Une oeuvre qui a sans doute mal vieillie et qui sortie de son époque ne signifie plus grand chose.
    AlphaWolf
    AlphaWolf

    74 abonnés 819 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 29 avril 2020
    Le film vaut surtout pour son aspect social et l'ambiance du Paris des années 50, deux éléments qu'il est intéressant d'observer avec un œil contemporain. Le reste est d'une fadeur extrême, les scènes s'enchaînent dans une totale desarticulation, sans liant, et surtout sans aucun rythme si bien que le film paraît durer une éternité. Passivité et manque d'inspiration sont les maîtres mots et ce ne sont pas les quelques plans bien léchés qui relèvent le niveau.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 4 novembre 2014
    Comment critiquer "Les 400 coups" ? On ne peut pas, tout simplement. Cependant, je l'ai trouvé moins puissant et moins mirobolant que "Jules et Jim", du même cinéaste. "Jules et Jim" avait, pour moi, non pas une fraîcheur différente, mais sans doute un rendu plus authentique, un rendu possédant une âme plus dévastatrice. Certes, "Les 400 coups" possède un charme inhérent mais n'a pas encore la chaleur d'un Truffaut au sommet de son art (je trouve). Il s'agit ici de ma première vision de ce film. Et il m'a semblé judicieux de le comparer à "Jules et Jim", son premier chef d’œuvre à mes yeux. Il faut dire aussi que j'avais lu le bouquin de Roché avant de voir son adaptation filmique.
    Pour présenter "Les 400 coups", il faut passer par la case François Truffaut, inévitablement. Pris sous l'aile d'André Bazin (critique travaillant aux Cahiers du cinéma), François écrit sa rage de vivre en de virulentes analyses de films qui transgressent le cadre du cinéma d'antan. Il participe ainsi à un cinéma plus libre, ce qui se fera ressentir dans ses tous premiers courts-métrages dont "Les mistons" (1957) avec la regrettée Bernadette Lafont. Deux ans plus tard, "Les 400 coups" sort sur les écrans et François Truffaut acquiert la reconnaissance internationale sur la Croisette (il reçoit le Prix de la mise en scène). De ce phénomène critique et public naît le mouvement dit de la "Nouvelle Vague". "Les 400 coups" est assurément le film phare de cette manifestation libertaire. La même année, un de ses scénario est adapté et propulse Godard à la gloire en 1960 : "A bout de souffle" avec l'inaltérable Belmondo, le chef d’œuvre de la Nouvelle Vague, sort sur les écrans et reçoit l'Ours d'Argent à la dixième édition de la Berlinale. Truffaut est lancé, ses succès parlent pour lui.
    Mais revenons un peu sur "Les 400 coups". Je vais seulement donner dix raisons sur le pourquoi de regarder ce premier métrage de François Truffaut.
    Première raison : la façon dont est traité l'histoire d'Antoine Doinel. Un coup à l'intérieur, l'autre coup à l'extérieur (dans des décors parisiens bien foutus. Merci Henri Decäe. Travailleur de l'image sur "Le silence de la mer" de Melville et "Ascenseur pour l’échafaud" de Malle notamment.). Une première dans l'Histoire du cinéma, si je ne m'abuse !
    Deuxième raison : le scénario, traitant du thème du problème de l'adolescence dans le Paris des années 50. Truffaut et Moussy (retrouvant le cinéaste pour son "Tirez pas sur le pianiste") font du personnage d'Antoine Doinel non seulement la métaphore de la jeunesse mais aussi de la psychologie de l'enfance et de la complexité de la vie. Scénario tiré aussi de la vie de Truffaut faisant une part d'autobiographie.
    Troisième raison : pour son interprète principal, Jean-Pierre Léaud (Antoine Doinel), magistralement extraordinaire et hallucinant dans son rôle. Il forme, avec Patrick Auffray, un duo dévastateur charmant.
    Quatrième raison : le rythme. Truffaut s'empresse à multiplier les cadrages pour nous embourber dans les aventures d'Antoine. Ses plans, ses cadres, ses travellings, ses plongées... nous poussent à vadrouiller en compagnie de l'adolescent fugueur, menteur... jusqu'à la fin !, le tout dans une fraîcheur inopinée rondement menée par la musique de Jean Constantin qui n'a pas encore l'allure d'un Delerue mais qui en prend la route. Merci Jean ! Compositeur pour Piaf, Cordy.
    Cinquième raison : l'amour du cinéma de Truffaut. A chaque coin de rue, on peut apercevoir des affiches de cinéma. D'autre part, on assiste aussi à un spectacle de guignols. Préfiguration du "Dernier métro" ? On assiste aussi aux infos que l'on va voir au cinéma. Mais aussi aux apparitions de Jeanne Moreau (la Dame à la voix rauque), Jean-Claude Brialy (le confident des stars) et de Jacques "Rochefort" Demy notamment.
    Sixième raison : la présence du futur réalisateur populaire Philippe de Broca en tant que premier assistant-réalisateur. "Cartouche", "L'homme de Rio", "Le magnifique" (tous avec Bébel), c'est lui !!
    Septième raison : le film est dédié à André Bazin. François dit de lui qu'il s'agit de son père adoptif.
    Huitième raison : l'influence du cinéaste par des réalisateurs comme Jean Vigo (initiateur de la Nouvelle Vague et dont son action dans le cinéma lui vaudra la reconnaissance par l'attribution aux jeunes réalisateurs français de recevoir le Prix Jean Vigo depuis 1951) ou Ingmar Bergman (connu du grand public pour son "Septième sceau").
    Neuvième raison : "Les 400 coups" fait office de premier opus dans la saga Antoine Doinel, toujours réalisée par Truffaut. Il sera suivi par "L'amour à 20 ans" (film à sketches de 1962), "Baisers volés" (1968), "Domicile conjugal" (1970) et "L'amour en fuite" (1978).
    Dixième raison : Doinel est ainsi à Truffaut ce que James Bond est à Fleming. Tout le personnage de Truffaut se rassemble dans l'esprit du personnage écrit par le metteur en scène contemporain de "La nuit américaine". François suit Antoine dans toutes les étapes de sa vie. Et là, pour un commencement, je dis tout simplement : chapeau !!!
    Pour terminer sur "Les 400 coups", autant de raisons pour découvrir la toute première œuvre de l'ex-critique des Cahiers du cinéma. Dans l'ordre, il s'agit donc pour moi : un, d'un classique à la française (Truffaut quoi !), deux, d'un classique (pour les investigations de son auteur sur tous les plans), trois, d'un essentiel (pour la saga Doinel à bien des égards), quatre, d'un film anthologique (comment oublier "Les 400 coups" ?), et cinq, d'un film mythique (long-métrage autobiographique teinté de nostalgie aujourd'hui).
    Spectateurs, foncez tête baissée, à n'en pas douter !! Enrichissement culturel approuvé. D'où ma note : 3 étoiles sur 4.
    Grouchy
    Grouchy

    122 abonnés 1 033 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 25 novembre 2012
    Mieux que l'immondice de Godard mais ça reste très film d'auteur sans ne pas être un film témoignage de l'époque.
    Gonnard
    Gonnard

    238 abonnés 1 930 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 10 juillet 2008
    Mouais. Le début est extra, il est loin d'être fantastique mais il nous montre la rigueur de l'éducation des années 1950. Et certaines répliques sont pas mal. Mais la seconde partie est d'un ennui mortel, au secours. Quand on sait que ce film est hissé au rang de film culte, on rigole doucement.
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