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    Pretty Woman
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    3,5
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    494 critiques spectateurs

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    Sandrine Jandin
    Sandrine Jandin

    5 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 septembre 2020
    Julia est une excellente actrice. Richard Gere aussi. Le scénario fait un peu rêver, a part le métier de Julia. La fin est remplie d'émotion. spoiler:
    tisma
    tisma

    291 abonnés 1 968 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 juin 2020
    Pretty Woman est une comédie romantique belle et entraînante. Quelques rires, des bons moments d'émotions. Une recette simple mais qui arrive à conquérir le cœur du public. En plus, le sujet abordée est intéressant et innovant.
    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    1 147 abonnés 5 132 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 23 juin 2020
    Film très sympathique avec deux acteurs charismatiques. On apprécie le côté choc des cultures et le charme opère aussi du côté des spectateurs !!
    Xavière
    Xavière

    12 abonnés 272 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 23 juin 2020
    Très beau film qui aborde plusieurs thèmes dont les différence de classe sociale qui est au centre de l'intrigue.Le film est incroyablement bien interprété. Julia Roberts et son partenaire sont géniaux... Film culte avec certaines répliques mémorables.De la romance à l'état pur ...
    Hotinhere
    Hotinhere

    549 abonnés 4 957 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 22 juin 2020
    Gros succès des années 90, une comédie romantique drôle et pétillante, portée par un duo plein de charme, Richard Gere et Julia Roberts qui verra sa carrière décoller après le film, et par la chanson culte de Roy Orbison.
    DaeHanMinGuk
    DaeHanMinGuk

    181 abonnés 2 268 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 juin 2020
    Disney, enfin sa filiale Touchstone Pictures, a pris une prostituée comme héroïne d’un film tout public. Il fallait oser ; ils l’ont fait et c’est une réussite. J’ai vu ce film en 1990, avant même sa sortie au Cinéma en France, lors d’une avant-première dans un festival de Cinéma. A l’époque, Julia Roberts était une inconnue et Richard Gere était au sommet de sa carrière. Je ne compte plus, depuis, le nombre de fois où j’ai revu ce film, que ce soit en DVD ou lors de ses passages télévisés, que ce soit en vost ou en vf, mais je ne m’en lasse toujours pas. Maintenant, Julia Roberts est l’une des stars d’Hollywood et Richard Gere est un « has been » qui tourne avec parcimonie. Pour ceux qui n’ont pas vu le film (y en a-t-il vraiment ?), voici un patchwork de mes impressions : Julia Roberts est craquante. Dans sa robe rouge, pour sa sortie à l’opéra, elle a un charme fou. Les musiques sont un régal, les dialogues sont courts et précis et certaines scènes se voient et revoient en boucle. Il y a mieux comme comédie romantique mais l’histoire de celle-ci fonctionne vraiment très bien.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 20 octobre 2019
    La bande son musicale est Pretty Woman, le succès chanson du film qui trotte dans la tête, l’histoire d’une jolie femme faisant le trottoir dans les sombres rues jusqu’à la rencontre lumineuse de son prince charmant, bel homme parfait, riche et célibataire cherchant le grand amour.

    C'est une comédie sur la prostitution, beaucoup d'argent gravite autour, ce type particulier de femme like Julia Roberts est une escorte girl pour ces hommes style Richard Gere, tout seigneur tout honneur.
    Des liasses de billet vert brillant, carte de crédit et shopping pour les filles, ainsi s'achève en heureux marié croyant au conte de fée.
    Effy Stonem
    Effy Stonem

    22 abonnés 112 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 29 juillet 2019
    Bien que n'étant pas un film féministe, "Pretty Woman" n'est pas sexiste pour autant et aborde le sujet de la prostitution sans honte bien que d'une manière très édulcorée. Ce film qui a rendu Julia Roberts célèbre, est centré sur une belle histoire d'amour, simple et impossible. Les personnages secondaires ne sont pas bien profonds mais c'est le duo d'amoureux qui crève l'écran
    Mafoipourquoipas
    Mafoipourquoipas

    12 abonnés 719 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 21 octobre 2018
    3 étoiles - Pretty Woman

    Film très académique dans la mise en scène, mais scénario bien pensé et très bien dirigé. Le couple Julia Roberts & Richard Gere est sympa (Julia Roberts est superbe). Ce conte moderne est un frais et doux zéphyr qui effleure notre âme sentimentale. On est touché par cette romance parce que les pétales de rose ne cachent pas les épines ; et ce sont ces mêmes épines qui donnent tout son charme à ce rêve fantasmé.
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 178 abonnés 4 173 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 11 octobre 2018
    A l'heure de "Me Too" et de la chasse aux comportements machistes dans les moindres strates de notre vie sociale, "Pretty woman" fait aujourd'hui figure de dinosaure. Seulement trente ans ont passé et le traitement narratif de ce conte de fées serait désormais impossible à envisager. Il a néanmoins permis à Julia Roberts actrice au caractère réputé indépendant de devenir en un seul film une véritable star. Que nous propose exactement ce "Cendrillon" sauce yuppie qui ne fait rien d'autre que reprendre en les actualisant, les thèmes des comédies romantiques hollywoodiennes des années 1930 et 1940? Un beau quadragénaire grisonnant (Richard Gere) dont la fortune s'est construite en rachetant à bas coût des entreprises en difficultés afin de les revendre par morceaux en faisant au passage d'énormes plus-values, semble s'ennuyer dans sa vie sentimentale. Au sortir d'une partie chez son associé, il rencontre par hasard une prostituée (Julia Roberts) dont il met un assez long moment à deviner l'activité. Mais la flèche de Cupidon a déjà frappé et le milliardaire ne pourra plus se passer de la jeune femme au franc-parler qui lui enseigne que la vraie vie c'est autre chose que les courbettes des courtisans qui l'entourent. Le canevas de départ est certes complètement improbable pour ne pas dire "nunuche" mais on peut faire confiance à la machine hollywoodienne pour en tirer le meilleur parti. Dans cette optique, le réalisateur Gary Marshall réécrira une fin plus positive de l'histoire initiale imaginée par J.F. Lawton. Richard Gere et Julia Roberts tous les deux parfaitement dans leurs couloirs usent fort à propos de l'opposition de caractères entre les deux tourtereaux. La limite de la caricature est souvent atteinte mais l'énergie qui se dégage de l'ensemble emporte malgré tout l'adhésion notamment grâce à une bande-son qui remet au goût du jour le fameux "Pretty Woman" de Roy Orbison. La réussite commerciale du film (le plus gros succès de la carrière de Julia Roberts) a permis à Richard Gere de trouver un second souffle. Quant à Julia Roberts, elle a rapidement montré que son talent lui permettait d'aborder des rôles plus ambitieux.
    Eowyn Cwper
    Eowyn Cwper

    121 abonnés 2 039 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 8 août 2018
    La Pretty Woman, c'est Julia Roberts, méconnaissable ; elle est prostituée et assume son rôle jusqu'au bout de ses ongles manucurés maison. Elle est le point d'orgue et la première note de la symphonie amoureuse se jouant dans le film, alors je le dis simplement avant de l'oublier : elle joue bien. Le scénario va s'excuser de transformer sa vie trop violemment en précisant d'emblée que c'est Hollywood ; tous les rêves sont permis. C'est la griffe d'un Hollywood qui s'assume, et cela va bien au-delà de cette ligne intelligente. Quand un grand patron (Richard Gere) – qu'on découvrira attachant – se perd dans Los Angeles avec sa voiture de luxe, il demande à un modeste habitant la direction de Beverly Hills qui lui répond qu'il y est, que c'est la maison de Sylvester Stallone. Il n'y avait pas meilleur moyen de rappeller les immenses contrastes de la Cité des Anges, au cas où Roberts n'y suffise pas, ce qui rend en plus le film très humble.

    Le scénario va évoluer avec beaucoup plus de lisseur dans le mouvement que la façon dont Richard Gere conduisait sa caisse de luxe, ne s'empêtrant que dans sa maladresse à tout vouloir rendre lisible ; l'histoire qui se tisse entre les deux protagonistes est entâchée par la carrière de l'homme, qu'on veut garder claire, mais qui est rendue difficile à comprendre par les efforts que le spectateur doit déjà déployer à appréhender les tenants et aboutissants de leur relation. Elle monte en puissance sans qu'on s'en rende compte, et jusqu'à faire « plop » ; tout s'arrange (relativement), l'histoire devient presque jubilatoire, la chanson-phare de Ray Orbison arrive et le rapport à l'argent change.

    Oui, parce que Pretty Woman est avant tout un film d'argent. D'abord moteur de la relation, il va peu à peu perdre de son lustre alors qu'on entre dans le quotidien du personnage de Richard Gere. Pourtant il garde sa vraie valeur, car il ne se corrompt pas ; on saisit ce que signifient trois mille dollars pour une jeune prostituée, mais on ne perd pas pour autant pied lorsqu'on parle des montants faramineux que représente le monde de la spéculation. Ce film relativise la valeur des choses avec talent, et si je dis qu'il ne se corrompt pas, c'est qu'il n'est pas instrumentalisé dans l'intrigue pour signifier quelque chose « de plus », et surtout pas sentimentalement ; on ne le refuse pas dans le besoin, même si on a connu la futilité du luxe. Une évidence ? Pas pour Hollywood. L'argent va simplement se faire le témoin de la transformation de Julia Roberts, qui semblait déjà avoir changé de manière si brusque en tombant la perruque. Bon, d'accord, ces transformations restent trop fortes.

    Plaisir innocent du romantique naïf, et plaisir confiant du sceptique, Pretty Woman tire son succès de ce qu'il est un drame financier qui ne fait pas de l'argent un personnage, et une romance quasiment feelgood qui, sans se cacher de ses projets, s'en excuse avec logique et sans tomber dans les travers des superproductions qu'il ne peut pas éviter ; après tout, la voiture de luxe conduite par Richard Gere appartenait au producteur du film... Hypocrite, je crois que le film ne pouvait pas ne pas l'être. Du rêve en celluloïd, comme je vois quelqu'un le dire quelque part, je crois que le film ne pouvait pas ne pas en être. Mais il ne se cache pas non plus d'être naïf et désespérément romantique ; contrairement à ce que prétendent la plupart des détracteurs du film, je ne trouve pas que Pretty Woman soit un ramassis de clichés ; je pense qu'il fabrique les siens et y arrive très bien.

    septiemeartetdemi.com
    Quentin Pacione
    Quentin Pacione

    16 abonnés 14 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 7 février 2018
    Une bonne comédie, dans un film rempli de légèreté. L'histoire est bonne, les personnages sont attachants.
    Que demandé de mieux ?
    Les citations resteront mythiques !

    En plus, avec la fabuleuse Julia Roberts c'est fabuleux !
    J'adore :)
    Stephenballade
    Stephenballade

    396 abonnés 1 237 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 22 janvier 2018
    SI je vous dis "Pretty woman", le célèbre titre de Roy Orbison, ça vous évoque quoi ? Le film du même nom, bien sûr ! Et quand on cite le long métrage de Gary Marshall, il nous revient tout de suite à l’esprit cette formidable romance entre Viviane et Edward, respectivement interprétés par Julia Roberts et Richard Gere. Oh il n’y a pas que la romance qui est formidable. En réalité, c’est tout le film qui l’est. Bien sûr, le scénario est tellement simple qu’on pourrait le résumer à cette improbable histoire d’amour (notez que je n'ai pas utilisé le terme impossible), mais il serait injuste de ne pas louer le formidable jeu des comédiens. En ce domaine, il semble logique de parler en tout premier lieu de Julia Roberts. D’abord parce que l’honneur revient aux femmes, ensuite et surtout parce qu’elle illumine littéralement l’écran de son talent. En effet, elle donne à son personnage tant de fraîcheur, tant de spontanéité, d’insouciance, de bonne humeur, mais aussi de naïveté et d’exquises maladresses, qu’elle attire toute la sympathie du spectateur malgré lui. Et puis l’actrice met tant de cœur à donner du relief et de la couleur à son personnage qu’on ne peut qu’être admiratifs devant tout l’étalage de son talent. Notamment dans toutes ces inconvenances qu’à certains moments elle se plait à exploiter à fond pour donner une justification du comportement « I’m chocking » des uns et des autres. De l'exubérance à l'état pur boosté par les tenues en total contraste avec le milieu qu'elle se voit amenée à fréquenter. Il faut dire que son jeu est formidablement mis en valeur par l’ensemble des rôles secondaires : les marques de dédain ou de convoitise qui se lisent principalement par les regards sont légion. On pense bien évidemment aux hommes croisés dans la rue qui se retournent, au directeur de l’hôtel soucieux de la réputation de son établissement, au liftier (personne affectée à l’ascenseur et à son fonctionnement), et à la clientèle très comme il faut mais quelque peu coincée de cet hôtel renommé, jusqu’aux vendeuses de magasins de luxe. Evidemment, une telle richesse dans le récit n’aurait pas été possible si le destin de cette prostituée n’avait pas amené sur son trottoir Edward Lewis, un impitoyable homme d’affaires. Au volant d’une Lotus, il apparait tel un prince charmant susceptible de lui apporter de la maille pour enfin payer le loyer d’un sordide appartement qu’elle et sa colocataire ont du mal à payer. Le traitement de l’histoire aurait pu être quelconque si la mayonnaise n’avait pas pris aussi vite entre les deux acteurs principaux. Mieux : la complicité est évidente et c’est avec une certaine satisfaction qu’on les voit s’unir dans une osmose vraiment plaisante à voir. Et le spectateur se surprendra à sourire lui aussi, et l’exemple le plus flagrant se trouve dans la scène où Vivian reçoit un collier pour compléter une tenue. C’est vrai que Richard Gere lui donne bien la réplique, bien qu’il offre du fil à retordre à cette femme d’une grande sensibilité. Le truc est qu’il n’a pas eu besoin de forcer son talent. C’est même tout juste s’il ne l’a pas mis en berne, pour entrer dans les traits d’un requin de la finance posé et calculateur. Mais que voulez-vous. Richard Gere a tout pour lui : le physique, le charisme, un regard qui déshabillerait n’importe quelle femme… Et franchement, CA ENERVE !!! Même si vous les gars vous étiez copains avec lui, je suis sûr que le regard de ces dames se tournerait immanquablement vers lui, même s’il devait être un parfait inconnu. Bon, en plus il est célèbre, alors hein c’est sûr, on n’a plus aucune chance. Et pour finir de lier tout ça, le traitement de l’histoire est à l’image de l’héroïne : frais, léger, dynamique et cerise sur le gâteau, sans véritable moralisme à proprement parler, mis à part le fait que l’habit ne fait pas le moine. N’est-ce pas mesdames ? (dit Stephenballade à ces pimbêches de vendeuses en leur tirant la langue). Et quand en prime, les notes diffusées par un piano et les violons viennent appuyer les moments les plus romantiques, comment ne pas fondre pour ces deux tourtereaux ? Alors oui, "Pretty woman" est une comédie sentimentale qui fait du bien qu’on prend toujours plaisir à voir et revoir, tout simplement parce que nous avons là une histoire intemporelle qui n’a pas vieilli d’un poil. Et quand en prime c'est bon comme du bon pain, pourquoi se priver de se redonner le sourire ? Et en plus, ça permet de se remémorer certaines scènes oubliées particulièrement savoureuses. Perso, j’avais complètement oublié la scène sur le piano… Oulala ! Mais comment ai-je pu oublier ça ??
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 4 janvier 2018
    Une excellente comédie romantique pétillante, drôle et délicieuse avec de vraies scènes de comédie, une réalisation pleines de saveurs, un casting cinq étoiles grâce à Julia Roberts et Richard Gere excellents, un scénario rocambolesque qui nous fait vivre en même temps que notre héroïne une virée californienne qui n'est pas de tout repos, des moments drôles et une excellente bande son devenue culte.
    Rudy66
    Rudy66

    19 abonnés 787 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 4 janvier 2018
    Comédie romantique qui ne prend pas une ride.
    L'histoire d'amour, loin d'être romantique à la lecture du scénario, est pourtant exceptionnelle..
    Julia Roberts est au top de sa forme et son duo avec Richard Gere est sublime.
    Très bon film. 4.5/5
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