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Un visiteur
0,5
Publiée le 26 avril 2009
Le musée des horreurs a transféré ses locaux à l'asile psychiatrique . Malgré la sympathie pour les auteurs , nous ne donnerons pas de crédit à cette farce .
Autant Aaltra était délicieusement politiquement incorrect qu'Avida est tout simplement un ratage total des compères de Groland. Tout est absurde au point de faire passer Ionesco en littérature pour un amateur du genre. Il n'y a pas de scénario (il faut lire le synopsis pour comprendre le strict minimum) et tout est sans queue ni tête : au hasard les scènes des trisomiques, le torero au rhinocéros, l'homme à la tête de scotch (?), la mangeuse de chips qui veut mourir, les gens qui vivent dans des armoires... Les guests stars (Dupontel, Cabrol) ne parviennent pas à relever le niveau. Ce film est au cinéma ce que Yves Klein est à la peinture, derrière le terme d'"avant-gardiste" : un total foutage de gueule
"Aaltra" était une superbe comédie a l'humour noir et provoquant. Mais alors "Avida" c'est ultra chiant. Ce sont deux opposés. Avec "Avida" on s'ennuie. C'est très peu bavard et les blagues se font attendre pour finalement ne pas être autant présente que dans un "Aaltra" ou un "Louise Michel". Le deuxième film du duo Delépine/Kervern déçoit. Malgré des guests toujours aussi excellentes (Dupontel et Bouli Lanners), "Avida" ne passionne jamais. On n'accroche absolument pas a ce film complètement surréaliste.
Voici un film comme vous n'en avez jamais vu!!sans la structure habituel qui fait un film.Pour être franc la premier fois que je l'ai vu je lui aurais mis 1 ou 2 étoiles mais en réfléchissant un peu et en le regardant une seconde fois on se rend compte qu'il est exceptionnel il est juste SURRÉALISTE, et vu que l'on est pas habitué,ça peu faire drôle au début,mais une fois qu'on comprend le sens du film c'est génial, allez le voir !!!
je suis à defendre tout types cinematographiques si le film en vaut la peine. Les réalisateurs d'avida sont des gens duquel j'admire le travail, mais je ne peux rester devant ce film. L'ennuie procurée par ce film ne permet pas de voir ce qu'il veut exprimer. Le manque d'action et de dialogue empechent le spectateur de suivre l'histoire (d'ailleurd, on bout d'un moment, on est plus très sur qu'il en a une). Bon on pouvait se réjouir des caméos (claude chabrol et albert dupontel) mais ils n'apporte rien au film. Ils apparaissent moins d'une minutes et offrent le strict minimum et nous laisse nous ennuyer. Esperons qu'aaltara et louise michel seront mieux.
Un pur délire a voir absolument. on aime ou non mais d'un point de vue purement cinematographique c'est un pur éxercice de style, les cadrages sont ultra travaillés, la musique(quand il y en à) completement lunaire, le scenario dejanté. Ce film apporte dix fois plus au cinema francais que les molassoneries qui pullulent en ce moment dans l'hexagone et qui hélas marche souvent mieux. On retouve dans ce film toutes la puissance de Bunuel et sa fait vraiment du bien.......
avida ou comment créé un film a partir de rien. une oeuvre loufoque fait part des amateurs du genre. on se laisse entrainé dans cette histoire rocambolesque sans vraimment en comprendre le sens véritable. la qualité visuel, les décors simples mais magnifique, les personnages loufoques, la musique ainsi que les scènes de dialogues peu présente dans le film en font un objet rare cinématographiquement mais jouissif graphiquement. moins réussi qu'Aaltra, mais tout aussi barré. pour ce qui aime le cinéma indépendant sans queue ni tete.
Un film inclassable dans son genre, un hommage appuyé au surréalisme et à une certaine forme de cinéma non conventionnel qui risque d'en rebuter plus d'un. Toujours aussi peu de dialogues, un rythme lent, un visuel très soigné et surtout des guests complètement barrées (Claude Chabrol et Dupontel sont franchement géniaux) voilà le programme d'Avida film plus que atypique du duo grolandais Delépine/Kervern qui ne cesse de nous étonner.
Ayant l'habitude de tout tenter dans l'expérience cinématographique, ayant vu de nombreuses bizarreries immondes et parfois réussies, à la différence d'Aaltra que j'avais apprécié, Avida sombre dans les abysses du record malsain. Malsain parce qu'il faut oser employer un si beau casting sans en faire un ricochet, malsain parce que je n'ai pas mis une seule pensée sur une image, sans suis-je crétin, ou a-t-on fait ce film pour les crétins, louable dessein, malsain encore une fois parce qu'il m'en faut pour être déçu à ce point.
Déception. Fan inconditionnel du Groland et ayant apprécié le décalé Aaltra, j'aurais voulu voir un chef d'oeuvre, c'est raté ! J'ai trouvé ça long, hormis qqes scènes marrantes dans la première moitié du film, ensuite je me suis perdu. Ca ne rebondit à aucun moment, au contraire, ça s'enlise. On est loin en tout cas des délires alcooliques grolandais et de la subversion qui fait du bien, dommage. Je mets qd même deux étoiles au bénéfice du doute mais je suis pas sûr de vouloir le revoir un jour, même à l'heure de l'apéro.
Après le génial Aaltra, les deux compères de Groland Benoît Delépine et Gustave de Kervern récidivent dans leurs délires avec cette fois, un film encore plus dingue que le précédent. Et comme à chaque fois on a le droit à une pléiade de guest (Claude Chabrol, Albert Dupontel, Velvet, Bouli Lanners, Christophe Salengro...). Un film pas conventionnel qui sort du lot des grosses productions décérébrées.
Complètement surréaliste et barré, Avida n’est rien d’autre qu’un croisement majestueux de Luis Buñuel (le ridicule de la bourgeoisie), Alejandro Jodorowsky (Fernando Arrabal, le créateur de Fando Et Lis, tient d’ailleurs un rôle dans Avida) et de Salvador Dali (la scène finale est d’ailleurs très explicite à ce niveau-là). Grâce à une mise en scène maîtrisée (Benoît Delépine et Gustave Kervern sont des artistes maintenant confirmés), un scénario barré, des images granuleusement magnifiques et des invités surprises de grande classe (de Fernando Arrabal donc à Albert Dupontel en passant par Claude Chabrol), Avida s’impose comme un film complètement atypique et foncièrement réussi dont on aurait tort de se priver tant son humour décalé et sa dimension métaphysique le rendent unique. Et voilà, deux superbes films d’affiler pour le fameux tandem du Groland…
"C'est long c'est long!" C'est la phrase que je me suis dit apres 15 de film qui m'ont parrut en durer une heure ,géneralement il me faut une heure pour m'endormir devant un film qui m'ennuie, mais la je n'ai pas pus resister: C'est vide , c'est plat... si il yen en a qui trouve que c'est de la poésie il fraudra m'expliquer!
Pour ma part c'est une grosse déception. Autant Aaltra est à mon gout un véritable chef-d'oeuvre d'humour, de finesse et de poésie, autant celui-ci manque cruellement de structure et de rythme. Quelques beaux plans, quelques bons passages, mais cela n'a pas suffit à me tenir éveillé. Reconnaissons tout de même que Délépine et Kervern ont un don inné pour réaliser des films hors-normes, et que ce travail est donc tout de même très louable.