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Marc Taton (Belgique)
32 abonnés
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3,0
Publiée le 27 janvier 2016
Une sympathique comédie en forme de fable. Jamais hilarant mais jamais ennuyant "Du jour au lendemain" traite de la signification du bonheur d'une façon plaisante.
Voilà un film que j'aime bien, un film sur un guignard pour qui la vie change du tout au tout du jour au lendemain, sans raison, et qui a du mal à accepter le succès et la possibilité du bonheur, auquel il n'est pas habitué. Un film vraiment sympa.
Beaucoup de bonne humeur dans cette comédie sans plus, portée par le joie de B.Poelvoorde. Un brin de fantastique ironique y est présent au second degré. Moyen. ----Octobre 2015----
Du jour au sans lendemain... Une seule fois vue et c'est je le regarderais pas le lendemain. Ce film est terriblement décevant et malgré le talent que l'on se doit de reconnaître à Benoît Poelvoorde, quelle ennui profond... Encore si cela avait été drôle. Petit navet, donc. Au début "bon allez, ça démarre plutot bien" mais après 20 minutes du film tout s'écroule, dommage... Parfois des scènes où on se demande à quoi ça sert ? (style la mini comédie musicale), non franchement je dis non.
Un bon acteur, une bonne idée de départ que le réalisateur n'a pas su exploiter correctement, l'exposition étant trop rapide. Ce qui suit est tiré à la ligne, accompagné de gags d'une lourdeur pachydermique comme le passage avec les espagnols, ou l'admirateur de Napoléon, et se termine en mode gnangnan. A sauver la présence amusante d'Anne Le Ny dans le rôle de Madame Delassus.
Une comédie qui part d'un amusant principe qu'un poissard (parisien assureur, qui plus est) devient un véritable veinard du jour au lendemain (comme son titre l'indique). Benoît Poelvoorde est bien désigné pour jouer cet homme à la fois très heureux de ce changement, mais aussi celui qui est désabusé de ne pas comprendre d'où cet excès de chance peut venir (ou comment pointer du doigt notre manie à toujours vouloir tout expliquer, on ne se refait pas philosophe). Le démarrage est comique, enlevé et même assez romantique grâce aux rencontres des belles jeunes femmes qui s'intéressent enfin à lui, mais la suite flanque tout par terre. Entre le vigile qui pète les plombs rien que sur un nom d'un homme (descendant d'un traître sous l'Empire) qui est une séquence grotesque, le passage "comédie musicale" où l'on croit que l'on a zappé par inadvertance sur une autre chaîne (mais non, on est bien toujours dans ce film, et les yeux nous en tombent... Quelle absurdité lourdingue), et le final pessimiste et déprimant... Rien ne va ni ne fonctionne après les quelques gags amusants du début, on ne s'ennuie pas mais l'on reste constamment atterrés par la suite de mauvais choix jusqu'au final raté.
Comédie avec Poelvoorde assez fade, un peu raté...Au début ça commence plutôt bien mais ça devient finalement très naïf et incohérent. De plus la mise en scène manque de rythme. Reste Poelvoorde parfois assez touchant et toujours juste. Mais bon Bof bof bof.
Un vaudeville qui n'en est pas un, Du jour au lendemain a du potentiel mais ne l'exploite pas vraiment. Benoît Poelvoorde ne peut pas tout faire et ceux qui l'entourent n'en font pas assez. L'idée est porteuse et enchaîne les gags jusqu'à une prise de conscience du héros qui rejette ce "don du ciel" lui ouvrant pourtant les portes d'un "bonheur" certain.
Plutôt sympa au départ, ce film tombe dans le classique et trop attendu pour attacher vraiment. On voit bien qu'il n'a pour but que de bien utiliser Poolvorde ce qu'il réussit mais cela n'est franchement pas suffisant pour franchir la barre des deux étoiles.
"Du jour au lendemain" (2005) HD1 le 10.03.2016 Le récit n'était pas si mauvais, le casting non plus et avec de surcroit un Poelvoorde en pleine forme ! Qu'est-ce qui fait donc que cette histoire retombe comme un pétard mouillé ? Le manque de talent (d'ambition) de Le Guay, tout simplement ou peut-être le fait de trop vouloir toucher à tout sans finir ?. Le danger existe en effet quand on fait un film burlesque de ne pas tomber dans le grotesque et c'est pourtant ce qui arrive ici ! A trop vouloir en faire... Heureusement, le tandem Dollé (superbe) Poelvoorde sauve les meubles et le réalisateur du naufrage. Malgré tout, cette aventure n'aura pas atteint les 500 000 entrées en salles ! C'est bien peu avec un tel programme ! willycopresto
13 753 abonnés
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3,0
Publiée le 10 mai 2011
Avec "Du jour au lendemain", Philippe Le Guay a voulu raconter une fable afin de dèchirer la grisaille du quotidien! Un postulat de cinèaste qui se retrouve dans le choix d'insèrer une rafraîchissante sèquence de comèdie musicale à la façon d'un Jacques Demy pour ensoleiller son propos! Parce qu'au dèpart, on n'est plutôt plonger dans un univers que l'on voit un peu tous les jours avec ce petit bonhomme ècrasè par des dècors urbains oppressants et recroquevillè dans son appartement, comme dan son bureau à la banque! Interprète crèateur au talent sans ègal, Benoît Poelvoorde est parfait, sublimant l'ingratitude de cette vie grise auquel il s'enfonce, aidè par un entourage pourtant haut en couleur avec la sublime Anne Consigny, comèdienne d'une très grande beautè, Rufus en vigile, ou encore Robert Castel, le prototype du pied noir qu'on prend plaisir à revoir même si c'est dans un second rôle! On passe un joli moment avec tout ce beau monde...
Une comédie laborieuse avec Benoît Poelvoorde pourtant en forme. Le bonheur est-il une fin en soi ? Cest le sujet que Philippe Le Guay a voulu aborder dans « Du jour au lendemain », fable contemporaine mal écrite, lente et redondante. Un homme mène une existence terne et sans joie mais sa vie prend subitement un tour radicalement différent : promotion, machine à café qui marche bien, un vigile qui lui dit bonjour, de la tarte à la cantine bref vachement emballant ( !) sur le papier car à lécran on sennuie et on a vraiment limpression de voir une pâle copie dUn jour sans fin, chef duvre dHarold Ramis. Benoît Poelvoorde a lart de se fondre dans la peau de Monsieur Tout-le-monde et apparaît tout en retenue mais le film pêche par un manque dimagination flagrant, un ennui qui sinstalle progressivement jusquà la dernière demi-heure complètement ratée. Les numéros de Rufus (toujours impeccable) et du survivor Robert Castel (quon a plaisir à revoir en forme !) apportent quelques touches dhumour mais on ne rit jamais et on sourit à peine. Anne Consigny fait ce quelle peut pour imposer une présence féminine mais tout repose sur les épaules de son partenaire. Le postulat de départ était alléchant mais la déception pointe rapidement. Le suspense est basé sur la présence dun uf sur une pizza ou dune tarte aux fraises sur un plateau. "Du jour au lendemain" est une comédie de moeurs interrogeant sur les différentes conceptions du bonheur sans pour autant donner de véritables réponses. La comédie retombe aussi vite qu'un soufflé au fromage raté, lasse, les dialogues sont lourds, on se fout des personnages et de ce qui leur arrive, la mise en scène est inexistante. Conventionnel, déjà-vu, aucune inspiration, remake déguisé d'Un jour sans fin. Que dire enfin de ce passage "Comédie-musical" aussi ridicule qu'inutile ? Benoît Poelvoorde s'est égaré dans cette comédie où il est pourtant très bon mais sa performance ne suffit pas à donner le moindre intérêt à ce film.
Un film agréable et léger sur le bonheur et ses conséquences qui pêche par un final moyennement réussi alors que la première heure était vraiment sympa, notamment grâce aux prestations amusantes de Benoît Poelvoorde, Rufus et Anne Consigny. Un film à voir pour passer un bon moment !
Une première partie correcte et sympathique avec un Poelvoorde amusant. Il faut dire que sans Poelvoorde, ce film aurait été tout simplement ignoré de tous. La deuxième partie baisse le niveau du film et c'est dommage. On tombe dans la prévisibilité et le vite fait bien fait. Mais c'est à voir au moins une fois.
encore un film trop léger pour réveiller le cinéma français. déjà le sujet est trop casse-gueule pour pouvoir y répondre et il n'est qu'un pretexte pour établir des situations mille fois déjà vues. le cinéma made in france au lieu de s'interroger préfère se masquer les yeux et rendre une vision de la société complètement out. bien sûr benoît poelvoorde est formidable et génial. mais ça ne suffit pas du tout.