Un film magnifique. Au début, je ne voulais pas aller le voir. Je me disais "mouai, un film de Luc Besson, celui qui a fait Taxi... ça ne m'intéresse pas. En plus il y a Djamel alors que c'est sensé être un film sérieux... ça m'intéresse encore moins!" Mais un amie m'a obligé à aller le voir. Les 5-10 premières minutes, on se dit "moyen"... Et plus le film avance, plus on se dit que c'est un chef d'oeuvre! Je ne met que 3 étoiles à cause du début très long et pas accrocheur avec un jeu d'acteur qui laise un peu à désirer.
Très belle histoire, très simple mais également très émouvante. Jamel Debbouze apporte une touche de sensibilité qu'on ne lui connaissait pas jusque là et Rie Rasmussen est drôle tout en étant très touchante. Un duo qui porte avec succès le film sur ses épaules! ça aurait pu être chiant, mais ça ne l'est pas du tout, bien au contraire! Une très bonne surprise! A voir!
Film éblouissant et plein d'espoir. Le choix de Paris et du noir et blanc renforce la beauté du film et de son histoir : celle d'un homme reprenant goût à la vie grâce à l'amour. Une jolie moral très bien filmé, sans être son meilleur film, Luc Besson nous prpose son plus beau film esthétiquement parlant.
Un plus que grand, non une plus que géantissime Debouze, une actrice surprise mais parfaitement choisi pour le role ! une histoire certe pas originale mais tellement belle là où il serait plus simple de faire une histoire noire ! Ds les critiques il faut savoir faire la difference des noms.. Si le nom de Besson porte à vouloir raler n dut à ses productions il fautavouer que ses films à quelques exeptions pres sont toujours grandiose ! En ce "Angel-A" on retrouve un peu de "Nikita" et ca fait grandement plaisir
Les plans de Paris sont magnifiques (le noir et blanc venant d'ailleurs intensifier la beauté de la ville) et Jamel Debouzze joue plutôt bien. Mais l'histoire est vraiment nulle et sans intérêt.
Surprenant! Oui, surprenant serait le mot exact pour ce film. Surprenant de voir ici un J.Debouze dans un rôle où on ne l'attendait peut-être pas:
Un homme plein de dettes, joueur, petit joueur qui n'a aucune confiance en lui, aucune estime pour lui même et dont le chemin va croiser celui d'un ange.
Etonnant déjà par le choix du "noir et blanc", étonnant par cette humanité qui semble se dégager, par cette chaleur qui surprend, par l'émotion qui nous parvient de voir ainsi cet homme reprendre à nouveau goût à la vie, goût à lui-même, goût en l'amour. La scène du miroir où J.Debouze, André doit se dire "je t'aime" et où ému, il versera des larmes- est pour moi, l'une des scènes à marquer et à remarquer du film.
Evidemment quelques défauts puisque la perfection n'est pas de ce monde. Peut-être un peu trop "niais", trop "utopiste" trop de rêve vendu et même si le "noir et blanc" donne un certain charme, l'on ne comprend pas vraiment ce choix, son intérêt.
En tout cas, ce film était agréable à regarder et est donc tout de même assez conseillé.
Voila un film de Besson archi decevant... c'est mievre, sans interet, pas credible,pas drole, pas touchant, la fille est insupportable à écouter, la fin est risible... une vraie perte de temps.
Étonnant. Il y a avait bien longtemps que je n'avais été confronté à un film aussi mauvais, surtout en rapport à la grosse machinerie qui en est à la base (réalisateur star, acteur principal vedette, Paris vidé pendant toutes les scènes...). Le scénario est accablant, avec, comme point culminant, la pathétique (et ce n'est rien de le dire) scène de fin, apothéose de philosophie de bout de comptoir, si surprenante (dans le mauvais sens du terme) qu'on se prend à penser qu'en fait, tout ça n'était que du second degré, et que le moment est alors venu de rire franchement. Une petite étoile quand même pour les jolis contrates du noir et blanc. A éviter absolument.
Dans un noir et blanc expressionniste et dans un Paris estival,Luc Besson tentait une expérience différente,dépourvue de fureur."Angel-A"(2005)ressemble à un conte bien naïf,voire niais,où un ange blond aux jambes interminables(le fantasme récurrent de Bessson)tente de redonner le sourire à un pauvre bonhomme désespérée.Jamel Debbouze est tout à fait digne du rôle.On est même content de le voir dans quelque chose de différent.Le hic,c'est que plus le film avançe,plus les dilaogues deviennent débile,plus la mise en scène révèle ses artifices,plus le ton se fait romantico-toc.C'est prétentieux,bavard,mais tout de même d'une beauté visuelle peu commune.
L’habitué des superproductions Luc Besson revient à ses premières amours (voir "Le dernier Combat") et signe ce film intimiste dont on retiendra l’interprétation avec un duo vedette impeccable (Jamel Debbouze en looser et Rie Rasmussen en ange atypique) et des 2nds rôles surprenants (le génial Gilbert Melki, l’excellent Serge Riaboukine…). Un casting qui ne réussit pourtant pas à masquer un scénario lourdingue sur l’importance de s’aimer soi-même. Une naïveté que Besson revendique mais qui rend son film franchement niais par moment. Quant à la fin, elle est quand même assez ridicule ! Reste quelques bonnes scènes et une vision intéressante d’un Paris pratiquement désert que Besson magnifie par l’utilisation du noir et blanc.
Un scénario très maigre se résumant en moins d'une ligne, une histoire niaiseuse, une actrice mannequin (plus mannequin qu'actrice d'ailleurs) qui a dû mal à aligner trois mots de français, des effets spéciaux déplorables imposés par la ridicule tournure "fantastique" du film et un noir et blanc prétentieux mais qui sauve cette production, voilà à quoi pourrait ce résumer Angel-A. Mais le plus triste dans tout cela est que, quand arrive la fin du film, on n'a même pas la sensation d'avoir gâché 1h30 de sa vie. On arrive même à trouver que la scène où Jamel Debbouze cligne dix fois des yeux pour pleurer est un peu émouvante. Tout cela sans jamais ressentir la moindre émotion. Un film qui manque vraiment de profondeur pour une romance. A voir si l'on préfère les dialogues à l'action... [Mon blog de critiques cinématographiques : http://redross.skyblog.com]