Derniers Avis : Apocalypto - Page 12

Excellent film, dont la thématique est originale. Malheureusement ce thriller de Mel Gibson n'a pas été reconnu à sa juste valeur par pas mal de critiques...
Et pourtant quel plaisir de suivre les péripéties de Patte de jaguar à travers la forêt d'Amazonie.
Patte de Jaguar est victime d'une rafle avec les membres de sa tribu pour servir de sacrifice aux divinités des Mayas... et pourtant la chance et surtout sa détermination à retrouver sa femme et son fils spoiler: (qui ont échappés à la razzia)
vont le pousser à braver moults dangers et surtout à se venger de la terrible bande de chasseur d'hommes menée par Raoul Trujillo à l'origine du malheur de la tribu.
Un thriller pré-colombien violent et sauvage (rafle, sacrifices, chasse à l'homme....) original et efficace, à ne pas manquer.

Sans exagérer c'est le meilleur film qui n'a jamais été fait.
Comment peut on nier l'indéniable talent de réalisateur de Mel Gibson
CHEF D'OEUVRE ABSOLU

Très bon film sur la fin de l'époque maya. Je tiens à féliciter le réalisateur pour son film qui est la seul fiction sur les maya que je connais. Le film est serte violent mais jamais gratuitement toujours pour illustrer la violence de cette époque sans rien cacher au spectateur. Les costumes, les décors et le maquillage son magnifique. Le rythme du film est très bon avec au début la découverte du village indien dans la forêt, ensuite la découverte du monde maya et enfin la course poursuite dans la forêt. On est avec patte de jaguar tout le long du film et on espère qu'il réussira à retourner chez lui pour retrouver ça femme et ces enfants. Je n'ai qu'une seul critique c'est le jaguar animatronique qui fait vraiment cheap !

Absolument rien ne m'a convaincu dans ce film. Autant je considère "Braveheart" du même réalisateur comme un chef d'œuvre, autant là, je suis resté terriblement dubitatif. C'est excessivement violent, sanglant pour atteindre des limites vraiment dérangeantes de sauvagerie. Je doute aussi vraiment que les Incas utilisaient un tel langage aussi châtié et je n'ai pas pu m'empêcher de trouver la traduction vraiment approximative hormis le fait que c'était une franche bonne idée d'utiliser un dialecte de l'époque. Et que dire de la scène de l'éclipse et celle, finale, de l'arrivée des conquistadors, qui sont vraiment d'une facilité exécrable. Du foutage de gueule que ce film, au même titre que "La passion du Christ".

il y a avatar, prometheus.... mais pour ceux qui sont connectes.... ce film est juste, j ai pas de mots...mel gibson est chretien, je ne le suis pas, mais je peux pas nier que ce mec a qqchose, apocalypto est comme stonehendge... les eglises ne me touchent pas...

De très beau paysage, une réalisation grandiose le tout porté par des acteurs peu connu mais formidable à l'écran. Ça faisait longtemps que l'on avait plus vu cela.
Merci à M.G pour ce film qui restera un classique pour une époque peu représentée au cinéma.

Waou quelle claque ! Superbe film même si il est un peu sanglant mais ça fait partie du propos.
On passe un bon moment de cinéma pour peu qu'on sache s’épargner toutes polémique ;
Est ce que qu'on peut s'appeler Mel Gibson et faire un vrai film ?
Est ce que les Maya étaient des sauvages ?
Est ce que chaque incohérence du film discrédite totalement sa qualité et son propos ?
Ou est qu'il faut absolument chercher ces incohérences pour restaurer l’honneur Mayas et prouver que Mel Gibson et un abruti ?).
Moi je note le film.

Erreurs historiques toute les quatres minutes, jet de ketchup toutes les 30 secondes, un homme transpercé d'une flèche qui cours plus vite qu'un guépard alors qu'il ne s'appelle même pas Bruce Willis: en gros un mauvais film américain!

Je dois le dire, j'ai tout de suite était attirée par l'affiche du film que je trouve sublime. Elle annonçait un film sombre mais fort. Mais j'ai été déçue surtout pas la présence d'une violence que j'ai trouvé inutile.
le civilisation maya était une civilisation violente par ses rituels tout le monde le sait. on connait tous l'incompréhension des occidentaux quand ils ont découvert la réalité des sacrifices humains. ce qui me gène dans ce film c'est que l'on n'apprend rien de plus, c'est bien une vision occidentale de la violence qui est posée sur cette civilisation. parce qu'elle est montrée comme une boucherie où le sang coule à flot et les corps se déchirent. j'aurai aimé un film différent, qui porterait un autre regard sur la violence, qui montrerait les mayas non pas comme des sauvages mais des hommes avec une autre culture et façon de penser. Dans la scène su sacrifice humain les hommes sont terrifiés à l'idée de mourir, pourtant les sacrifiés étaient la plupart du temps consentants. c'était un honneur pour eux d'offrir leur vie aux dieux. La mort n'a jamais été une fin pour les maya, c'était seulement un passage, dans un cycle.
Enfin le film manque cruellement de réalisme par endroit spoiler: avec un homme qui continue de courir et de distancer ses ennemis après s'être pris une lance dans le dos, et une femme qui accouche alors qu'elle est sur le point de se noyer et parvient à sauver sa propre vie, celle du nourrisson et d'un autre enfant.

J'ai apprécié que le film soit uniquement en langue maya mais j'aurai aimé que le réalisateur aille plus loin dans sa tolérance en essayant de comprendre ce peuple plutôt que de faire de ce jeune indien un héros de blockbuster.

Que dire de ce film à part qu'il ma "scotché" du début à la fin!!! On est happé par ce film, on ne voit pas le temps passé sans s'ennuyer une seule seconde!!! Bref tout ce que j'attends d'un film! Un régal !

Mel Mel Mel ....

Quelle oeuvre !!!!
Mel Gibson est un réalisateur dont les modèles suprême seraient John Boorman ,Stanley Kubrick , il crée des formes cinématographiques mais tout en offrant un spectacle grandiose à chaque image.. La violence n’y est jamais inventée mais toujours exhibée dans un découpage où le montage suit les regards, où les gros plans suivent les plans d’ensembles, où les contre-champs suivent les champs. Dans un cas comme dans l’autre, elle doit continuer à divertir le spectateur.
Bref, la violence dans le cinéma de Mel Gibson n’influe pas sur la forme,elle est exposée impassiblement telle quelle. Nous pensons très vite lors de certains plans aux camps de concentrations (lors des corps empilés par exemple que traverse" Patte de jaguar" ) Apocalypto n’est donc pas à proprement parler un film violent malgré l’extrême brutalité de certaines scènes...absolument pas ....
Gibson réalise un film d’une puissance incroyable, une œuvre instantanément culte tant elle a d’impact sur le spectateur et finalement sur la société actuelle et ses dirigeants (les manipulations sont déjà montrées du doigt par le cinéaste ) Nous sommes irrésistiblement pris par le film, et l’impression en sortant du visionnage d’avoir retenu sa respiration tout du long tant il est intense et présent .
Les acteurs, tous plus inconnus les uns que les autres ont un jeu absolument bluffant, et la reconstitution à laquelle Mel Gibson s’est scrupuleusement attaché(il faut dire que le Monsieur est un habitué de la minutie ) font que le film est d’une vérité criante. On est réellement immergé dans l’unité de temps et de lieu, tout sonne parfaitement juste, bref, Gibson a plus que gagné son pari d’authenticité. Pour le jeune acteur Rudy Youngblood il s’agit d’une première apparition à l’écran, et pour une première on peut dire que il est simplement admirable. Opposés à lui, Raoul Trujillo dans le rôle de"Zéro Loup" est également impeccable, tout en force et en brutalité. Apocalypto est une réussite, un merveilleux voyage dans le temps selon les critères exposés ci-dessus ou l'homme qu'il soit dominant ou dominé n'est qu'une bête parachutée dans un monde dément, ne rêvant que de s'endormir afin de calmer sa douleur .En plus de parvenir à introniser une histoire d 'amour dans le récit ,le Cinéaste se permet lors du final de nous offrir une des plus belle scène de cinéma jamais vu ainsi . spoiler: :L'arrivée de Christophe Colomb sur ses caravelles

L’année 2007 avait commencée avec une grande claque signée Mel Gibson .

Je n'ai pas bien saisi le message, si tant est qu'il y en ait un, que Monsieur Gibson a voulu faire passer avec ce film. Pas compris si ce n'est que peut-être la civilisation Maya aurait éventuellement été une civilisation décadente, primitive, sauvage, sadique et barbare et qu'en gros, je caricature mais on en est pas loin, les Conquistadors portugais (mes ancêtres au demeurant) et espagnols, aidés du sabre et du goupillon, ont fort bien fait de leur évangéliser la gueule parce que là, franchement, c'était plus possible. Car il est indéniable, Monsieur Gibson, ô vous qui détenez tant de vérités, qu'une civilisation qui, guidée par ses croyances, s'adonne aux sacrifices humains et à l'oppression des peuplades avoisinantes (ce qui est tout à fait affreux aussi) est bien plus barbare et déviante qu'une civilisation qui, guidée par ses croyances, a offert à l'Histoire de l'Humanité des magnificences comme les Croisades, la "Sainte" Inquisition, la Saint Barthélémy, le cautionnement de l'Esclavage, le massacre des Natifs Américains et les conversions forcées (entre autres). Prenez donc un peu de recul et sachez, que chaque civilisation a ses vices et ses vertus. Dans "Apocalypto", je n'ai malheureusement vu que le côté (très) obscur et dégueulasse (comme certaines scènes) de la civilisation Maya. Aucun intérêt.

Mel Gibson démontre une fois encore son attachement à la linguistique, en nous livrant un film tourné dans la langue maya, quel challenge! Même le spectateur avare d'efforts oculaires oublie bien vite qu'il doit lire les sous-titrages, tant l'intrigue est prenante et les acteurs pénétrants. Le spectateur s'identifie aux membres de la tribu de la forêt dès les premières minutes du film; l'habile dialoguiste nous laisse à penser que ni l'amour ni l'humour n'étaient différents des nôtres, à cette époque qui est pourtant si lointaine. Cette fraîcheur contraste avec les malheurs qui se succèdent au sein de la tribu dès l'apparition dans le film des Mayas, qui y sont stigmatisés pour leur cruauté barbare. Dès lors, le sang coule, la souffrance envahit l'écran et l'on suit avec épouvante la tragique épopée d'un homme qui se bat pour sa liberté à l'aube de la chute de la civilisation maya. De son début à sa fin, ce film est une palpitante aventure, merveilleusement menée, à ne rater sous aucun prétexte. A mon sens, même si le point de vue idéologique cher au réalisateur transpire audacieusement, chose que certains lui reprocheront, il s'agit d'une oeuvre majeure du cinéma contemporain. Magnifique, transcendante.

Grandiose, intense, viscéral, les adjectifs ne manquent pas en voyant APOCALYPTO. Mel Gibson signe une grande histoire au sein de l'Histoire, spectaculaire et engagée, qui ne laisse définitivement pas indifférent. C'est à ça que l'on reconnaît les grands films.

Vilipendé par une partie de la presse FR qui ne sait pas trop faire abstraction de la personnalité de l'auteur pour juger une oeuvre, ce film est pourtant un film d'aventures pur et dur, à la mise en scène viscérale, porté par des acteurs au charisme incroyable et qui se veut le témoin d'une époque disparue tout en relatant le destin christique de son héros (la thématique majeure de la filmo de M. Gibson réalisateur) ainsi qu'en peignant de manière métaphorique notre propre société par le prisme d'une grande civilisation disparue (la citation du début étant suffisamment explicite). Bref, tout ce que le Hollywood actuel est incapable d'offrir. Le début est sympathique, la suite vire au carnage total avant la découverte de la grande cité puis la scène du sacrifice avant d'enchaîner avec une dernière heure d'une énergie folle qui enchaîne plans iconiques, scènes puissantes, explosion d'émotions et passages violents magnifiés par une caméra d'une mobilité incroyable dans des décors à couper le souffle. C'est simple, on est scotchés du début à la fin devant ce film unique qu'on est pas prêt de revoir. Alors oui c'est parfois un peu grossier mais bon sang quel pied, quelle leçon de cinéma qui démontre tout le savoir-faire d'un réal aux envies bien particulières et aux convictions fortes. Avec un J. Horner en forme à la baguette qui plus est. Retrouvez ma chronique de la BO sur