AlloCiné
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Votre avis sur L'honneur du dragon ?
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Après le succès planétaire d'Ong-Bak, la nouvelle star asiatique Tony Jaa retrouve son réalisateur fétiche pour une nouvelle aventure inédite. Comme son prédécesseur, le long-métrage se base sur une mini-histoire en somme tout à fait classique (l'éléphant d'un as des arts martiaux est enlevé, ce dernier va envoyer des coups de savate pour le retrouver) afin d'exploiter au maximum des scènes d'action totalement surréalistes. Repoussant une nouvelle fois les limites en matière de combats extrêmes et de cascades périlleuses, Tony Jaa et son équipe d'acrobates suicidaires nous en mettent plein la vue à grands coups de castagnes virulentes (où chaque coup est réellement porté) et de cascades dantesques non-câblées à faire pâlir Jet Li et ses comparses. Nous retiendrons donc aisément une course-poursuite haletante en plein Sydney, un combat hallucinant tourné en plan-séquence d'une durée de quatre minutes (!) et bien sûr ces affrontements progressifs à la manière du Jeu de la mort où notre héros va dérouiller tour à tour un as de la capoeira, un expert en sabre chinois et un géant tout de muscles fait. Véritable jeu vidéo-live bourré d'action, de sueurs et de dialogues peu recherchés, L'honneur du dragon aurait d'ailleurs pu être meilleur sans les coupes de notre Luc Besson national... En effet, le producteur-distributeur français a supprimé pas mal de scènes, de personnages et de dialogues et s'est même octroyé le droit de remplacer une scène de flashback épique en costumes d'époque par une horrible séquence en images de synthèse visiblement bâclée et par conséquent hideuse. Ajoutez-y une musique hip-hop à nouveau inappropriée et vous obtenez un joli gâchis. Reste de ce pur produit asiatique un film d'action époustouflant mettant une fois de plus au poteau les longs-métrages similaires qui ne possèdent, eux, aucun combat de cette envergure. Amoureux des films bourrins sans user de sa matière grise, vous allez être comblés.
Un film "de mec" au scénario assez approximatif et surtout au montage abominable, il n'y a aucun enchaînement entre les scènes, on dirait plutôt une succession de clips.
Tous les clichés sont ausi présents, notamment dans les personnages des "méchants", mais bon, on est pas là pour les Césars !
MAIS PAR CONTRE, les combats sont absoluement magnifiques, des chorégraphies incroyables, à la fois spectaculaires et réalistes.
Je ne sais pas de quel art martial il s'agit, car il mèle les coups (à l'image de ceux du kung-fu) à de multiples prises de torsion et de fractures de membres (d'ailleurs on souffrent avec les victimes !)
L'acteur principale est une véritable boule d'énergie, qu'il m'a d'ailleurs transmise : j'avais envie de frapper partout en sortant de la salle !
Un film pour ceux qui aiment la baston. Uniquement ..
Tous les clichés sont ausi présents, notamment dans les personnages des "méchants", mais bon, on est pas là pour les Césars !
MAIS PAR CONTRE, les combats sont absoluement magnifiques, des chorégraphies incroyables, à la fois spectaculaires et réalistes.
Je ne sais pas de quel art martial il s'agit, car il mèle les coups (à l'image de ceux du kung-fu) à de multiples prises de torsion et de fractures de membres (d'ailleurs on souffrent avec les victimes !)
L'acteur principale est une véritable boule d'énergie, qu'il m'a d'ailleurs transmise : j'avais envie de frapper partout en sortant de la salle !
Un film pour ceux qui aiment la baston. Uniquement ..
D'accord les paysages dans ce film sont beaux et exotiques, d'accord les scènes de combat sont super bien filmées et corégraphiées, mais alors le scénario est complètement bâclé, médiocre. Le film laisse péniblement un goût inachevé, il a une certaine tendance à mâcher beaucoup de scènes, ce qui rend des circontances inexplicables et nous rend donc dubitatifs. On a l'impression que le réalisateur a voulu essentiellement se baser sur les combats en oubliant le reste, peut être avait-il mieux à faire? Mais si c'est pour faire un long métrage comme ça, autant ne rien faire. Aussi, le film, un peu naïf à certains moments, se veut drôle mais il ne l'est pas du tout. C'est bien dommage parce qu'avec un film de ce genre, il y avait de quoi développer beaucoup plus le scénario.
N'ayez honte de classer Honneur du dragon dans votre dvdthéque.En effet,il fera partie de vos plaisirs coupables que la majorité de vos amis vous moquera de vous.Mais hélas,ils rateront un bien bon spectacle offert par le talentueux Tony Jaa.Entre Bruce lee et Van Damme,le thailandais offre un kung fu violent magnifiquement chorégraphié.Le réalisateur ose de bons ralentis mais surtout le clou du spectacle:un impressionant plan séquences d'au moins 5 minutes ou Tony Jaa castagne dans des escaliers.Des superbes cascades qui auraient pu étre plus appréciable avec un vrai scénario.
Super, ce deuxième de tony jaa est tout aussi bon que le premier. Il dépasse encore plus ses exploits physique que dans le précédent. Un trés bon film d'action avec un histoire prétexte a ce genre, pas assez profonde mais assez pour ne pas paraitre niaise au point que seul l'action est bon , non ce film est super bon.
Ong-Bak; le retour!
Après avoir finalement récupérée la tête de sa poupée préférée, le jeune Tony va devoir repartir en vadrouille à la recherche de son ami Dumbo et de sa maman enlevés par des méchants asiat mangeurs d'elephants. Pour cela, il affrontera une ribambelle de bridés, quelques ninjas en roller, un infâme guerrier-cuistot, un clône d'Eddy tout droit sortit de Tekken et un Blond-Skin tout bodybuildé.
Pour cela, notre gentil péquenot use de ses superbes talents de combattants dont seul un petit village d'agriculteurs a le secret (c'est qu'on en apprend des choses en faisant pousser le riz!).
Après avoir hurlé plusieurs fois la même phrase, Tony réussit à faire comprendre au spectateur la problématique soulevée par le film: Où est Dumbo?!
Il parviendra également à suggérer l'idée véhiculatoire de ce long-métrage: Il VEUT ses elephants!
A noter la splendide scène forte en émotions qui retrace l'amour inavoué du petit indien pour son Dumbo favoris.
Un chef-d'oeuvre du cinéma asiatique qui dénote toute la force qu'un homme peut avoir dans ses genoux. A regarder par extraits juste avant un match de catch. Et dire qu'on critiquait Chuck Norris... Ce bon Chucky passerait presque pour un acteur intimiste, maintenant!
Après avoir finalement récupérée la tête de sa poupée préférée, le jeune Tony va devoir repartir en vadrouille à la recherche de son ami Dumbo et de sa maman enlevés par des méchants asiat mangeurs d'elephants. Pour cela, il affrontera une ribambelle de bridés, quelques ninjas en roller, un infâme guerrier-cuistot, un clône d'Eddy tout droit sortit de Tekken et un Blond-Skin tout bodybuildé.
Pour cela, notre gentil péquenot use de ses superbes talents de combattants dont seul un petit village d'agriculteurs a le secret (c'est qu'on en apprend des choses en faisant pousser le riz!).
Après avoir hurlé plusieurs fois la même phrase, Tony réussit à faire comprendre au spectateur la problématique soulevée par le film: Où est Dumbo?!
Il parviendra également à suggérer l'idée véhiculatoire de ce long-métrage: Il VEUT ses elephants!
A noter la splendide scène forte en émotions qui retrace l'amour inavoué du petit indien pour son Dumbo favoris.
Un chef-d'oeuvre du cinéma asiatique qui dénote toute la force qu'un homme peut avoir dans ses genoux. A regarder par extraits juste avant un match de catch. Et dire qu'on critiquait Chuck Norris... Ce bon Chucky passerait presque pour un acteur intimiste, maintenant!
Abarai
Tony Jaa est de retour pour de nouvelles scènes d'action incroyables (l'effet de surprise en mois). Scénario toujours inexistant, mais combats toujours impressionnants, dont en retiendra le long plan-séquence dans le restaurant, non sans rappeler Tekken.
qu'on se le dise tout de suite les scenario est certes inexistant et décousu, mais les combats sont tellement soutenu et bien chorégraphié, qu'on ne peut que dire bravo a voir !!!!!!!!
C'est vrai que lorsque que l'on décide de voir ce genre de film,on ne s'attend pas à un scenario de folie.Mais je ne comprend pas pourquoi un bon scenario serait incompatible avec un film d'art martiaux...Pour preuve Danny the dog avec Jet Lie.Enfin passons.En résumé j'ai raffoler des scenes de combats,c'est original et spectaculaire.Rien à dire.Mais à part ça...c'est comme meme bien chia.. par moments.La premiere demi-heure est à ce tirer une balle(j'ai faillis arreter la visionnage).L'entre deux scenes de combat est tres fade et sans aucun interet.Donc voilà.Sentiment plus que mitigé.11/20.
Ti Nou
Devant ce genre de film d'action on se moque bien de la niaiserie du scénario et on se laisse divertir par l'action, malheureusement, elle est ici plus impressionnante par sa violence que par son spectaculaire.
Cette note pour l'acteur! C'est le meilleur acteur, c sûr! Il donne au film tout son goût. A voir et à revoir...
Bon film d'action aux combats spéctaculaires mais à un scénarion un peu limité.Les acteurs sont crédibles,surtout l'acteur principal qui nous étonne.
Bien...
Un petit film d'action sympathoche, bien mené, avec un scénario assez balisé, le minimum syndical d'humour (surtout avec le flic ^^), une interprétation moyenne...
Quelques ellipses temporelles trop vite traitées à mon goût...Au final, un bon petit film pop corn à mater un dimanche soir quand y a rien d'autre ^^
Un petit film d'action sympathoche, bien mené, avec un scénario assez balisé, le minimum syndical d'humour (surtout avec le flic ^^), une interprétation moyenne...
Quelques ellipses temporelles trop vite traitées à mon goût...Au final, un bon petit film pop corn à mater un dimanche soir quand y a rien d'autre ^^
2ème chef-d'oeuvre du "muay-thai movie" qui rendit Tony Jaa célèbre dans le monde entier, après Ong Bak. Un film parfaitement maîtrisé à la philosophie très saine, qui ravit à chaque vision.
Ecrire ma critique (50 caractères minimum)Deux films thaï, deux déceptions. L'horaire correspondant à mes activités, je suis allé au dernier en date sans grands espoirs pour subir une intoxication finale.
Grosse surprise !
Les premières images montrent que les asiatiques apprennent vite, très vite. La démesure romantique du prélude est tellement bien vue et assez bien filmée que l'on sait que le film ne sera pas raté, même en version française.
Ensuite, tout recommence avec le rythme et la violence exacerbée sans recul propre aux productions Thaï (sans l'humour ou le deuxième degré de Hong Kong ni le sadisme japonais). Sauf que ça ne dure pas longtemps.
Avec un découpage qui élimine toutes scènes psychologiques ou script inutile, jusqu'à l'ellipse style vidéo clip.
Puis ça se calme. La partie filmée à Sydney est beaucoup plus "classique". Mais on est scotché par le plan séquence du restaurant, même si les retouches numériques sont là pour cacher la misère technique, elles apportent un genre et une homogénéité qui manque dans les films avec peu de moyens.
La violence ou l'humour mais en général la longueur des scènes de "baston" est hallucinante, et on entend des ouf dans la salle tellement la tension est sensible.
C'est assez original, car contrairement à Chan qui met beaucoup d'humour pour faire passer son personnage de grand tendre, le prodige Thaï reste très nature, totalement hermétique à cette société moderne qui ne l'amuse même pas, c'est son éléphant qu'il veut, symbole d'une quiétude dans son mode de vie qui n'a rien à
envier aux grosses tentations du monde occidental.
Bref, c'est de la baston non stop, un scénario totalement rempli de poncifs, mais avec un peu d'originalité sinon d'exotisme réel, et une échappée vers un cinéma en devenir, mélangeant le jeu vidéo (les plans séquences des tramways et de l'escalier) avec le clip vidéo (les ambiances floues ou colorées) pour le meilleur.
Attention, ce n'est pas du tout parfait, mais les scènes de la fin et l'ambiance générale sont vraiment sympathiques et travaillées. Chose que je n'aurais jamais imaginé d'un film d'arts martiaux.
Pour les amateurs du genre, la scène avec le colosse est tout simplement indispensable.
Dommage que la musique ne soit pas à la hauteur, surtout le Rapp foireux et hors propos du générique de fin.
Pas de scènes "Making of", preuve que l'humour à la Chan n'est pas le sujet de ce film ultra violent, tout autant que preuve de l'éloignement de la série B.
Grosse surprise !
Les premières images montrent que les asiatiques apprennent vite, très vite. La démesure romantique du prélude est tellement bien vue et assez bien filmée que l'on sait que le film ne sera pas raté, même en version française.
Ensuite, tout recommence avec le rythme et la violence exacerbée sans recul propre aux productions Thaï (sans l'humour ou le deuxième degré de Hong Kong ni le sadisme japonais). Sauf que ça ne dure pas longtemps.
Avec un découpage qui élimine toutes scènes psychologiques ou script inutile, jusqu'à l'ellipse style vidéo clip.
Puis ça se calme. La partie filmée à Sydney est beaucoup plus "classique". Mais on est scotché par le plan séquence du restaurant, même si les retouches numériques sont là pour cacher la misère technique, elles apportent un genre et une homogénéité qui manque dans les films avec peu de moyens.
La violence ou l'humour mais en général la longueur des scènes de "baston" est hallucinante, et on entend des ouf dans la salle tellement la tension est sensible.
C'est assez original, car contrairement à Chan qui met beaucoup d'humour pour faire passer son personnage de grand tendre, le prodige Thaï reste très nature, totalement hermétique à cette société moderne qui ne l'amuse même pas, c'est son éléphant qu'il veut, symbole d'une quiétude dans son mode de vie qui n'a rien à
envier aux grosses tentations du monde occidental.
Bref, c'est de la baston non stop, un scénario totalement rempli de poncifs, mais avec un peu d'originalité sinon d'exotisme réel, et une échappée vers un cinéma en devenir, mélangeant le jeu vidéo (les plans séquences des tramways et de l'escalier) avec le clip vidéo (les ambiances floues ou colorées) pour le meilleur.
Attention, ce n'est pas du tout parfait, mais les scènes de la fin et l'ambiance générale sont vraiment sympathiques et travaillées. Chose que je n'aurais jamais imaginé d'un film d'arts martiaux.
Pour les amateurs du genre, la scène avec le colosse est tout simplement indispensable.
Dommage que la musique ne soit pas à la hauteur, surtout le Rapp foireux et hors propos du générique de fin.
Pas de scènes "Making of", preuve que l'humour à la Chan n'est pas le sujet de ce film ultra violent, tout autant que preuve de l'éloignement de la série B.
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