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Votre avis sur A des millions de kilomètres de la Terre ?
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gimliamideselfes
Je ne sais plus du tout pourquoi j'avais ce film, mais je l'ai vu et c'est une sorte de remake raté de king kong... ça vaut avant tout pour les effets spéciaux de Ray Harryhausen... mais après ça c'est un peu le néant. Je trouvais ça sympa au début les clichés sur les siciliens, le fait que ça se passe en Italie et pas en Amérique... Mais bon si c'est pour faire exactement la même chose et remplacer l'Empire State Building par le Colisée, c'est juste pas la peine... Quel intérêt ?
On a même droit à une petit phrase bidon qui vient clore le film comme dans King Kong... Bref c'est pas très intéressant, surtout que contrairement à King Kong il n'y a pas cette dualité avec la bestiole, un côté un peu attachant...
C'est un film de monstre tout ce qu'il y a de plus bas du front et américain. C'est vraiment dommage.
Du coup le titre est sympa, le film se laisse regarder pour son côté ultra daté et kitch, mais bon... franchement ça fait quand même 1h20 de perdue en voyant ce film. C'est sans doute à réserver aux fans du genre, ce que je ne suis pas... Mais il y avait tellement mieux à faire avec le même sujet et tellement mieux a déjà été fait !
On a même droit à une petit phrase bidon qui vient clore le film comme dans King Kong... Bref c'est pas très intéressant, surtout que contrairement à King Kong il n'y a pas cette dualité avec la bestiole, un côté un peu attachant...
C'est un film de monstre tout ce qu'il y a de plus bas du front et américain. C'est vraiment dommage.
Du coup le titre est sympa, le film se laisse regarder pour son côté ultra daté et kitch, mais bon... franchement ça fait quand même 1h20 de perdue en voyant ce film. C'est sans doute à réserver aux fans du genre, ce que je ne suis pas... Mais il y avait tellement mieux à faire avec le même sujet et tellement mieux a déjà été fait !
Yetcha
Le deuxième film après Monsieur Joe où Ray Harryhausen insuffle une vraie vie et une intensité au film. Sa créature est belle, bien animé et on entrevoie des mouvement à la Gwangi bien avant l'heure. Des relents de King-Kong sur la fin au Colisée où la bête a grandi et un rythme pas trop mou font de ce film un ensemble très correct encore aujourd'hui.
soniadidierkmurgia
Ah les effets spéciaux de Ray Harryhausen ! Ils nous projettent brutalement dans notre enfance quand naïfs nous croyions réels ces petites marionnettes animées image par image. Pour ce film dont il a conçu le scénario, Harryhausen confesse qu'il profitait de sa relative notoriété pour s'offrir des voyages via les tournages de ses films. On a donc ici l'explication de l'épopée romaine de sa créature venue de Vénus. Les acteurs sont toujours aussi mauvais comme si c'était la marque de fabrique obligatoire de ces productions de série B'. Mais le plus important c'est la créature que nous a concocté le grand Ray. Ce petit être vert qui grandit à vu d'œil est un hybride entre l'homme et le reptile auquel on s'attache immédiatement tant on compatit à son triste sort d'unique représentant de son espèce devant faire face à la curiosité malsaine de l'homme pour tout ce qui lui est étranger. La fin fait bien sûr penser à King Kong avec le Colisée en lieu et place de l'Empire State Building. Que ce soit devant les vestiges de l'antiquité ou au sommet du symbole du capitalisme triomphant, le marginal n'a pas sa place au sein de la communauté humaine. Au final il est toujours sympathique de revoir ces vieux films emprunts d'une naïveté aujourd'hui disparue, surout quand ils se déroulent pour partie au zoo de Rome.
Époustouflant et merveilleux, un film simple et naïf qui sent bon la nostalgie.
spoiler: Une forte ressemblance avec King Kong mais avec une introduction sf
spoiler: Une forte ressemblance avec King Kong mais avec une introduction sf
Redzing
Le titre de cette série B de SF laisse entendre que l'on va avoir le droit à une épopée de SF sur une planète du système solaire. Que nenni ! C'est en réalité un vaisseau humain venu de Vénus qui s'écrase... en Italie. Une créature vénusienne va alors grandir et semer la destruction chez nos amis transalpins.
On retrouve les défauts récurrents de ce type de productions. Notamment un jeu d'acteur rigide, des répliques bébêtes, et une intrigue peu élaborée. Par exemple, les détails de l'expédition vénusienne, ou cette mystérieuse maladie de l'équipage, ne seront pas plus développés que ça.
Néanmoins, "20 Million Miles to Earth" a pour lui deux atouts. Le premier, évidemment, les effets signés Ray Harryhausen. Le design de la créature est sympathique, et les effets dévoilant ses mouvements le sont tout autant. Dont un dernier acte façon "King Kong" plutôt ludique.
Le second, le cadre italien. C'est totalement gratuit, mais ça permet de voir le monstre roder dans Rome et secouer des monument historiques. Ca change des constructions américaines. Anecdote amusante : ce tournage italien n'est pas un choix commercial ou économique. C'est simplement Ray Harryhausen qui avait insisté car il voulait prendre des vacances sur place !
On retrouve les défauts récurrents de ce type de productions. Notamment un jeu d'acteur rigide, des répliques bébêtes, et une intrigue peu élaborée. Par exemple, les détails de l'expédition vénusienne, ou cette mystérieuse maladie de l'équipage, ne seront pas plus développés que ça.
Néanmoins, "20 Million Miles to Earth" a pour lui deux atouts. Le premier, évidemment, les effets signés Ray Harryhausen. Le design de la créature est sympathique, et les effets dévoilant ses mouvements le sont tout autant. Dont un dernier acte façon "King Kong" plutôt ludique.
Le second, le cadre italien. C'est totalement gratuit, mais ça permet de voir le monstre roder dans Rome et secouer des monument historiques. Ca change des constructions américaines. Anecdote amusante : ce tournage italien n'est pas un choix commercial ou économique. C'est simplement Ray Harryhausen qui avait insisté car il voulait prendre des vacances sur place !
C'est vieux, ça a du charme mais la minceur du scénario et le ridicule de certaines scènes rend "A des millions de kilomètres de la Terre" assez lourd à regarder.
Même si les spectateurs ne retiennent en général que les côtés négatifs de ce genre de film, il y a quand même quelques choses à sauver, et "A des millions de kilomètres de la Terre" ne fait pas exception à la règle. Pourtant les mauvais "atouts" de ce long-métrage sont légions : acteurs peu crédibles et personnages ridicules/stéréotypés (la palme revient sans conteste au gamin tête à claques), dialogues débiles (parfois au dernier degré) et risibles, décors moyens, mise en scène nanardesque, photographie sans génie, script inepte et proche de l'indigence etc. Heureusement que les effets spéciaux sont là pour pallier le reste : s'ils sont aujourd'hui très datés à cause d'une stop motion qui en était à l'époque à ses débuts, cela n'empêche pas Ray Harryhausen de créer un monstre, d'autres animaux convaincants, et de les faire se combattre avec un résultat ma foi plutôt réussi au vu des techniques visuelles des années 1950. Pas brillant du tout mais bon si vous n'avez rien à faire par un dimanche après-midi pluvieux, ce sera toujours une bonne occasion de se marrer cinq minutes...
Nathan Juran n'est pas Ed Wood mais comme lui ne se soucie guère de la crédibilité. Qu'mporte, ce film kitch de série Z se regarde avec plaisir surtout pour la gentille grosse bébète confectionnée avec soin par le génial Ray Harryhausen.
Après le succès des "soucoupes volantes attaques" la Columbia décide de produire un nouveau film de science fiction destructeur, portant sur l'arrivé d'un extraterrestre sur terre. Ray Harryhausen fasciné par la créature de folklore nordique dénommée Ymir y voit l'occasion de mettre en scène ce personnage en faisant de celui ci la menace principale du film. Pourtant le Ymir né pas maléfique dans le film, il ne devient violent que pour ce défendre face à la violence des hommes. Pire encore le Ymir devient faute de l'atmosphère terrestre de plus en plus grand chaque jour atteignant à la fin la taille d'un géant. Pour cette production il fut décidé de délocalisé l'histoire en Italie, Si il en résulte un final spectaculaire a Rome sur le colisée il apparaît vite que les acteurs ne se sont pas déplacé en Italie, et les paysages Italien sonne parfois très Western et les incrustations des acteurs américains en Italie sont trop visible, rajouté a cela que les clichés véhiculé sur les Italiens frôlent plusieurs fois l'insulte et vous obtenez un film qui ne fait pas voyagé son spectateur alors que c'était un des objectifs de la production. Le Ymir est le seul élément réussi du film, on est en empathie avec lui ses expressions sont sidérantes tant elles soulignent la peur qui habite le pauvre humanoïde, son design à la fois reptile et humain contribue aussi à l'empathie que l'on lui accorde. Notons enfin que ce design inspirera une grande partie du bestiaire de Ray Harryhausen. Film préfigurant E.T et dont la trame est proche de King Kong (1933), il aurait pu être une œuvre de référence si les dialogues, les personnages humains et le rythme avait été aussi soigné que les animations de la créature
Une histoire de monstres très comparable à King Kong, avec un monstre de plus en plus démesuré au fur et à mesure du film, et qui finira en ravageur non pas de New York, mais de Rome, avant d’être abattu au sommet du Colisée et non pas de l’Empire State Building. La créature a la même ambivalence que son modèle des années 30 , à la fois terrible et pathétique. Les effets spéciaux du maître du genre Ray Harryhausen sont toujours émerveillants. Le film a malheureusement aussi les défauts de la série B américaine. Les comédiens ont un jeu aussi stéréotypés que leur personnage, l’efficacité militaire américaine est glorifiée d’une manière aussi primaire que naïve.
Hormis le coté tres niais des personnages, ce film est bien construit.
J'ai trouvé que les effets speciaux étaient bien maitrisé et abondants (comprendre par là qu'on voit beaucoup de personnages en pate à modeler).
Le scenario n'en fait pas trop... voir pas assez, on ne peut s'empecher de penser, qu'en son temps les producteurs avaient surtout cherché à en mettre plein la vue aux spectateurs.
J'ai trouvé que les effets speciaux étaient bien maitrisé et abondants (comprendre par là qu'on voit beaucoup de personnages en pate à modeler).
Le scenario n'en fait pas trop... voir pas assez, on ne peut s'empecher de penser, qu'en son temps les producteurs avaient surtout cherché à en mettre plein la vue aux spectateurs.
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