World Trade Center est un bon film mais pas un grand Oliver Stone, l'idée de faire un film sur le World Trade Center est une idée fabuleuse, du moins à mon gout, car cette histoire horrible, cette journée en enfer me fascine, c'est quelque chose de tellement dément et incroyable qu'à subit l'Amérique que c'est une histoire inoubliable et fascinante, mais ce film s'attarde sur seulement deux agents de police alors qu'il aurait mieux fallu montrer l'horreur dans son ensemble, moi pour cette histoire j'aimerais un film d'au moins trois bonnes heures pendant lesquelles on suit la police, les pompiers, les journalistes, les politiques, les civils et les gens qui travailler dans les tours, un vrai bon film bien construit avec les différents point de vu, j'adorerais voir ça, alors que là on nous plonge dans le cœur de simplement deux hommes, on voit leur famille aussi mais comment s'attarder juste sur eux ? Plus de 2 000 personnes y sont restés, alors c'est difficile d’attendrir avec seulement deux d'entres elles, après c'est sur ces deux agents ont eu une chance inimaginable, de la force et du courage pour ne pas lâcher et fermer les yeux, c'est pour cela que je trouve ce film bon, car il est tout de même intéressant et bien fait, Stone propose une bonne réalisation ainsi qu'une bonne mise en scène même si ce n'est pas non plus la folie, le gros point négatif à mon sens c'est de ne pas voir les avions se planter dans les tours, ok on connait les images, on les a vues mille fois mais c'est tout de même le moment le plus choquant et le plus dingue, comment passer à coté de ces images quand on traite de ce sujet, peut être un choix scénaristique ou une question de budget mais c'est dommage d'avoir zappé ça.
Après question casting on retrouve l'excellent Nicolas Cage, le génial Michael Peña ou encore mon adoré Michael Shannon, autrement dit nous disposons d'un très bon casting.
Voilà voilà, je pense avoir fait le tour, un bon film mais pas inoubliable malheureusement, j’espère un jour voir un film sur ce sujet aussi parfait que je me l'imagine.