Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Erwan Higuinen
Que le récit aille quelque part ou non importe peu. On sait gré à Manon Briand de nous faire oublier sa destination pour nous installer (...) face à son actrice.
Le Figaro
par Marie-Noëlle Tranchant
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
MCinéma.com
par Guillaume Tion
Jalonné de personnages sympathiquement caricaturaux, emballé dans une réalisation libre et faussement naïve, 2 SECONDES surprend par son inventivité, sans être totalement convaincant. A découvrir.
Ouirock.com
par Cynthia Ramirez
Si le sujet de 2 SECONDES n'emballe pas immédiatement, le film gagne en émotions au fil de la pellicule. En prime, cet accent québécois si particulier et ces expressions qui font sourire, ponctuent le film et contribuent à sa fraîcheur.
Aden
par n. c.
On préférera s'attacher à la singularité rêveuse et presque enfantine de son héroïne, comme on se souviendra de ces belles scènes où le vieil homme et la jeune femme se découvrent une ressemblance presque filiale.
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Le volet psychologique est bien sûr plus convenu, truffé de bons sentiments mais, même là, la singulière présence de Charlotte Laurier (...) atténue la banalité du propos.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Nicolas Schaller
Soit un savoir-faire formel évident, plein de trucs visuels (accélérés, cadrages alambiqués...) et d'ambiances évanescentes, s'agitant au service d'une histoire d'amitié filiale mille fois ressassée.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Magazine
par Michel Rebichon
Voir la critique sur www.studiomag.com
Zurban
par Stéphane Brisset
Malgré des efforts déployés pour la mise en scène et la belle énergie des acteurs (dont une découverte, Dino Tavarone), cette histoire en forme de métaphores croisées et bavardes sur les aléas du coursier et la relativité temporelle ne présente que peu d'intérêt.
Le Figaroscope
Bien fait mais prévisible.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Monde
par Florence Colombani
Portrait psychologique et discours politique (sur l'exploitation des coursiers) restent à l'état d'esquisse. Et, jusqu'au bout, le film se limite à une contemplation extatique de son héroïne, qui pédale à qui mieux mieux en montagne, en pleine ville ou à la campagne, sur fond de musique électronique.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Antoine de Baecque
Tout cela est très folklorique, témoigne d'un amour immodéré du vélo, ou plutôt du "bicycle" comme disent les Montréalais (...) Mais c'est mal fichu, d'une naïveté confondante, d'une laideur à toute épreuve...
TéléCinéObs
par Bernard Achour
Quelques jolies notations sur les occasions manquées tentent bien de faire entendre leur petite musique mais, étouffées par une direction d'acteurs caricaturale et une bonne humeur forcénée, elles s'oublient en "2 secondes" chrono.
Télérama
par Cécile Mury
Hélas, plombée par de naives considérations sur le destin, diluées dans une galerie de portraits "niaiseux", ces Deux secondes finissent par paraître longues.
Cahiers du Cinéma
Que le récit aille quelque part ou non importe peu. On sait gré à Manon Briand de nous faire oublier sa destination pour nous installer (...) face à son actrice.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
MCinéma.com
Jalonné de personnages sympathiquement caricaturaux, emballé dans une réalisation libre et faussement naïve, 2 SECONDES surprend par son inventivité, sans être totalement convaincant. A découvrir.
Ouirock.com
Si le sujet de 2 SECONDES n'emballe pas immédiatement, le film gagne en émotions au fil de la pellicule. En prime, cet accent québécois si particulier et ces expressions qui font sourire, ponctuent le film et contribuent à sa fraîcheur.
Aden
On préférera s'attacher à la singularité rêveuse et presque enfantine de son héroïne, comme on se souviendra de ces belles scènes où le vieil homme et la jeune femme se découvrent une ressemblance presque filiale.
Les Inrockuptibles
Le volet psychologique est bien sûr plus convenu, truffé de bons sentiments mais, même là, la singulière présence de Charlotte Laurier (...) atténue la banalité du propos.
Première
Soit un savoir-faire formel évident, plein de trucs visuels (accélérés, cadrages alambiqués...) et d'ambiances évanescentes, s'agitant au service d'une histoire d'amitié filiale mille fois ressassée.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Zurban
Malgré des efforts déployés pour la mise en scène et la belle énergie des acteurs (dont une découverte, Dino Tavarone), cette histoire en forme de métaphores croisées et bavardes sur les aléas du coursier et la relativité temporelle ne présente que peu d'intérêt.
Le Figaroscope
Bien fait mais prévisible.
Le Monde
Portrait psychologique et discours politique (sur l'exploitation des coursiers) restent à l'état d'esquisse. Et, jusqu'au bout, le film se limite à une contemplation extatique de son héroïne, qui pédale à qui mieux mieux en montagne, en pleine ville ou à la campagne, sur fond de musique électronique.
Libération
Tout cela est très folklorique, témoigne d'un amour immodéré du vélo, ou plutôt du "bicycle" comme disent les Montréalais (...) Mais c'est mal fichu, d'une naïveté confondante, d'une laideur à toute épreuve...
TéléCinéObs
Quelques jolies notations sur les occasions manquées tentent bien de faire entendre leur petite musique mais, étouffées par une direction d'acteurs caricaturale et une bonne humeur forcénée, elles s'oublient en "2 secondes" chrono.
Télérama
Hélas, plombée par de naives considérations sur le destin, diluées dans une galerie de portraits "niaiseux", ces Deux secondes finissent par paraître longues.