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    Alien, le huitième passager
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    1 516 critiques spectateurs

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    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 178 abonnés 4 173 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 6 avril 2024
    « Dans l’espace, personne ne vous entendra crier ! ». Le slogan qui a accompagné la sortie mondiale d’« Alien » le 25 mai 1979 est on ne peut plus signifiant concernant l’atmosphère qui se dégage du second long métrage réalisé par Ridley Scott dans la foulée des « Duellistes » (1977) drame épique napoléonien qui lui avait instantanément apporté une reconnaissance internationale justifiée. A 42 ans, Ridley Scott qui a étudié dans sa jeunesse au Royal College of Art de Londres vient de passer dix ans à réaliser des publicités tout comme son frère Tony qui lui aussi fera une brillante carrière à Hollywood.
    Le projet est initié par Dan O’Bannon alors peu connu qui était au collège avec un certain John Carpenter avec lequel il avait conçu « Dark Star », leur film de fin d’étude plutôt iconoclaste et innovateur qui, fait rare, avait bénéficié d’une sortie en salle. Cet exploit vaudra à O’Bannon d’être contacté par Alejandro Jorodowski réalisateur franco-chilien alors très prisé, afin de plancher sur le scénario d’une adaptation de « Dune » le roman Frank Herbert. Au bout de 6 mois passé à Paris le projet est abandonné. Retour à Los Angelès pour un O’Bannon un peu désorienté qui se replonge dans le script de « Memory » qu’il avait écrit auparavant. 29 pages qui contiennent déjà en substance la trame de ce qui deviendra « Alien ». Progressivement, à force de rencontres opportunes, le script achevé finit par intéresser les studios qui ne sont pas sans ignorer la déflagration que vient de provoquer la sortie de « Star Wars » de George Lucas venant remettre brutalement au goût du jour un genre qui avait connu son heure de gloire dans les années 1950 quand la Guerre Froide battait son plein.
    C’est finalement la Fox qui allouera les moyens nécessaires à la réalisation d’un film ambitieux juste avant qu’O Bannon ne fasse affaire avec Roger Corman le pape du « B Movie ». Walter Hill que la Fox sollicite pour la réalisation du film ayant décliné l’offre ne se sentant pas à l’aise avec la gestion des effets spéciaux, Robert Aldrich, Peter Yates, Robert Altman, John Boorman et Jack Clayton sont approchés sans plus de succès. Hill (devenu entre-temps producteur), David Giler et Gordon Carroll ayant été très impressionnés par « Les duellistes » contactent Ridley Scott qui amateur de science-fiction relève le défi. Les rapports entre O Bannon et Scott étant plutôt harmonieux, ils amènent à eux une multitude de talents qui vont contribuer fortement à l’aspect visuel si frappant d’« Alien ». Ron Cobb et Chris Foss illustrateurs reconnus pour la conception du Nostromo (cargo spatial), le fantasque artiste suisse Hans Reudi Giger pour celle de l’Alien, l’italien Carlo Rombaldi pour l’animation du monstre lors de scènes spécifiques, Moebius (Jean Giraud) pour les costumes des astronautes ou encore Jerry Goldsmith pour la musique. La créativité fuse de toute part sous l’impulsion mais aussi le contrôle de Dan O’Bannon qui se veut le garant de l’intégrité de son œuvre.
    Le casting certes restreint est constitué avec le plus grand soin sous la direction de Mary Selway qui a déjà travaillé avec Scott sur « Les duellistes ». Composé d’acteurs de cinéma confirmés (John Hurt, Harry Dean Stanton, Tom Skerritt, Ian Holm), Yaphet Kotto, Veronica Cartwright) qui ne sont toutefois pas des stars mondiales pour conserver l’homogénéité de l’équipage, il intègre Sigourney Weaver une actrice de théâtre off-Broadway pour qui ce sera la première apparition à l’écran dans le rôle de Ripley, personnage central du film et encore plus celui des trois suites à venir.
    Le tournage se déroule dans l’immense hangar des studios Shepperton dans le Surrey. C’est tout le génie de Ridley Scott qui se met alors en marche, mélange de talent artistique, de maîtrise technique et de pugnacité mais aussi d’autorité au service d’une vision d’ensemble. Une personnalité autoritaire mais aussi rassurante qui permet au réalisateur pourtant encore quelque peu inexpérimenté de fédérer autour de lui tous les acteurs de ce chef d’œuvre dont chacun a rapidement compris que Ridley Scott allait le mener à bien dans toutes ses dimensions. Le résultat sera tout simplement saisissant, faisant instantanément du film une référence dans le genre, rapportant 180 millions de dollars pour un budget de 11 millions et cerise sur le gâteau, générant cinq suites ou préquelles qui seront autant de succès commerciaux même si aucune d’entre elles n’atteindra la perfection de l’opus initial qui s’avère être un thriller spatial captivant prenant pour cadre le Nostromo et dont le dédale de couloirs infini confine parfois à un huis clos étouffant avec on l’a dit en entame l’idée en tête pour chacun des astronautes que « Dans l’espace, personne ne vous entendra crier ! ».
    Le spectateur est d’emblée plongé dans une époque très lointaine où visiblement les voyages interstellaires ont pris une dimension commerciale comme en témoigne ce cargo spatial qui ne semble pas de première main. Les membres de l’équipage sont présentés par Scott comme ce que furent autrefois les navigateurs au long cours ou les routiers longues distances. Quand les sept sont sortis de leur hibernation par l’ordinateur de bord du vaisseau pour un changement de mission les envoyant en reconnaissance sur un planétoïde inconnu, les discussions salariales vont bon train informant le spectateur sur l’échelle hiérarchique qui régit l’équipe. À cet effet un aspect un peu rétro a été donné par Ron Cobb et Chris Foss au Nostromo pour lui imprimer une certaine vétusté un peu à l’image de celle des cargo remplis de containers sillonnant aujourd’hui les océans pour alimenter un commerce mondial frénétique. Le spectateur n’en saura pas plus mais est tout de même averti que le bon vieux capitalisme ne désarme jamais même dans l’espace, préférant toujours sacrifier le confort et la sécurité sur l’autel du profit. L’ordinateur de bord qui gère la vie à bord et donne les ordres provenant de la hiérarchie à terre porte le doux nom de « Maman » donnant l’illusion d’une dimension humaine dont on verra très vite qu’elle n’est que de façade.
    Comme dans tout thriller réussi une phase routinière plutôt calme et empreinte d’un relatif humour (il ne faut pas exagérer on est tout de même dans un film de Ridley Scott !) précède la montée d’angoisse qui va valoir son pesant d’or sans que le réalisateur tout à son affaire et ayant retenu les leçons apprises chez Jacques Tourneur et Alfred Hitchcock n’use exagérément de ce que l’on nomme de nos jours les « jump-scares », désormais soigneusement recensés pour juger de la qualité d’un thriller ou d’un film d’horreur. Ridley Scott a bien compris que « moins on montre plus on génère l’angoisse ». Mais au sein de décors somptueusement envoûtants, on verra suffisamment l’horrible Alien sorti de l’imaginaire fertile de Hans Reudi Giger pour que son image reste durablement gravée dans les mémoires. On l’a dit « Alien », avec « The Thing » de John Carpenter sorti trois ans plus tard, est un sommet du genre qui sera suivi par une longue liste de films de son auteur qui le classent parmi les plus grands de son époque. A voir et à revoir régulièrement.
    brice simonneau
    brice simonneau

    1 abonné 37 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 3 novembre 2024
    Un film d’alien en huis clos c’est OUI ! Dans l’espace ? Si j’avais su que ça allait me plaire.. mais oui ! Le challenge est validé ! Ridley scott a réussi à jouer avec mes envies et c’est top, malgré un jeu d’acteur, je trouve presque moyen, que ce soit les images, la tension et le son c’est réussi ! Hâte de découvrir la saga
    Zaldi
    Zaldi

    95 abonnés 133 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 24 mars 2024
    Un chef d'oeuvre de science-fiction tout simplement. J'avais peur de revoir cette pépite et que ma vision ne soit altérée mais pas du tout ! Pourquoi ? Car ce film possède de grandes qualités à commencer par son ambiance, son atmosphère, son montage, son scénario. Tous ces éléments permettent au spectateur de s'immerger complétement dans cette mission spatiale qui va tourner au cauchemar et de rester toujours aussi fascinant à regarder même des années plus tard...quoi dire de plus à part que Ridley Scott a pondu (pour rester dans le thème du film) un classique du cinéma. À voir et revoir !
    Alainbasle1973
    Alainbasle1973

    1 abonné 3 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 21 mars 2024
    Pour ma part le meilleur de la série avec Alien le retour... après les autres ne sont pas terribles...
    Jahwara
    Jahwara

    1 critique Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 17 mars 2024
    Très décevant, pour un film ultra classique je m'attendais à un minimum de frisson ou d'action, au lieu de cela c'est une succession d'actes agaçants au possible. Les personnages agissent sans motif compréhensible, tout ce qui arrive dans le film aurait pu être évité si les personnages avaient été un peu malins. Le plus effroyable dans ce film c'est la bêtise des persos. Trop d'incohérences, au début du film certains personnages sont logiques et appliquent un principe de précaution qui paraît évident vu le contexte, puis cette logique disparaît sans raison. J'aimerais voir une version de ce film avec des persos mieux travaillés et un scénario plus cohérent car le sujet est intéressant à la base. Pour un film de Ridley Scott je suis un peu choquée de tant de maladresses. A part ça les décors ne perdent pas leur classe malgré les années et les effets spéciaux sont bien faits, même si parfois trop de fumée tue la fumée et encore une fois s'il y a de la fumée à foison sans raison, cela gâche un peu la scène à mon avis. Bref, pourquoi toucher l'oeuf, pourquoi faire entrer le collègue sans mise en quarantaine, pourquoi ne pas se protéger quand on rentre dans le labo avec une bête dangereuse cachée dedans, pourquoi ne pas interroger plus précisément le mec contaminé, pourquoi ne pas faire plus d'analyse sur lui avant de le mélanger avec le reste de l'équipage, pourquoi chercher le chat, pourquoi vouloir le sauver, pourquoi ne pas respecter les règles que l'on se fixe 30 secondes après les avoir fixées, pourquoi se mettre en culotte à la fin du film, vraiment qu'apporte cette scène ? Trop de questions sans réponse, si ça avait été un bon film, j'aurais tout compris et je me poserai pas ce genre de questions.
    Evan D
    Evan D

    12 abonnés 102 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 mars 2024
    C’est fou de voir qu’après 45 ans
    Le film est toujours bien conservé ! Au niveau du scénario il y a quelque scène que l’on devine, mais quand on remet dans le contexte de l’époque, c’est génial !
    Je suis pré pour le reste de la saga !
    White Fingers
    White Fingers

    15 abonnés 1 237 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 7 mars 2024
    « Alien » de Ridley Scott est une œuvre majeure du cinéma de science-fiction. La mise en scène est maîtrisée à la perfection, créant une atmosphère terrifiante, notamment grâce à la rareté des apparitions de l'alien. L'intrigue, qui se déroule à bord du vaisseau Nostromo, est à la fois originale et brillamment conçue, plongeant l'équipage dans une confrontation terrifiante avec une créature extraterrestre. La tension omniprésente, le suspense et l'angoisse sont incroyablement bien entretenus, rendant chaque scène culte, comme celle du dîner ou la découverte de l'intérieur du vaisseau, inoubliable et angoissante. La réalisation de Scott est impeccable, apportant une ambiance oppressante, angoissante et mystérieuse. L'univers de science-fiction cauchemardesque qu'il a créé est fascinant. Les décors sont impressionnants, et l'alien, avec son originalité et son aspect terrifiant, est une réussite visuelle. Le casting est exceptionnel, mené par une Sigourney Weaver mémorable dans le rôle de l'héroïne Ellen Ripley. Sa performance, ainsi que celle de Tom Skerritt, John Hurt et des autres membres de l'équipage, contribue grandement à la qualité du film. La musique vient magnifiquement compléter l'atmosphère du film. WHITE FINGERS : LA PISTE SYSKIYOU (TOME 1) et LE CIMETIERE DES SQUAWS (TOME 2) (Amazon Kindle).
    Marcel EVROT
    Marcel EVROT

    32 abonnés 24 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 20 juillet 2024
    la premier alien trop lent ,trop vieux, la créature elle fait peur😂 au top dans le jeu MORTAL KOMBAT xl ....je les revenu pire que le LEPRECHAUN 4 😱🤣
    Tim
    Tim

    9 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 27 février 2024
    Pas trop apprécié ce film, malgré les idées astucieuses du déroulé de l’histoire et de la qualité du scène pour les besoin de l’époque, je trouve plein de incohérence dans l’histoire avec des réactions des rôles disproportionnée par rapport à l’histoire.
    Judelu
    Judelu

    117 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 26 février 2024
    J'ai pas adhérer ... culte de la sci-fi donc j'ai du le regarder enfin pour faire un avis. Mais peut être que c'est pas de mon époque tout simplement, le bon côté que j'ai aimé c'est l'ambiance assez oppressives dans les longues scène de suspens... le son derrière me rendez sous pression !
    Oni
    Oni

    20 abonnés 333 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 20 février 2024
    Une odyssée cauchemardesque dans l'espace... où personne n'entendra tes pets !

    Dans "Alien, le huitième passager", Ridley Scott nous embarque dans un voyage qui commence comme un pacifique road trip cosmique, mais qui finit par se transformer en un putain de cauchemar interstellaire. Imaginez : vous êtes là, tranquille, en train de rêvasser dans l'espace, quand soudain, un putain de signal de détresse retentit. La galaxie vous appelle à l'aide, et vous, bande de bonnes âmes de l'espace, vous décidez d'y aller. Mais bon sang, pourquoi n'avez-vous pas juste ignoré ce signal comme on ignore les appels de sa belle-mère ?

    Le vrai héros de cette histoire, c'est pas Sigourney Weaver, c'est pas Tom Skerritt, c'est pas même Ridley Scott. Non, c'est ce putain d'Alien ! Une créature qui ferait même flipper Dark Vador dans ses moments les plus sombres. Cette bestiole est tellement rusée qu'elle est capable de se faufiler partout dans le vaisseau, telle une sale souris de l'espace, prête à bondir sur sa proie tel un Predator affamé.

    Ridley Scott, ce génie de l'angoisse, nous balance des scènes qui font trembler nos couilles plus fort que le moteur d'hyperpropulsion du Nostromo. On est dans le vaisseau avec eux, on se sent tellement proche qu'on pourrait presque sentir l'haleine fétide de l'Alien sur notre nuque. Scott joue avec nos nerfs comme un gamin avec une manette de jeu vidéo, nous laissant toujours sur le qui-vive, prêts à sursauter à la moindre ombre qui bouge.

    Sigourney Weaver, la badass ultime de l'espace, mène la danse avec une détermination qui ferait pâlir Chuck Norris. Accompagnée par une bande de péquenauds intergalactiques, elle se bat contre cette créature de l'enfer avec plus de panache que Luke Skywalker face à Dark Vador. On a même droit à un John Hurt dont la mort est tellement mémorable qu'on pourrait en faire un épisode de "Comment crever de façon épique en moins de cinq minutes".

    Jerry Goldsmith nous balance une partition qui fait vibrer nos tympans plus fort que les explosions d'étoiles. Entre les moments de suspense où on a l'impression que même les violons tremblent de trouille et les crescendos qui vous font serrer les fesses plus fort que lors d'une attaque de zombie, cette musique vous met dans l'ambiance pour une soirée qui s'annonce plus flippante qu'une virée dans un cimetière abandonné.

    En conclusion, "Alien, le huitième passager" c'est comme une putain de montagne russe dans l'espace : ça démarre tranquillement, ça monte en puissance jusqu'à te faire hurler comme une gamine, et ça finit en te laissant pantelant et tremblant comme une feuille. Ridley Scott nous offre un chef-d'œuvre du genre, un film qui vous prend aux tripes et vous secoue jusqu'à ce que même les aliens se disent : "Merde, ça, c'est flippant." Alors accrochez-vous bien à vos culottes, mettez-vous à l'abri derrière un oreiller si nécessaire, et préparez-vous pour un putain de voyage dans l'espace où même les extraterrestres font pipi dans leur combinaison.

    Plus de critiques sur https://www.instagram.com/oni_s_reviews/?hl=fr
    Fabien Sorrant
    Fabien Sorrant

    42 abonnés 1 301 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 février 2024
    Un très bon film de science-fiction réalisé par Rildey Scott à l'ambiance horrifique, gore et glauque.
    Docteur No
    Docteur No

    6 abonnés 58 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 22 janvier 2024
    "C'est un mécanisme de défense formidable" - DALLAS

    Dans le futur , un vaisseau cargo spatial de remorquage le NOSTROMO capte un étrange signal en provenance d'une planète inconnue . L'équipage se rend sur place mais l'un d'eux revient avec une créature horrible s'accrochant à sa peau et son visage .

    DERNIER RAPPORT DU VEHICULE COMMERCIAL NOSTROMO
    spoiler: 1979 grande année de science fiction avec ce film et le Trou Noir...Alien réalisé par Ridley Scott narre l'histoire un équipage découvrant une forme de vie particulière dans l'espace .

    spoiler: Les acteurs sont parfaits Ellen Ripley - Sigourney Weaver excellente ( grand personnage féminin déjà à l'époque fin des années 70 ) , le capitaine Dallas - Tom Skerritt , Lambert - Veronica Cartwright (autre personnage féminin) , Harry Dean Stanton - Brett (ouais) et Yaphet Kotto - Parker les mécanos du bord...Ash - Ian Holm en humanoide dysfonctionnelle , John Hurt - Kane (la première victime) . Un bon groupe d'acteurs avec des bonnes performances tant dans les rôles féminins que masculins .


    Il existe une version classique et une version director's cut avec quelques scènes supplémentaires .

    spoiler: L'ambiance du film est sombre beaucoup de couloir , de tunnel séance prenante entre Dallas et l'Alien dedans notamment , le vide de l'espace se fait ressentir , le cargo spatial est immense . La tension monte au fur et à mesure que l'Alien est dans le vaisseau .

    Le vaisseau inconnu accidenté sur la planète est magnifique à voir .

    spoiler: HR GIGER conceptualise et dessine l'ALIEN , un xénomorphe terrifiant . Les effets spéciaux n'ont pas pris une ride . La musique est de Jerry Goldmsith magnifiant à la fois l'espace la tension .


    JE NE VOUS MENTIRAI PAS SUR VOS CHANCES DE SURVIE...MAIS VOUS AVEZ TOUTE MA SYMPATHIE - Ash

    Alien reste une perle un bijou , un huis clos spatial éprouvant , Sigourney Weaver est iconique dans le rôle de Ripley . Un film à revoir avec plaisir .
    Thiboutchou
    Thiboutchou

    1 abonné 15 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 12 décembre 2023
    Un huis clos oppressant, une créature terrifiante, une sugourney Weaver excellente. Là où le film est très malin c'est qu'il n'y a que très peu d'effets spéciaux il a donc très bien vieilli.
    Un chef d'oeuvre de la science fiction et du thriller horrifique.
    Alice Rigal
    Alice Rigal

    1 abonné 5 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 8 décembre 2023
    Un chef d'oeuvre ! Ce film est à inscrire au panthéon du cinéma, tant il a défini ce genre. Un moment inoubliable.
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