Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
11 critiques presse
Libération
par La rédaction
Beau scénario, mise en scène hésitante.
Paris Match
par Christine Hass
En équilibre entre le thriller psychologique et le conte fantastique, Stéphane Guénin signe un premier film prometteur.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
L'Express
par Christophe Carrière
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Monde
par Thomas Sotinel
Partant d'une proposition minimale (...) le réalisateur s'intéresse exclusivement aux fonctions gadget de sa caméra numérique, qu'il met au service d'une esthétique kitschissime. Le résultat, remarquablement ennuyeux, évoque l'imagerie de certains films érotiques d'Europe de l'Est - les scènes de sexe en moins.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
MCinéma.com
par Camille Brun
Malgré la lumière très travaillée (le film est tourné en numérique), et tous les moyens que le réalisateur utilise pour tenter de donner du mystère à son film, façon sombre conte de fées, on hésite rapidement entre énervement et franche rigolade.
La critique complète est disponible sur le site MCinéma.com
Ouest France
par La rédaction
C'est bien sûr une variation sur le thème de Barbe-Bleue à laquelle se livre Stéphane Guenin. Plus risible qu'effrayant, avec une mise en scène alambiquée et des comédiens qui jouent faux.
Première
par Isabelle Danel
Tourné en vidéo et joué faux, ce remake de Barble bleue à double fond (...) laisse pantois.
La critique complète est disponible sur le site Première
Score
par Yara De Lima
Ambiance, costumes et réalisation kitchissimes.
La critique complète est disponible sur le site Score
Studio Magazine
par Thierry Cheze
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
TéléCinéObs
par Xavier Leherpeur
Connaissez-vous Jean Rolin, apôtre du cinéma bis et auteur de nanars horrifiques où l'héroïne passe son temps à s'enfuir les seins à l'air en roulant des yeux et poussant de petits cris mi-angoissés, mi-orgasmiques ? Eh bien, il semble qu'il ait trouvé un héritier spirituel en la personne de Stéphane Guenin.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Zurban
par Sophie Collet
(...) manque de crédibilité (...) dommage, car "le 7ème mensonge" rompte radicalement avec le genre dramatique français.
Libération
Beau scénario, mise en scène hésitante.
Paris Match
En équilibre entre le thriller psychologique et le conte fantastique, Stéphane Guénin signe un premier film prometteur.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Monde
Partant d'une proposition minimale (...) le réalisateur s'intéresse exclusivement aux fonctions gadget de sa caméra numérique, qu'il met au service d'une esthétique kitschissime. Le résultat, remarquablement ennuyeux, évoque l'imagerie de certains films érotiques d'Europe de l'Est - les scènes de sexe en moins.
MCinéma.com
Malgré la lumière très travaillée (le film est tourné en numérique), et tous les moyens que le réalisateur utilise pour tenter de donner du mystère à son film, façon sombre conte de fées, on hésite rapidement entre énervement et franche rigolade.
Ouest France
C'est bien sûr une variation sur le thème de Barbe-Bleue à laquelle se livre Stéphane Guenin. Plus risible qu'effrayant, avec une mise en scène alambiquée et des comédiens qui jouent faux.
Première
Tourné en vidéo et joué faux, ce remake de Barble bleue à double fond (...) laisse pantois.
Score
Ambiance, costumes et réalisation kitchissimes.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
Connaissez-vous Jean Rolin, apôtre du cinéma bis et auteur de nanars horrifiques où l'héroïne passe son temps à s'enfuir les seins à l'air en roulant des yeux et poussant de petits cris mi-angoissés, mi-orgasmiques ? Eh bien, il semble qu'il ait trouvé un héritier spirituel en la personne de Stéphane Guenin.
Zurban
(...) manque de crédibilité (...) dommage, car "le 7ème mensonge" rompte radicalement avec le genre dramatique français.