Avis : Alien, le huitième passager - Page 10

J'adore ce film ! Pas un film d'horreur comme beaucoup le pense mais bien un film de SF. Ridley Scott modifie le genre en mettant une femme à la tête de son film et Sigourney Weaver incarne parfaitement Ripley, une pilote de vaisseau qui n'est pas surhumaine mais qui grace à un courage hors du commun va réussir à vaincre cette créature terrifiante. Excellent film

Critique de "Alien". Le début de l'une des plus grandes sagas cinématographiques de tous les temps (hormis les regrettables crossovers Alien/Predator). Un classique de SF, effrayant et en même divertissant. Alien marque un tournant du crossover horreur / science fiction dans le cinéma. Le huis clos est très efficace avec son atmosphère hors du commun. Et Sigourney Weaver est badass comme jamais. 4,5/5

Alien est probablement le meilleur film de science fiction jamais réalisé! Un atmosphère incroyable qu'on ne retrouve dans aucun film, par le géant Ridley Scott.

"Alien", l'une des sagas cinématographiques les plus mythiques et les plus référentielles de tous les temps. Un grand univers qui mélange la science-fiction et l'horreur, une révolution totale dans le monde de la science-fiction, la naissance d'une créature considérée comme une monstre mythologique, à savoir l'Alien Xenomorph, créature à la fois impressionnante que repoussante, et surtout, pour moi, ma deuxième saga de SF préférée après "Star Wars". À l'époque de sa sortie vers la fin des années 70, tout comme "Star Wars", "Alien" a eu un succès phénoménale, une acclamation aussi bien de la part de la presse que du public et surtout le film révélateur de Ridley Scott, qui est par la même occasion l'un de ses meilleurs films, et ce film a donné également naissance à une saga qui marquera le mythe du 7e art. Concernant ce premier volet de la saga "Alien", c'est une réussite totale. Avec un scénario très bien écrit, des personnages qui fonctionnent à merveille, des décors et des design de créatures très bien foutus, et surtout une ambiance sombre et horrifique qui marche du tonnerre. La mise en scène est de plus ultra bien gérée, les enjeux sont forts, et même si le rythme est assez lent, il faut le reconnaître, le film garde bien ses surprises tout en maintenant son suspens angoissant. C'est un film avant tout très calme, mais qui peut bien rebondir tout en nous surprenant avec ses idées créatives horrifiques hors du commun, en particulier sur l'évolution de la créature Alien qui peut être aussi fascinante que sanglante. Alors oui, le temps a passé et a bien marqué le film, car le film ayant presque 40 ans, le visuel a pris cher et a assez mal vieilli, surtout avec le mannequin du Xenomorph qui passe vraiment plus inaperçu, mais n'empêche que le film reste excellent en tout point, surtout sur le final qui est juste dément. Étant donné l'ambiance calme, sinistre et glauque du film, la musique est extrêmement rare. Elle est néanmoins présente lors des moments horrifiques et de tension, et évidemment au début et à la fin qui nous livre un thème magnifique composé par Jerry Goldsmith (RIP). Au niveau des acteurs, tout est ok. Sigourney Weaver qui interprète ici l'un de ses plus grands rôles au cinéma, à savoir celui de Elen L. Riplay, est juste excellente, (et encore c'est rien comparé à son jeu dans les suites.) Vraiment, l'actrice s'implique bien et se donne à fond dans son personnage en étant perspicace, agile et vigoureuse comme tout. Même chose pour Tom Skeritt qui est totalement crédible et investi. Mention spéciale aussi à Ian Holm qui rebondit bien et qui nous livre de bonnes surprises. Les autres acteurs, John Hurt (RIP), Veronica Cartwright, Harry Dean Stanton, Yaphet Kotto et Bolaji Badejo (RIP) dans le rôle de l'Alien sont tous très bons également. En conclusion, "Alien : Le Huitième Passager" est une grosse claque, la naissance d'un mythe et un chef d'oeuvre absolu, en attendant "Aliens : Le Retour" qui pour moi s'avéra encore mieux. Pour ceux qui souhaitent se plonger au cœur de cette mythologie, et qui aiment la science-fiction et l'angoisse, ce film saura pleinement vous en mettre plein la vue, et j'invite également les fans à remater ce film et toute la saga. Bravo en tout cas à Ridley Scott d'avoir fait naître "Alien" au cinéma et de l'avoir intégré dans la légende. Bienvenue en tout cas dans l'univers d'Alien.

"Dans l'espace, personne ne peut vous entendre crier."

De l'histoire écrite par Dan O'Bannon et Ronald Shusett jusqu'à la naissance d'un mythe cinématographique, "Alien" est un chef-d'œuvre qui marque l'histoire du cinéma avec :

- la conception du Xenomorph (appelé aussi Xenomorph XX121, Internecivus raptus ou simplement Alien) et de son univers par H.R. Giger et Carlo Rombaldi,
- le design des décors "humains" par Ron Cobb et Chris Foss,
- les interprétations légendaires qui mettent en valeur des acteurs aguerris tout en révélant Sigourney Weaver,
- toutes ces réalisations artistiques brillamment reliées entre elles par la mise en scène magistrale de Ridley Scott et la bande originale envoûtante de Jerry Goldsmith.

Un univers cinématographique si riche qu'au fil des décennies trois autres films de réalisateurs légendaires sont venus compléter la Série originale, avec “Aliens” (1986) de James Cameron, “Alien 3” (1992) de David Fincher et “Alien Resurrection” (1997) de Jean-Pierre Jeunet, avant que la forme de vie endoparasitoïde basée sur une ruche avec un cycle de vie en plusieurs étapes, peut-être originaire de la planète Xenomorph Prime, ne confronte une autre des espèces extra-terrestres les plus meurtrières et les plus hostiles connues, le Predator, avec deux films crossover, à savoir “Alien vs. Predator” ( 2004) et “Aliens contre Predator : Requiem” (2007).

En 2012, Ridley Scott est revenu dans cet univers avec le premier épisode de sa série Prequel : “Prometheus” (2012), suivi en 2017 par “Alien : Covenant”, avant de confirmer qu'il avait prévu deux autres suites pour que la Structure narrative de Prometheus rejoigne celle de l'Alien original de 1979.

Outre cette série, plusieurs projets sont actuellement à divers stades de développement selon les dernières nouvelles :

- "Alien Romulus" (2024), en tant que film autonome réalisé par Fede Alvarez, dont le tournage a commencé en février 2023,
- Sigourney Weaver a confirmé qu'elle reprendrait le rôle de Ripley dans le projet "Alien: Awakening" de Neill Blomkamp, qui sera une suite directe d'Aliens (1986) de James Cameron. Cependant, le projet a ensuite été annulé par les studios en raison des résultats au box-office d'Alien : Covenant. Mais, James Cameron aurait pris le relais pour que le projet se concrétise,
- - "Alien V" écrit par Walter Hill et David Giler et centré sur Ripley ne dépasserait pas le stade de l'écriture.

Autant de projets, plus passionnants les uns que les autres, qui ne peuvent que ravir les cinéphiles et amoureux de l’histoire du septième art.

5/5

Un très bon film de SF, très novateur en la matière; tout d'abord les décors spatiaux futuristes d'une beauté efficace, ainsi que les effets spéciaux et la mise en scène comme spoiler: la fameuse scène culte du "chestburster" ou plus explicitement explosion de poitrine par l'alien qui vient éclore
mais aussi les fouilles sur la planète, le space jockey...une atmosphère assez angoissante tout au long du film (la musique de début l'annonce très joyeusement (douce ironie), atmosphère de craintes qui compense spoiler: le manque logique d'apparitions de l'alien (un peu comme le requin dans le 1er opus des Dents de la Mer de Spielberg)
. De plus, les personnages sont à peu près tous bien traités dans ce huit-clos spatial (sans jeux de mots), et Sigourney Weaver est bien la mieux placée dans ce film. Dommage que la fin soit un peu traitée à la va-vite même s'il était logique spoiler: qu'à la fin il en restera qu'un (pardon pour la référence) de survivant
. Pour résumer; le 1er Alien reste une référence dans le genre.

Premier épisode de la saga mythique créer par Ridley Scott , " Alien : le huitième passager " est un chef-d’œuvre terrifiant par excellence. Une première aventure avec une atmosphère cauchemardesque , dans lequel les protagonistes se mesure à une forme de vie inconnue. Seul le lieutenant Ellen Ripley parvient à survivre à la fin du film, en affrontant avec courage et sang froid cette créature étrange qui à décimée un par un les membres de son équipage. Le scénario est instantané, les décors et les effets visuels nous coupe le souffle. Les acteurs sont tous excellents et la réalisation de Ridley Scott totalement époustouflante. Le film est sortie en 1979 , il n'a pas vieillit d'un poil. Un des meilleurs classiques incontournables de la science-fiction qui a marqué toute une génération de fans. Un chef-d’œuvre horrifique où " dans l'espace , personne ne vous entend crier ".

Un peu vieillot des qu'il s'agit de dévoiler des hautes-technologies, mais l'ambiance est excellente.
Glauque et oppressante a souhait, avec des scènes désormais cultes qui font mouche a coup sur ("l'accouchement") !
La série des Aliens s'est levée sous de bons auspices.

«Alien : le Huitième Passager», ou l'œuvre cinématographique de science-fiction la plus connue et certainement la plus éblouissante? Cette épopée futuriste glace le sang dès les premières notes de la bande-originale de Jerry Goldsmith. L'ambiance oppressante et sinistre accentuée par la performance des acteurs dont Sigourney Weaver, et la mise en scène radicalement bluffante qui rassemble les principaux thèmes de la science fiction à l'état horrifique, font de cette œuvre une œuvre culte du cinéma, une œuvre absolument spectaculaire qui frappe le spectateur en plein cœur. Ridley Scott livre le meilleur de lui avec également «Gladiator». Les derniers films du réalisateur ne comblent pas toutes les attentes qui ont pourtant étaient comblés dans ce film et «Gladiator». Film culte, épopée grandissante, qui résulte d'un travail précis. Haletant au plus au point, angoissant dès le début, frissonnant de temps à autre, une sensation de jamais vu au cinéma.

Ca faisait longtemps que je ne l'avais pas vu, et dans mon souvenir, c'était plus oppressant et effrayant. A part un ou 2 petits sursauts, c'est relativement gentillet. Sympa quand même comme film, mais on doit pouvoir trouver mieux non ?!...

Un Chef D'Oeuvre. Le Réalisateur Ridley Scott signe un Huit Clos Spatiale Tétanisant et Suffoquant qui a révolutionner le Cinéma toute en réussissant a faire trembler le monde entier pendant des décennies. Pour Commencer la Mise en Scène est mener de main de maître en passant par des images a l'Esthétique plutôt sombre et sublime grâce au travail remarquable du talentueux H R Giger qui livrent des Décors méticuleusement soignée ainsi que le vaisseau Nostromo qui est parfaitement réaliser tout en étant servi par une BO angoissante de Jerry Goldsmith qui arrive a nous donner des frissons avec des thèmes oppressants lors des moments forts du long métrage. Ensuite le Scénario est Habilement Ficeler tout en réservant quelques Rebondissements inattendus qui arrive a nous maintenir en haleine tout au long des 1h56 que dure le film,ajouter a cela un Suspense Insoutenable qui monte en puissance avec une intensité sidérante tout en regorgeant de Séquences riche en moments Gores et Violents sans oublier des Effets Spéciaux Révolutionnaires pour l'époque avec un design trés réussi de la Créature qui nous fait parcourir des frissons a chacune des apparitions qui se révèle petit a petit jusqu’à une Séquence Finale d'anthologie. Enfin le Casting est remarquable en révélant quelques talents tels que la ravissante Sigourney Weaver qui campe une Héroïne D'Action téméraire et au caractère bien trempé sous les traits du lieutenant Ellen Ripley qui est seconder par des Personnages Secondaires mémorables qui est composer respectivement de Tom Skerritt, Ian Holm,John Hurt, Veronica Cartwright. Yaphet Kotto et Harry Dean Stanton qui arrivent a tirer leurs épingle du jeu a travers ces protagonistes attachants. En Conclusion,Alien Le Huitième Passager est un film de Science Fiction d’Épouvante incontournable en étant a la fois Effrayant,Palpitant,Oppressant et Originale qui marqua une étape trés importante dans le domaine du Cinéma Fantastique et D'Horreur tout en posant les bases d'une Saga extraordinaire qui a passionné toute une génération de cinéphiles a travers les années et qui est a posséder d'urgence dans sa vidéothèque.

Cocktail de suspense, d’horreur et de fantastique, le film est une réussite plastique aux décors très soignés. Un « Space Survavor » devenu Culte.

Dans un climat glacial, une vie organique évolue en organisme parfait. Quand on est libre de tout sens moral, seule compte la désolation.

Voila un film a ne surtout pas rater: Alien le huitième passager ! Il a pris un petit coup de vieu mais l'atmosphère est toujours aussi extraordinaire ! C'est un des grands classiques du cinéma d'épouvante et de science-fiction. N'hésitez surtout pas à regarder ce chef d'oeuvre qui a révolutionné le cinéma

La quadrilogie Alien fait partie de ces grands moments dans l'histoire du cinéma de science-fiction, à l'époque où avec un budget ridicule et beaucoup de personnalité, on pouvait faire des merveilles. Et c'est ce qu'a accompli Ridley Scott pour Alien, Le Huitième Passager, ou comment un audacieux mélange de science-fiction et d'horreur a engendré un chef d'œuvre. Mais parlons donc de la partie "horreur" du film, qu'on retrouvera assez peu dans le reste de la saga, puisque sa séquelle Aliens Le Retour a choisi le terrain du blockbuster, Alien 3 a choisi un terrain plus psychologique qu'horrifique, tandis que Alien La Résurrection penche lui aussi du côté du film d'action fun. Voilà un adjectif qu'on pourrait avoir du mal à lier à ce premier Alien, qui nécessite tout de même une certaine exigance d'un spectateur lambda pour entrer dans le film. En effet, le coup de maître d'Alien est surement son ambiance, glauque, oppressante, d'autant plus que le sous-thème du viol est très présent (d'ailleurs faites vous-même des recherches sur la forme originelle du xénomorphe imaginé par l'excentrique H.R. Giger, et vous constaterez que le crâne de la créature ressemblait encore plus à un énorme phallus... M'enfin je dis ça je dis rien...), mais reparlons de l'ambiance : le fait est que la première heure du film peut être assez difficile à regarder pour nous, spectateurs modernes, habitués à ce qu'un film démarre dès les 5 premières minutes ; en effet cet Alien premier du nom prend son temps pour installer son atmosphère travaillée, et en profite pour instaurer un certain "réalisme" dans son univers, notamment dans la gestion du vaisseau, qui, ne servant que pour une mission, est une véritable poubelle qui se casse au moindre choc non calculé. Mais passée la scène d'anthologie où un des occupants voit le xénomorphe naissant sortir de son ventre (rectification : exploser son ventre en mettant du sang partout, c'est malin ça...), peu de spectateurs ne peuvent pas être cloué à leurs sièges devant le long-métrage jusqu'à la (toute) fin. Déjà parce que, comme tout le monde l'a déjà dit, la créature du film est déjà un chef d'œuvre, autant par sa forme et son apparence terrifiante que par la façon dont le film la "glorifie" : on ne voit presque jamais distinctement le monstre, mais on sent dans chaque plan sa présence et l'impuissance des protagonistes face à cet ennemi (presque) invincible (bah oui, il faut quand même qu'à la fin il y ait un(e) (des) survivant(e)(s) pour qu'il y ait des suites, n'est-ce pas ?). Parlons d'ailleurs de la mise en scène et du côté purement technique et surtout artistique du film. Car en effet la direction artistique est une des grandes qualités du film, quand le deuxième épisode sera surtout une réussite technique : tout y est pour nous mettre dans un climat oppressant et incroyablement anxiogène : le vaisseau est formé de long couloirs, de la vapeur, de l'eau (du sang !!) sort par tous les coins, et le climax final où Ripley est seule face au xénomorphe est incroyable : on ne peut pas quitter les yeux de l'écran, et tandis que la respiration de l'héroïne devient de plus en plus forte, on est nous-même soufflé... Parlons donc de cette même Ripley (dis donc, je n'ai rien perdu de mon sens aiguisé de la transition moi...), interprété par la fameuse Sigourney Weaver dans LE rôle qui la rendra célèbre : et on sent déjà les balbutiements d'un grand personnage en la personne de Ripley : peut-être une des meilleurs héroïnes féminines de la science-fiction : toujours déterminée à ne pas se laisser faire, il en faudra de la testostérone dans le xénomorphe pour pouvoir s'en débarrasser (ça tombe mal puisqu'elle réssucitera ensuite, donc...). Il n'empêche que dans l'ensemble les personnages n'ont pas forcément beaucoup d'espoir parce que le film nous dévoile un autre sous-thème : celui de la compagnie prête à sacrifier des vies pour la science, comme on le découvrira plus tard dans le film. Conclusion : Un de ces films qu'on ne peut plus s'arrêter de remercier : on remercie Ridley Scott pour avoir révolutionné la science-fiction avec Alien Le Huitième Passager, on le remercie pour nous avoir livré le meilleur film pouvant illustrer une des meilleures créatures jamais vues au cinéma, et surtout on le remercie pour avoir pondu ce chef d'œuvre. Courez le voir, car si vous accrochez au film vous ne pourrez plus en décrocher jusqu'à la (toute) fin !