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al111
22 abonnés
348 critiques
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1,0
Publiée le 29 septembre 2006
Luc Besson est un grand organisateur de divertissement. Il sait en mettre plein la vue et parfois nous émouvoir (cinquième élément, Nikita, Léon,...). Avec Angel-A, il cherche beaucoup moins les effets spéciaux que les effets sur l'âme. Et c'est raté. Partant d'une idée qu'on pourrait situer entre Bertrand Blier (pour les dialogues) et Wim Wenders (référence aux Ailes du désir), il n'arrive qu'à créer un semblant d'ambiance, surtout par la photo, noir et blanc superbe. Mais le scénario ne décolle pas et Rie Rasmussen est affligeante. C'est donc une déception, surtout pour Jamel Debbouze : il mérite probablement qu'on lui donne un jour un vrai rôle.
Sublimissime un grand moment émotion, la camera bouge a merveille autour de ce vrai acteur de cinema qui est M DEBOUZE dans un paris noir et blanc Faire pleurer DJAMEL merci M BESSON.
Le bide dans toute sa splendeur. Vraiment je ne vois pas l'intérêt d'un tel film si ce n'est pour tenter de prouver le pseudo talent de Jamel Debbouze, désolée pas convainquant du tout. Pourquoi attribuer un tel role à ce bout en train toujours pret a faire rire, qui n'a visiblement ni la maturité, ni le talent pour jouer dans un tel film. Jamel, t'es une bete de scène et tu es le roi pour nous faire rire, mais par pitié ne joue plus de genre de role ...
Je n'aurais manqué pour rien au monde la sortie du 10ème film de Luc Besson, et je n'ai, une fois de plus, pas été déçu! Djamel superbe, et sa compagne n'est pas qu'un mannequin déguingandé (comme vu par ailleurs) car son jeu transperce l'écran! Le lien avec "Le dernier Combat" est flagrant, et on ressort avec le sentiment que "la boucle est bouclée", même si on espère que Luc ne se satisfera pas de celle ci, et continuera à nous toucher, à nous faire rire, à nous évader, bref, à faire le cinéma qu'on aime, n'en déplaise à tous les autres!!!
Scénario banal, pas très palpitant... Heureusement, les images de Paris sont très belles et il y a une scène qui vaut un peu le détour. La fin du film reste cependant très ridicule, on a plutôt envie de rire que de pleurer lors du départ de l'ange vers le ciel (jolies ailes!)...
Angel-a est vraiment un très beau film.j'ai passé un très bon moment.C'est du bon Luc Besson,c'est une belle histoire. Les acteurs sont vraiment très bons, Jamel dans son premier rôle dramatique est surprenant, très touchant, sincère...il prouve qu'il peut toucher à tout, c'est un acteur très talentueux qui ira loin.Rie Rasmussen joue très bien également, ils forment un très beau duo à l'écran. Le noir et le blanc rendent le film encore plus beau, très bonne initiative de Besson. Bref c'est un très beau film, que je conseille de voir à tout le monde.
Angel-A est très esthétique, Paris (presque vide) est magnifiquement filmé, les nuances de noir et blanc créees de magnifiques images et le couple improbable fonctionne à merveille sur le plan visuel. Mais on ne peut malheureusement pas se laisser totalement porter par l'histoire car durant casiment toute la durée du film on sent le jeu, le travail des deux acteurs. Heureusement, seule la fin donne un côté mystérieux au film...
Une très grande surprise de la part de Mr Besson, qui réalise un film intimiste et beau, avec un Jamel émouvant et touchant. Mais surtout Rie très jolie et excellente actrice. Chef-d'oeuvre en perspective.
Quoi? C'est ça le dernier Besson qui a la prétention d'être tourné en Scope noir et blanc? Et bien, c'est décevant pour plusieurs raisons. Tout d'abord, parlons-en de ce noir et blanc: j'admire beaucoup cette technique mais elle a été mal exploitée ici. La photo est vraiment moyenne, ce qui enlève à l'effet graphique. On a plus l'impression que la couleur a été retiré, ça ne fonctionne vraiment pas. Le scénario, c'est pas ça du tout. Point de départ: un homme et une femme, ok. Que fait-elle pour lui plaire? Elle se prostitue: pas d'accord, c'est faussement provocateur et dangeureusement ambigü dans le jugement. Le milieu du film est intéressant: il comporte beaucoup d'humour, fait avancer l'intrigue de manière cohérente et contribue à faire passer en partie la pilule du début. Mais la fin est pompeuse et donc pompante. Besson copie "la vie est belle" de Capra d'un point de vue scénaristique tandis que "les ailes du désir" de Wenders sont purement transposées à Paris, mais c'est tout; l'ésthétique est la même. On ne peut s'empêcher de repenser à ces films honteusement copiés. Alors, pour les aspects positifs, on retiendra le milieu du film et ses deux principaux interprètes: Rie Rasmussen et surtout Jamel Debbouze, très bon que je ne voyais vraiment pas pour un rôle comme ça. Une déception, mais Jamel est à retenir.
Quelle deception à la sortie du cinema. J'avais envie de crier au vol. Je comprends mieux pourquoi Luc Besson ne voulait pas divulguer son histoire tellement elle est pitoyable. Garder vos sous pour acheter des cadeaux de noel à la place. Jamel Debbouz est méconaissable. Vraiment très très déçu.