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74 abonnés
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4,0
Publiée le 11 novembre 2008
Un très beau film avec un duo que tout éloigne mais qui fonctionne bien. Le film fait très Amelie Poulain bondé de quête du bien être tout ça mais il y a comme une magie dans ce film, quelque chose d'émouvant dans cette relation (j'ai versé ma larme j'avoue). Dommage que la fin n'ai pas été a la hauteur de mes espérances.
Un film empreint d'un ''mystère'' assez... bouffonesque, quoique seulement ridicule puisque la démarche n'est pas volontaire. Signé Luc Besson, et ça s'entend (expression artistique ridicule en général – symboles grossiers-, presque débilisante -poésie d'un niveau... tout simplement minable-), sauf qu'ici la photographie réhausse l'ensemble. Quand à Jamel, il assure plutôt bien son rôle à contre-emploi. Le duo qu'il forme avec la dite « Angela » se montre assez candide, voir touchant. C'est le seul endroit ou le film parvient à toucher son objectif. Angel-A n'est pas un film à jeter, simplement on ne se le recommandera pas. C'est déjà pas si mal, notamment de la part de Luc Besson, en pleine dérive populiste, mais qui semble redresser la barre, avec la production de Danny the Dog, et surtout -et c'est étonnant de sa part- le lancement au cinéma de Sagan.
Angel-Attend reste avec moi ! La photo est magnifique, J.Debbouze est excellent, comme à chaque fois où un "comique" joue des scènes dramatiques. Par contre, le malaise réside au milieu du film, difficile d'accèpter son coté un peu absurde, ou Debbouze et son Angel-A passe tout leurs temps, dans une boite de nuit afin de, vous comprendrez pourquoi, en regardant le film. Besson imagine son Angel-A d'un point de vue bien enfantin sans réel grande qualités au niveau scénaristique. On peut passer un très bon moment malgré tout, grace a des scènes comme "le miroir" ou bien surtout la fin, térriblement remplis d'émotions et de force visuel. au final : 2 étoiles pour un bon film avec ses lacunes. Mais surtout pour un J.Debbouze qui peut vous captivez par son naturel.
J'aime bien Jamel ( en tant que comedien et acteur) mais je suis obligé de ne pas vous recommander ce film. Certaine scene sont sympa, mais le tout est trop niai.. Ok le film c'est de l'art ( genre en noir et blanc )et seul l'artiste comprend ce qu'il a voulu faire, ok, mais alors il faut pas le commercialiser au grand public.. C'est rare de mettre 0 etoile, mais y'a vraiment rien a garder, jamel joue bien , j'avoue, la nana pas trop, enfin comme une fille de l'est..tout es previsible, bref c'est nul..dommage Luc besson est tombé bien bas..
Bon film, j'ai beaucoup aimé, une sorte de belle et la bête façon moderne, sauf que jamel ne se transforme pas en prince charmant à la fin et que la belle le reste jusqu'au bout, heureusement qu'elle est la d'ailleurs. Ouais, l'histoire m'a bien plu c'est un peu poétique.
J'ai trouve ca vraiment magnifique, un decors parisien fantastique, une histoire sympathique, des acteurs impressionants, qui corrige le probleme du cote gnangnan.
Un scénario de téléfilm servi par une mise en scène clinquante. Luc besson nous prouve un fois de plus qu'à défaut d'être le visionnaire de génie que les critiques de cinoche nous ont tant vanté,il n'est rien d'autre qu'un marchant de film,"empruntant" ça et là les quelques ingrédients nécessaire à la composition de sa soupe populaire,de plus en plus indigeste. Et si malgré tout ce angel-a réussi à nous toucher au détour d'une idée ou d'une réplique,c'est parce que le bougre à du métier!
Visuellement bluffant, Luc Besson nous emmène dans le Paris vide et merveilleux. L'esthétique noire et blanche est un choix particulièrement judicieux qui rappelle les films noirs des années 50 tout en illuminant complètement une ville qui, ironie du sort, me semble désespérément grise. De plus, Jamel Debbouze, que je tenais pour un piètre comédien, donne enfin une esquisse de son talent, et ça fait plaisir à voir. Comme pour tous les Luc Besson, le film divise : on adore ou on déteste. Et à ceux qui seraient dans la détestation, je conseillerais de perdre un peu leur yeux d'adultes pour retrouver ceux d'enfants, la naïveté de Besson ne leur apparaitra que plus belle.
Luc Besson a visiblement apprécié Le fabuleux destin d'Amélie Poulain, mais n'est pas Jean-Pierre Jeunet qui veut; il laisse le coloré vert de Montmartre pour rendre Paris noir et blanc, un choix louable qui dessine très bien la capitale; l'aspect visuelle c'est d'ailleurs la seule vraie réussite de ce film, Besson confirmant au passage qu'il capture très bien les paysages et lieux. Mais il prouve une fois encore qu'il n'est ni scénariste, ni dialoguiste. Le scénario est absent, censé être basé sur la relation entre un homme dépressif et une femme mystérieuse, mais ce n'est pas développé malgré que les deux protagonistes sont omniprésents à l'écran (paradoxe). Les dialogues sont consternants, probablement tirés d'un sujet d'invention de lycéen, torchés en 1 ou 2 heures, et ce n'est pas le coupe d'acteur qui sauve la mise. Debbouze confirme que malgré sa sympathie certaine, c'est un très mauvais acteur incapable de faire autre chose que du Debbouze, quant à Rie Rasmussen le recul nous aura permis de constater qu'elle n'est pas restée, probablement parce qu'une mannequin n'a rarement le niveau d'une actrice. Bien filmé mais mal écrit.
Besson s'attarde, et erre dans la nébuleuse parisienne, magnifiant la capitale et Jamel comme rarement. Là c'est du Besson qu'on aime, mais c'est si rare.
Cette comedie est bien la preuve de la mort (cinématographique) de Besson qui trop occupé a produire et scenarisé des chefs d'oeuvres comme Yamakasi ou Banlieue 13 en a completement oublié la facon de construire un film.Heureusement que l'affiche precise le nom du realisateur car sinon impossible de reconnaitre la patte du responsable du Grand Bleu qui revient au NetB de ses debuts ,on se demande bien pourquoi ?.Le scenario minuscule empile les scenes ridicules a commencer par le gentil flic qui laisse tranquille un marocain sans papier avant que le brave Jamel ne nous montre ses talents de nageur ,la on est a la limite de la SF ,le pire provient certainement des dialogues bidons qu'on ne captent de toute facon pas les 3/4 du temps la faute au debit speed de Jamel et a l'accent pourrie de l'asperge danoise.La musique comme les seconds roles sont inexistants ,quand je pense a tout le ramdam mediatique entourant un tel resultat ,j'ai envie de dire : Luc ,tu a basculé du coté obscure.