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Hollywood-Biographer
202 abonnés
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1,0
Publiée le 30 août 2009
Voici une comédie moyennement drôle avec Owen WILSON en acteur principal. Ce dernier se montre plutôt lourd selon les situations... En somme, il s'agit d'un film pop-corn.
un film qui passe "crème", no prise de tête, j'aime la philosophie de Dupree, Owen Wilson toujours si attendrissant, et ses cheveux ah bravo! faut rien qu'il change!
C'est quand même quelque part un exploit de se planter avec un sujet en or et quatre vedettes hollywoodiennes. En fait rien ne fonctionne, le thème de l'incruste qui offre pourtant une myriade de situations potentiellement comiques est utilisé de façon stupide, outrancière et sans humour, certaines scènes sont incompréhensibles (le discours à l'école) Tout cela n'est pas très intéressant et même parfois carrément ennuyeux. Quant à la fin, non merci ! Owen Wilson est constamment dans le surjeu, Kate Hudson est transparente, Mat Dillon et Michael Douglas encore plus.
Dans la famille « déjà vu », je demande Toi, Moi et Dupree. Une énième comédie lourde et potache qui raconte comment un de leurs meilleurs amis va se transformer en squatter et va mettre la pagaille dans la vie du jeune couple. Dans le rôle du semeur de trouble, Owen Wilson, toujours coltiné aux même rôles, celui du comique de service, quant au couple, il sagit de Kate Hudson & Matt Dillon, qui lui, travail pour son beau-père dans une grande entreprise. Cest dailleurs Michael Douglas qui endosse le rôle du beau-père tyrannique. Cela vous rappel quelque chose ? Cest normal, on a déjà vu cela dans En bonne compagnie (2005), avec notamment Dennis Quaid & Scarlett Johansson, ainsi que dans Black/White (2005), avec Bernie Mac & Ashton Kutcher. Mise à part, un Matt Dillon à peu près potable, Kate Hudson, quant à elle, paraît presque invisible face aux frasques du lourdaud Owen Wilson. Sans compter les clichés qui, comme dhabitude, accompagnent les comédies U.S. Finalement, quitte à vouloir regarder une comédie de ce type, autant se rabattre sur Viens chez moi, j'habite chez une copine (1981), avec Michel Blanc, là au moins, on est sur de rire et de passer un agréable moment !
C'est : 'Viens chez moi j'habite chez une copine" version à l'américaine !!! On n'y croit pas une seule seconde ; l'humour est lourd , les gags tirés par les cheveux ... j'ai été très déçu car j'aime beaucoup Matt DILLON . Vraiment dommage
un film plaisant ! C'est, certe, loin d'être un chef d'ouevre, ce n'est pas la comédie de l'année ni une satyre qui vous fera réfléchir, mais il vous fera rire ! Ce buddy movie se rapproche de Old School car il préfère les jeunes trentenaires aux adolescents. Owen Wilson reste dans son rôle d'illuminé sympathique et ca lui réussi bien, l'histoire tourne autour de lui et de ses déboires sentimentaux, professionnels et sportifs. Le pauvre couple composé de Matt Dillon (qu'on ne voit pas assez) et de Kate Huson est réaliste, ils traversent les tracas de la vie plus ou moins bien, recherchant à la fois la dépendance et l'indépendance envers l'autre. Bref, j'ai passé un bon moment avec Ces trois grands enfants. On notera aussi une petite apparition de Lance Armstrong, qui fait son petit père la morale avec son couplet "j'ai eu un passage difficile mais avec de la volonté tout est réalisable"
Les français sont des boulets. Une histoire vraie ! Non, mais le film est sympathique. Les situations sont cocasses. Et moi aussi jai décidé, je vais devenir millionnaire et dopé.
Bien avant les Captain America et consorts, les frères Russo œuvraient dans la comédie. Assez drôle, je dois le reconnaître avec Owen Wilson et son look d'éternel adolescent un peu attardé qui se tape l'incruste chez son meilleur pote qui vient tout juste de se marier. Alors que dire ? Que Michael Douglas a la classe. Mais c'est un euphémisme. J'adore ces histoires de copain squatteur mettant encore plus en évidence le décalage entre une certaine insouciance due à la jeunesse et la brutale entrée dans la vie de couple. Et encore sans l'arrivée du bébé. D'un côté, on a donc un gars vivant au jour le jour sans se préoccuper de l'avenir. Se marier, cotiser pour sa retraite, avoir des enfants, la voie classique en somme, l'importe peu. Tout ce qui compte, c'est prendre du plaisir immédiatement avec les gosses du quartier. Et prêcher dans les écoles ce mode de vie séduisant sur le papier et au cinéma contrairement à la vie réelle où ses contraintes vous rattrapent généralement assez vite. C'est ça qui fait rêver dans le cinéma. Et celui qui travaille est enfermé dans son quotidien répétitif, les affres de son couple, les corvées quotidiennes. C'est parfois grossièrement taillé. A croire qu'être marié signifie automatiquement être soumis à sa femme. Alors qu'on peut avoir gardé ses amis d'enfance et préserver son couple. L'un n'empêche pas l'autre. Même si c'est par moment exagéré, le message du film m'a plu et parlera à ceux qui se sentent écrasés par la pression du temps qui passe alors qu'ils n'arrivent pas à trouver leur place dans la société. Et pour ça, pas besoin d'effets spéciaux, de super-héros avec de grosses armures, de deux-cents millions de budget. Une maison, enfin ce qu'il va en rester, un parasite, des vannes et ça fait mouche.