Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
Un visiteur
1,0
Publiée le 3 janvier 2007
Comme documentaire sur un morceau de la Mongolie, cest très bien et les paysages sont superbes. Mais y a-t-il une histoire dans ce reportage ? La seule chose appréciable, cest quil ne dure quune heure trente. Mais pour raconter une tranche de vie dune famille mongole habitant une yourte, cest long. Alors on pourra apprécier la fabrication du fromage mongol, le démontage dune tente de nomades et la prestation des membres de la famille devant la caméra. Mais on doit pouvoir avoir des reportages sur la Mongolie permettant de découvrir dautres facettes de ce grand pays.
Je l'ai vu avec mon fils de 11 ans en VO . Cela ne nous a pas géné une seconde tant le sujet touche à l'universel c'est bien là le miracle car c'est un film sans moyens matériels" classiques"; conçu et porté par l'amour du Cinéma avec un grand C... qui fait sienne la phrase de Ford (John) "Le cinéma, en premier une histoire en deuxième une histoire en troisième une histoire"...l'histoire -donc- est là et elle fonctionne parfaitement bien...Comme dirait mon fils à la fin du film "Quand font-ils la suite???"
Le Chien jaune de Mongolie est un merveilleux récit, rempli d'humanité et de tendresse, aussi récit si ce n'est plus que la précédente réalisation de Byambasuren Davaa, L'Histoire du chameau qui pleure. Cette fois, la réalisatrice nous raconte l'affection d'une petite fille nomade pour un chien errant, dans les immenses steppes de Mongolie. La jeune réalisatrice, originaire de Mongolie, s'inspire d'un conte traditionnel où elle observe la relation qui se noue avec la petite Nansa et le chien qu'elle a recueilli, contre l'avis de ses parents. Nansa, âgée d'environ six ans, est l'aînée de trois enfants d'une vraie petite famille de nomades. Elle est scolarisée à la ville, mais passe ses vacances à aider sa mère dans ses tâches quotidiennes comme ramasser les bouses, utile combustible pour chauffer la nourriture. Comme Le Chameau qui pleure, Davaa démontre un équilibre fragile entre modernité et le mode de vie traditionnel. La société nomade est ainsi en pleine mutation bien que l'on voit l'importance toujours vitale des croyances comme la réincarnation. La mise en scène est délicate, sensible, captant des tranches de vie de cette véritable famille d'acteurs non professionnels, est une succession d'images magnifiques, tournées dans les plaines et les montagnes du Nord de la Mongolie. Un bel hommage à une civilisation ancestrale peu à peu menacée. Captivant, non par l'histoire somme toute banale, mais par les rites, la vie qui se déroule sous nos yeux. Un bijou.
Paysages mongoles où la nature est encore préservé. Le message fort d'amour de la vie véhiculé par ce film est des plus sain pour les enfants et les adultes qui en ont bien besoin.
"Le chien jaune de mongolie" est une oeuvre cinématographique qui ne ressemble a aucune autre. Ce film est simple, pas de lutte complexe entre deux forces mais celle de cette petite fille et de ce chien. Et surtout ce désir que chacun avons eue de recueillir un chien errant. Dans le film pas de confrontation violente, pas de dispute et dans cette sérénité de la mongolie si appaisante tous est paisible.En plus ce film est une découverte des conditions de vie de ces agriculteurs des steppes. Bref un film magique où les acteurs sont plein d'humanité et leur parole si poétique, un délice pour petit et grand qui nous sort des confrontation toujours si "musclé" des films habituels.Bravo a la réalisatrice.
Un joli film poétique et original... enfin un film intéressant où il faut emmener les enfants, très réceptifs à ce type d'histoire... Les couleurs et les payasages sont magnifiques...
L'histoire du Chien jaune de Mongolie (qui n'est pas jaune d'ailleurs) est douce et pleine de charme. La photographie est très simple, naturelle, belle. On voyage à la fois en Mongolie et dans la civilisation nomade ancestrale qui s'éteint. Les quelques réflexions sur la réincarnation touchent coeur et âme. La chaleur de la vie familiale est superbement filmée, et l'interprétation par une famille non professionnelle ajoute au mérite du film, je trouve. Un film qui donne envie de vivre une existence aussi pure, en osmose avec la nature.
Ethnique bucolique ..initiatique ..presque poétique .bref, je vous conseille de suivre les traces de ce petit chien si sympathique mais je crois que je laurais préféré plus énigmatique .
Ce joli film prouve que la beauté magique de la nature et une vie simple et paisible suffisent malgré l'abscence d'un scénario rigoureux à nous faire passer un bon moment. La vie moderne avec son tumulte et son rythme trépidant ne nous donne pas beaucoup l'occasion de poser notre sac et laisser notre regard vagabonder,c'est bien dommage. Tout sonne juste dans la vie de cette famille de nomades mongols,on apprécie leur simplicité,leur humour et leur bel appétit de vivre. Pour ceux qui sont fascinés par ces paysages,sachez qu'il existe un endroit en France et à ma connaissance un seul qui ressmble à s'y méprendre aux sublimes steppes de Mongolie. Même dépaysement,même sentiment d'éternité;il s'agit du sublime causse Méjean dans le sud de la Lozère. Allez y ne serait ce qu'une journée,non seulement vous retrouvez(à échelle réduite,bien sûr)la poésie des paysages mongols mais vous en reviendrez apaisé et purifié.
Un docu fiction (?) très beau qui nous rappel que des gens vivent encore si différement du "modèle occidentale" à notre époque. Très bien filmé, bien qu'il ne se passe pas grand chose on ne s'ennuit pas un instant et on vit avec cette famille pendant 1h30. De plus les enfants sont vraiment géniaux, des petits nains assoifés de découvertes et de vie! Paysages sublimes...
Reclus dans nos villes grises et polluées, on a du mal à croire qu’un tel spectacle puisse encore exister. En un instant, on change d’air, on s’évade, on apprend sans stresser. Chaque geste à son utilité, chaque parole est pesée... Mille fois merci à la réalisatrice pour cette belle et simplissime leçon d’humanité.