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Votre avis sur Alien, le huitième passager ?
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Sans parler de suspens mais plutôt d' angoisse Alien recevrait sans doute le 1er prix.
Un chef d' œuvre de Ridley Scott.
Le monstre de Giger inspire vraiment la peur et l' angoisse.
A voir absolument.
4\5
Un chef d' œuvre de Ridley Scott.
Le monstre de Giger inspire vraiment la peur et l' angoisse.
A voir absolument.
4\5
Mise à part les effets spéciaux des vues extérieures des vaisseaux, ce film ne prend absolument aucune ride, un régal.
Que dis-je, un chef d'oeuvre.
Que dis-je, un chef d'oeuvre.
Le premier film d'horreur mélangeant de la science fiction et du suspens du début à la fin,il y une atmosphère spéciale qui vous enferme avec les acteurs dans un univers inconnu ,oui l'espace infini qui réserve de grandes surprises les acteurs jouent juste et les décors sont magnifiquement réalisés,ce qui permet au film de ne pas changer avec le temps,l'histoire est vraiment cohérente,à voir et à revoir,une véritable merveille.
Moi qui souhaitait découvrir la saga juste parce que je trouvait l'Alien "classe"... J'ai été agréablement surpris ! Je n'ai jamais été aussi tendu devant un film !
(Selon moi)
Points forts: L'ambiance claustrophobique est le plus gros point fort de ce film. On pourrait presque se briser les doigts tellement on est tendu devant ce film culte. Les décors sont magnifiques, la musique prenante , les personnages tétanisés par la présence de l'Alien... Et aussi, c'est vrai qu'on ne voit pas beaucoup l'alien, mais pour moi, ça a suffit à me faire frissonner. Je ne peux pas comparer aux autres films, je ne les ai pas encore vus.
Points faibles : Si on se rappelle tous de la scène de "" l'accouchement "", qui est culte mais pour certains un peu dégueulasse, je trouve que la scène avec l'androide est dix fois pire... BEURK ! Aussi, heureusement que je ne suis pas épileptique, mais vers la fin du film lorsque Ripley veut rejoindre le petit vaisseau pour s'enfuir, y'a beaucoup des BIPS et des FLASHS... Mes yeux au secours... Et je me serais bien passé de l'arrêt des fesses de l'héroïne...
Plus qu'une seule envie, chopper mon coffret Alien et voir les autres films 😎😎😎
(Selon moi)
Points forts: L'ambiance claustrophobique est le plus gros point fort de ce film. On pourrait presque se briser les doigts tellement on est tendu devant ce film culte. Les décors sont magnifiques, la musique prenante , les personnages tétanisés par la présence de l'Alien... Et aussi, c'est vrai qu'on ne voit pas beaucoup l'alien, mais pour moi, ça a suffit à me faire frissonner. Je ne peux pas comparer aux autres films, je ne les ai pas encore vus.
Points faibles : Si on se rappelle tous de la scène de "" l'accouchement "", qui est culte mais pour certains un peu dégueulasse, je trouve que la scène avec l'androide est dix fois pire... BEURK ! Aussi, heureusement que je ne suis pas épileptique, mais vers la fin du film lorsque Ripley veut rejoindre le petit vaisseau pour s'enfuir, y'a beaucoup des BIPS et des FLASHS... Mes yeux au secours... Et je me serais bien passé de l'arrêt des fesses de l'héroïne...
Plus qu'une seule envie, chopper mon coffret Alien et voir les autres films 😎😎😎
J'ai vu ce film à sa sortie, j'avais 20 ans et ça m'a laissé une très forte impression. je viens de le revoir 40 ans après, le film n'a pas pris une ride. Le scénario, la réalisation, la bande-son, les décors et la créature de Giger, le huis-clos oppressant, tout est réussi. C'est la rencontre entre la SF-horror, Hitchcock et l'atmosphère cauchemardesque des oeuvres de Giger - que Jodorowsky avait fait contacter Hollywood.
UN CHEF D'OEUVRE ABSOLU; lorsque le film est sorti j'étais avec un ami et nous sommes aussitôt retourner le revoir. Amateur de livre de science fiction, et donc de films du genre, lorsuq j'ai vu ce film j'ai compris qu'il y aurait un avant alien et un après. Les gens plus jeunes ne comprennent pas ce que Ridley a apporté au cinéma, une révolution du genre science fiction. Les décors sont prodigieux, le scénario inventif et obsèdant. L'alien est le premier du genre aussi effrayant et magnifique. Ce film est dans le top 10 indéniablement.
Huis clos - en grande partie - dans une station spatiale devenu film culte. Au côté d'une Sigourney Weaver qui se révèle, on note un alien poulpe visuellement réussi et quelques scènes mythiques (l
spoiler:
'alien accroché au visage de sa première victime, quand il sort d'une manière non conventionnelle de son ventre...
). Aujourd'hui, on le classerait plus dans le genre science fiction que dans l'horreur mais l'ambiance est toujours tendue, même 40 ans après sa sortie.
). Aujourd'hui, on le classerait plus dans le genre science fiction que dans l'horreur mais l'ambiance est toujours tendue, même 40 ans après sa sortie.
Aujourd'hui j'ai lu dans un article que le réalisateur avait imaginé une fin différente et une éventuelle histoire d'amour entre Dallas et Ripley.
C'est ainsi que je me suis rendu compte du pourquoi j'ai tant aimé ce film, spoiler: je crois que c'est parce qu'il n'y avait pas d'histoire d'amour niaise américaine. S'il y avait eu une histoire d'amour niaise comme dans beaucoup d'autres films américains, je pense que la note du film aurait été beaucoup plus basse.
Enfin une actrice qui n'est pas vue que comme une femelle niaise qui est là pour faire des bisous à son fiancé.
C'est ainsi que je me suis rendu compte du pourquoi j'ai tant aimé ce film, spoiler: je crois que c'est parce qu'il n'y avait pas d'histoire d'amour niaise américaine. S'il y avait eu une histoire d'amour niaise comme dans beaucoup d'autres films américains, je pense que la note du film aurait été beaucoup plus basse.
Enfin une actrice qui n'est pas vue que comme une femelle niaise qui est là pour faire des bisous à son fiancé.
Ce huit clos spatial atteint des sommets de suspense, l'atmosphère ténébreuse et la réalisation extrêmement soignée en fait un film hors norme. Chaque scène tient en haleine et l'on va de surprises en surprises, de coups de théâtre en coups de théâtre... On s'identifie aux personnages et l'on ne trouve aucune issue à ce récit cloisonné qui nous livre une lutte sans merci pour la survie. Un film stupéfiant qui est encore considéré comme l'un des plus grands classiques de la SF d'épouvante, un must !
N'ayant pas peur des films d'horreur je trouve quand même que ce film est incroyable!!!Un film d'horreur qui change des slashers et puis les scènes avec les aliens sont génial
Cela met du temps à se lancer (30 minutes) pour finalement devenir intensément haletant et ne plus s'arrêter. C'est super bien fait d'autant plus pour un film d'époque (1979). De bons rebondissements. Les acteurs sont top et la réalisation propre.
Pour moi c'est le meilleur Alien, le film m'a fait un peu penser aux "Dents de la mer". On ne voit pas souvent "La bête" mais je pense que c'est justement ça qui fait l'interêt de ce film.
Life
Mon premier visionnage de ce film m'avait laisser un peu froid, pas effrayé pour un sou, et je n'avais pas fais l'effort de me plonger dans le film. Mais je reconnais maintenant de grandes qualités au film, de un sa photographie, qui si on excepte quelques plans précis sur le xénomorphe, est magnifique et n'a pas pris une ride, sa musique est également très bonne, le thème principal est très marquant, et le film possède en général un gros travail du son qui est très plaisant. Les personnages sont assez attachants et hauts en couleur, le film fait un choix intéressant, c'est de ne pas présenter frontalement de personnage principal au début du film, Ripley n'est qu'un membre d'équipage parmi d'autres durant plus de la moitié du film, même si ces dialogues sont souvent montrés, le capitaine ou Ash semblent plus important au début. Ce qui fait qu'on ne s'attend pas forcément aux morts car étant tous plus ou moins sur un pied d'égalité niveau affectif, chaque personnage peut mourir, et le film le prouve en tuant tout le monde sauf Ripley.
Les plans du vaisseau dans l'espace sont très beau et n'ont pas vieillis, les décors, surtout ceux sur la planète des xénomorphes sont grandioses, la caméra parcoure aléatoirement le vaisseau au début du film, installant donc l'ambiance du film, ponctué par le thème principal du film. Le maquillage du corps de Ash détruit font très réalistes et sont assez gerbants. Je n'aurais à redire que sur le costume du xénomorphe, qui fonctionne très bien dans les plans rapprochés mais beaucoup moins dans les plans d'ensemble le montrant en entier, on sent alors que c'est un costume et c'est dommage.
Faire le film en quatre actes est une bonne idée assez peu vu (il me semble), même si le dernier acte est un peu long pour ce qui s'y passe.
Bref, film excellent, très beau et bien fait, qui m'a donner envie de poursuivre dans cette saga que je n'ai toujours pas vu malgré sa réputation.
Mon premier visionnage de ce film m'avait laisser un peu froid, pas effrayé pour un sou, et je n'avais pas fais l'effort de me plonger dans le film. Mais je reconnais maintenant de grandes qualités au film, de un sa photographie, qui si on excepte quelques plans précis sur le xénomorphe, est magnifique et n'a pas pris une ride, sa musique est également très bonne, le thème principal est très marquant, et le film possède en général un gros travail du son qui est très plaisant. Les personnages sont assez attachants et hauts en couleur, le film fait un choix intéressant, c'est de ne pas présenter frontalement de personnage principal au début du film, Ripley n'est qu'un membre d'équipage parmi d'autres durant plus de la moitié du film, même si ces dialogues sont souvent montrés, le capitaine ou Ash semblent plus important au début. Ce qui fait qu'on ne s'attend pas forcément aux morts car étant tous plus ou moins sur un pied d'égalité niveau affectif, chaque personnage peut mourir, et le film le prouve en tuant tout le monde sauf Ripley.
Les plans du vaisseau dans l'espace sont très beau et n'ont pas vieillis, les décors, surtout ceux sur la planète des xénomorphes sont grandioses, la caméra parcoure aléatoirement le vaisseau au début du film, installant donc l'ambiance du film, ponctué par le thème principal du film. Le maquillage du corps de Ash détruit font très réalistes et sont assez gerbants. Je n'aurais à redire que sur le costume du xénomorphe, qui fonctionne très bien dans les plans rapprochés mais beaucoup moins dans les plans d'ensemble le montrant en entier, on sent alors que c'est un costume et c'est dommage.
Faire le film en quatre actes est une bonne idée assez peu vu (il me semble), même si le dernier acte est un peu long pour ce qui s'y passe.
Bref, film excellent, très beau et bien fait, qui m'a donner envie de poursuivre dans cette saga que je n'ai toujours pas vu malgré sa réputation.
D’échecs découle parfois un chef-d’œuvre ! Suite à l’échec commercial de la comédie Dark star de John Carpenter et au non aboutissement du Dune d’Alejandro Jodorowsky, le scénariste Dan O’Bannon décide d’offrir une version sérieuse du premier. De cette volonté naît le scénario d’Alien : Le 8ème Passager réalisé finalement par Ridley Scott.
Sur un scénario très intelligent (qui vit, outre celle d'O’Bannon, la participation de Ronald Shussett, Walter Hill et David Giler), Ridley Scott signe une œuvre maîtresse de la science-fiction horrifique. Il arrive à créer une tension constante notamment par le fait que les personnages sont globalement traités sur un plan d’égalité empêchant le spectateur de savoir quel personnage périra ou survivra (même si les suites font qu’aujourd’hui il est difficile de ne pas le savoir avant de le voir pour la première fois) : la personnalité de chaque personnage est développée en fonction de son rôle dans le vaisseau, ce qui offre une vision sociologique du petit équipage spoiler: (Parker et Brett revendiquent régulièrement une répartition équitable de la prime pendant que Dallas et Ripley cherchent à éluder ces tensions naissantes ; Ripley, responsable du vaisseau en l’absence de Dallas, se voit contestée quand elle veut appliquer à la lettre le principe de quarantaine)
. Cette exposition des personnages permet ainsi de créer le suspense quand la vie de ses personnages est menacée (c’est ce qui explique que l’alien n’apparaît réellement qu’à la moitié du film).
En outre, le public de 1979 ignorait également qui allait périr car Ridley Scott choisit d’offrir un casting composé d’aucune réelle star mais de très solides acteurs (dont certains ont déjà une carrière bien remplie) : Tom Skerritt, Sigourney Weaver (dont c’est le premier rôle important), Veronica Cartwright, Harry Dean Stanton, Ian Holm et Yaphet Koto (auxquels on peut également ajouter le très grand Bolaji Badejo dans le costume de l’alien et Helen Horton qui prête sa voix à l’ordinateur de bord).
Mais le réel coup de génie de Ridley Scott est d’avoir choisi de faire appel à H.R. Giger pour concevoir l’environnement extraterrestre. C’est en effet à ce dernier que l’on doit le look si mémorable de l’alien (qui était en réalité préexistant au film puisqu’il provenait de sa peinture Necronom IV datant de 1976) qui fit que celui-ci reste un des monstres les plus marquants de l’Histoire du 7ème art.
En outre, Scott a l’intelligence de ne pas trop dévoiler son monstre pour le rendre plus angoissant. Il va donc offrir un film où l’obscurité est très travaillée (ce qui lui faisait perdre de l’impact quand on le regardait sur un support de piètre qualité comme la VHS) et jouant beaucoup sur la dilatation du temps afin de créer la tension. On pourra d’ailleurs regretter spoiler: (outre l’ajout de la séquence montrant les victimes de l’alien qui entre un peu en contradiction avec les modes de reproduction de cette espèce qui seront montrés dans les films suivants)
que le director’s cut choisisse un peu d’accélérer le rythme de l’ensemble (même si, au final, les deux versions restent relativement proches). Le cinéaste (dont c’était le second long métrage après Les Duellistes mais qui avait réalisé plus de 2000 publicités) offre une mise en scène de toute beauté et qui met en avant des effets spéciaux incroyablement réalistes pour l’époque.
On pourra ajouter que le cinéaste eu la bonne idée d’imposer au compositeur Jerry Goldsmith (qui optait pour un résultat plus classique) de livrer une partition peu mélodique mais renforçant l’angoisse.
Il n’est donc surprenant que ce film, présentant un futur beaucoup plus sombre que celui de Star wars (qui s’appelait encore en France La Guerre des étoiles et qui venait de révolutionner la science-fiction et de connaitre un résultat au box-office gigantesque), fût un véritable choc pour le public de 1979 et rencontra un beau succès dont découlera une des plus importantes franchises du genre.
Sur un scénario très intelligent (qui vit, outre celle d'O’Bannon, la participation de Ronald Shussett, Walter Hill et David Giler), Ridley Scott signe une œuvre maîtresse de la science-fiction horrifique. Il arrive à créer une tension constante notamment par le fait que les personnages sont globalement traités sur un plan d’égalité empêchant le spectateur de savoir quel personnage périra ou survivra (même si les suites font qu’aujourd’hui il est difficile de ne pas le savoir avant de le voir pour la première fois) : la personnalité de chaque personnage est développée en fonction de son rôle dans le vaisseau, ce qui offre une vision sociologique du petit équipage spoiler: (Parker et Brett revendiquent régulièrement une répartition équitable de la prime pendant que Dallas et Ripley cherchent à éluder ces tensions naissantes ; Ripley, responsable du vaisseau en l’absence de Dallas, se voit contestée quand elle veut appliquer à la lettre le principe de quarantaine)
. Cette exposition des personnages permet ainsi de créer le suspense quand la vie de ses personnages est menacée (c’est ce qui explique que l’alien n’apparaît réellement qu’à la moitié du film).
En outre, le public de 1979 ignorait également qui allait périr car Ridley Scott choisit d’offrir un casting composé d’aucune réelle star mais de très solides acteurs (dont certains ont déjà une carrière bien remplie) : Tom Skerritt, Sigourney Weaver (dont c’est le premier rôle important), Veronica Cartwright, Harry Dean Stanton, Ian Holm et Yaphet Koto (auxquels on peut également ajouter le très grand Bolaji Badejo dans le costume de l’alien et Helen Horton qui prête sa voix à l’ordinateur de bord).
Mais le réel coup de génie de Ridley Scott est d’avoir choisi de faire appel à H.R. Giger pour concevoir l’environnement extraterrestre. C’est en effet à ce dernier que l’on doit le look si mémorable de l’alien (qui était en réalité préexistant au film puisqu’il provenait de sa peinture Necronom IV datant de 1976) qui fit que celui-ci reste un des monstres les plus marquants de l’Histoire du 7ème art.
En outre, Scott a l’intelligence de ne pas trop dévoiler son monstre pour le rendre plus angoissant. Il va donc offrir un film où l’obscurité est très travaillée (ce qui lui faisait perdre de l’impact quand on le regardait sur un support de piètre qualité comme la VHS) et jouant beaucoup sur la dilatation du temps afin de créer la tension. On pourra d’ailleurs regretter spoiler: (outre l’ajout de la séquence montrant les victimes de l’alien qui entre un peu en contradiction avec les modes de reproduction de cette espèce qui seront montrés dans les films suivants)
que le director’s cut choisisse un peu d’accélérer le rythme de l’ensemble (même si, au final, les deux versions restent relativement proches). Le cinéaste (dont c’était le second long métrage après Les Duellistes mais qui avait réalisé plus de 2000 publicités) offre une mise en scène de toute beauté et qui met en avant des effets spéciaux incroyablement réalistes pour l’époque.
On pourra ajouter que le cinéaste eu la bonne idée d’imposer au compositeur Jerry Goldsmith (qui optait pour un résultat plus classique) de livrer une partition peu mélodique mais renforçant l’angoisse.
Il n’est donc surprenant que ce film, présentant un futur beaucoup plus sombre que celui de Star wars (qui s’appelait encore en France La Guerre des étoiles et qui venait de révolutionner la science-fiction et de connaitre un résultat au box-office gigantesque), fût un véritable choc pour le public de 1979 et rencontra un beau succès dont découlera une des plus importantes franchises du genre.
ALIEN sortit en 1979 est un film spectaculaire mêlant la science fiction à l'horreur. Les instants d'angoisses sont présent du début à la fin. L'atmosphère du film reste constamment très sombre. Les acteurs transmettent à merveille leur peur et leur incrédulité face à la vision cauchemardesque de l'extraterrestre. Cette réalisation nous insère dans une partie de jeu de cache-cache interminable, dans les entrailles du vaisseau le NOSTROMO. Le rythme est lent et angoissant , coiffé d'un partition sonore faisant monter la tension et jouer avec nos nerfs. Exitant à tous les niveaux.
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