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Un visiteur
2,5
Publiée le 15 septembre 2017
Certains qualifient Alien : le huitième passager de chef d’œuvre. Pour ma part je reste sur ma faim après avoir entendu tant d'éloges. Alors oui, il y a Ripley et c'est un personnage culte. Il y a le xénomorphe non moins culte. Mais pour le reste... Les personnages secondaires ne présentent pas un grand intérêt, la mise en scène m'a laissé froid. De bonnes idées ont été reprises partout, ça c'est vrai. En attendant, le film a quand même pas mal vieilli et n'est franchement pas le meilleur de la série.
alors je suis de la génération 1996 je viens de voir le film il est bien mais trop de longueur beaucoup trop de silence où on le voit pas beaucoup l'alien je préfère Prometheus et alien Covenant
Angoisse: Grande inquiétude, anxiété profonde née du sentiment d'une menace imminente mais vague. "Menace imminente mais vague". Une menace inévitable qu'on ne connaît pas. Une menace inévitable: l'Alien mais vague : on ne le voit pas. Du moins pas avant les 10 dernières minutes. Une menace que nous, simple spectateur, ressentons autant que les protagonistes du film. Les décors sont magnifiques, l'ambiance sonore effrayante et les effets spéciaux réussi pour un film de 79. Et des acteurs époustouflants et charismatiques servi pas une réalisation impeccable. Un film magnifique par ses décors et ses effets spéciaux mais terrifiant par son ambiance sonore et son suspens. Grand classique du cinéma d'horreur, à voir au moins une fois dans sa vie. Je pense que ce Ridley Scott a voulu faire avec ce film c'était ça: un film qui régale les yeux, mais effraie la conscience.
Un chef d'oeuvre. Ridley Scott réalise un terrifiant film de science-fiction. Sigourney Weaver incarne une combattante de l'espace. Un Alien qui fait froid dans le dos.
Excellent film de science-fiction/horreur, j'ai du mal à réaliser que ce film est sorti en 1979, les effets spéciaux et les aliens sont tellement impressionnants que si c'était sorti aujourd'hui, ça ne m'aurait pas trop choqué. Sinon niveau scénario c'est parfait, pleins de rebondissements, une ambiance oppressante et tout est bien rythmé. Un film à voir absolument, même pour ceux qui seront rebutés parce-que c'est "vieux".
Après la sortie en 1968 de "L'Odyssée de l'espace", l'espace est devenu le lieu d'intrigues et de frissons inspirant de nombreux films de science-fiction. Ainsi naquit le blockbuster de 1979 "Alien, le huitième passager", réalisé par Ridley Scott avec Sigourney Weaver, John Hurt et Ian Holm ou l'équipage du vaisseau Nostromo se retrouve face à la parfaite machine à tuer, le xénomorphe. L'intrigue immersif exploite de nombreuses facettes chez l'Homme comme la peur de l'inconnu, d'être seul, ou encore la survie à l'aide de moyens limités et d'ingéniosité. La peur règne tout au long du film car la menace peut surgir de partout et elle plonge le spectateur dans l'angoisse et les ténèbres de l'espace car même si l'Homme possède la technologie pour pénétrer dans ce lieu perdu, il est aussi inconnu à ce lieu et rien ne peut l'aider s'il est coupé de tout contact avec la civilisation. La peur prend ainsi le dessus. Après que Neil Armstrong ait marché pour la première fois sur la Lune le 20 Juillet 1969, moment crucial de la conquête spatiale et synonyme de l'avancée des Etats-Unis dans monde en guerre froide. L'homme a été fasciné par l'espace et se demandait jusqu'où sa technologie avait ses limites et à quoi elle ressemblerait dans le futur. L'envie de conquête de l'espace a toujours fasciné l'Homme. Quant au xénomorphe, créature humanoïde d'origine inconnue dépassant les deux mètres, sa force et sa cruauté ne connaissent aucune limite. Sa furtivité et sa vitesse font de lui un adversaire difficile à cerner. Il représente l'ennemi suprême de l'Homme. Ce film pousse alors l'humain a ses limites en lui faisant affronter un ennemi qui réunit toutes ses peurs. De plus, l'apparence extravagante de l'alien fait en partie référence à la sexualité. Le mélange costume/animatronique offre un point de vue réaliste du monstre. Le tout est accompagné d'une musique à l'image de l'espace où l'inconnu et le calme règne.
Après la sortie en 1968 de "L' Odyssée de l'espace" de Stanley Kubrick, l'espace est devenu le lieu d'intrigues et de frissons inspirant de nombreux films de science-fiction. Ainsi naquit le blockbuster de 1979 "Alien, le huitième passager", réalisé par Ridley Scott où l'équipage du vaisseau Nostromo se retrouve face à la parfaite machine à tuer, le xénomorphe. L'intrigue immersif exploite de nombreuses facettes chez l'Homme comme la peur de l'inconnu, d'être seul, ou encore la survie à l'aide de moyens limités et d'ingéniosité. La peur règne tout au long du film car la menace peut surgir de partout et elle plonge le spectateur dans l'angoisse et les ténèbres de l'espace car même si l'Homme possède la technologie pour pénétrer dans ce lieu perdu, il est aussi inconnu à ce lieu et rien ne peut l'aider s'il est coupé de tout contact avec la civilisation. La peur prend ainsi le dessus. Après que Neil Armstrong ait marché pour la première fois sur la Lune le 20 Juillet 1969, moment crucial de la conquête spatiale et synonyme de l'avancée des Etats-Unis dans monde en guerre froide. L'homme a été fasciné par l'espace et se demandait jusqu'où sa technologie avait ses limites et à quoi elle ressemblerait dans le futur. L'envie de conquête de l'espace a toujours fasciné l'Homme. Quant au xénomorphe, créature humanoïde d'origine inconnue dépassant les deux mètres, sa force et sa cruauté ne connaissent aucune limite. Sa furtivité et sa vitesse font de lui un adversaire difficile à cerner. Il représente l'ennemi suprême de l'Homme. Ce film pousse alors l'humain a ses limites en lui faisant affronter un ennemi qui réunit toutes ses peurs. De plus, l'apparence extravagante de l'alien fait en partie référence à la sexualité. Le mélange costume/animatronique offre un point de vue réaliste du monstre. Le tout est accompagné d'une musique à l'image de l'espace où l'inconnu et le calme règne.
Même s'il a un peu vieillit et qu'il n'est sans doute plus aussi efficace que lors de sa sortie en 1979, il serait injuste de critiquer *Alien*. D'autant plus, qu'il a donné naissance à l'une des créatures les plus mythiques du cinéma.
Ridley Scott joue sur un suspense intense : on ne voit pas beaucoup l’extraterrestre mais sa présence est toujours merveilleusement suggérée. Les longs silences, la musique inquiétante et le décor froid et sombre renforcent le côté épouvante et permettent quelques belles frayeurs. Le metteur en scène maîtrise son espace et fait oublier ses moyens limités.
Ce classique du cinéma de science-fiction est donc essentiel à tout bon cinéphile.
Immense film de science-fiction, qui n'a pas pris une ride! La mise en scène et le suspens qui en découle sont d'une efficacité redoutable. L'Alien est remarquablement bien animé et le tout donne un grand Classique du cinéma
Premier film de la saga, il plante très bien l'ambiance qui caractérise la plupart des films de la série. Le début est un peu lent, (peut-être aurait-il fallu accélérer légèrement la première du partie du film). Mais la deuxième partie nous fait oublier ce petit défaut par son intensité. Un grand film.
C'est pas non plus le film le plus incroyable du cinéma, comme certaines pesonnes peuvent l'insinuer. C'est un bon film, un peu long par moment, mais surévaluer par rapport à ce que j'ai entendu. Le stress est présent mais c'est pas non plus la plus grande peur de votre vie. Les effets sont plutôt efficaces et les décors sont bien fait et participe bien à l'univers! Je trouve en revanche je trouve que le film souffre d'un sévère problème de rythme. Pour moi y'a des longueurs et il a de la peine à démarrer. Bref, une légende trop grande pour lui.
Mercredi 10 mai 2017 sort le nouvel opus d’Alien, à savoir Alien Covenant. Grâce aux cinémas UGC nous avons pu suivre la rétrospective du premier épisode, Alien, le huitième passager…
Nous sommes à bord d’un vaisseau spatial en direction de la Terre, mais en cours de route, le vaisseau reçoit un signal d’origine inconnue, d’une planète également inconnue. Nos sept protagonistes vont alors faire escale sur cette planète, et ramener malgré eux, un huitième passager. Les choses vont commencer à se compliquer pour le retour sur Terre.
Au niveau du jeu d’acteur, les émotions sont parfaitement retransmises. On peut lire la détresse dans le visage des passagers.
La bande son instaure une ambiance sombre et lugubre, aidée par le huis clos du vaisseau qui donne l’impression qu’on ne peut pas fuir l’alien. Les effets spéciaux ne sont pas exceptionnels, mais acceptables pour l’époque.
Si le dynamisme est lent au début, laissant le temps au film d’introduire le concept, il s’accélère à partir du moment où l’élément déclencheur fait surface, laissant le spectateur dans un parcours haletant, entre suspens et tension.
Le scénario reste simple : un alien qui doit tuer les passagers pour survivre, mais il est efficace grâce à Ridley Scott qui le réalise à merveille.
Il ne restera plus qu’a visionner les prochains opus pour être prêt avant le 10 mai. Dites nous en commentaire si vous voulez une critique de chaque film de la saga Alien ;
On se retrouve tout à l’heure pour la critique de Life : origine inconnue, un film qui s’inspire fortement d’Alien, le huitième passager.
se film est juste un chef d oeuvre il mais bien la tension on s unterese au personnage on veut qu il y passe il a très bien veillit mais par contre aujourd hui on s attend au scene. merci ridley scott
Alien : le huitième passager est pour moi LE film culte de la saga. D’abord parce qu’il pose les bases de la saga Alien, mais aussi parce qu’il est, selon moi, le meilleur de la série. Nous nous retrouvons donc dans un 8clos bien pensé ou une créature infernale et dangereuse va tenter de massacrer un à un les membres de l’équipage. En gros c’est un slasher, mais avec une créature à la place d’un psychopathe armé d’une arme blanche. Dit comme ça, ça semble banal comme film, mais il n’en est rien, le film se démarque déjà par son originalité, à l’époque, voir une femme héroïne d’un film de sci-fi était déjà très rare (d’ailleurs à l’origine il ne devait y avoir que des hommes dans l’équipage). Les scènes de tueries sont plutôt soft (à l’exception de la première apparition de l’alien. J’intitule cette scène : « indigestion ») et le film a quand même réussit à faire trembler toute une génération de fans sans pour autant verser des tonnes de sang. Ridley Scott a clairement signé un chef d’œuvre qui marquera toute une génération et qui, encore aujourd’hui pourrait sortir de bon film sur l’univers mis en place (et j’ai bien dis « pourrait »).
Lors de leur voyage de retour sur Terre, l'équipage d'un vaisseau spatial composé de cinq hommes et deux femmes capte un message émis depuis une planète éloignée. En explorant l'endroit, l'un des membres se fait attaquer par une mystérieuse créature qui s'attache à son visage. Malgré le fait qu'il soit sorti en 1979, ce film demeure très efficace. Le fait que l'équipage soit confiné dans le vaisseau rend la menace bien réelle, avec une notion de danger permanent entraînant un certain suspense. Les différents personnages font preuves de charisme et sont idéalement interprétés.