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Un visiteur
1,0
Publiée le 29 septembre 2006
L'étoile, c'est pour Jammel: c'est le seul vrai acteur de ce film, les autres ne sont pas à sa hauteur. Filmer en noir et blanc, bon, ça fait un peu prétencieux, le sénario est plat, assez incohérent, on se demande c'est quoi cette histoire de Jamel avec l'ambassade des USA. Quand a l'atrice principale, Rie Ramunsen, elle est belle mais elle n'est pas à la hauteur. Besson a voulu faire ici un film intello, un peu philosophique, ben c'est raté.
Quelle nullité! La bande annonce donne un bon aperçu du film. Si comme moi, vous avez eu une certaine appréhension en la voyant, ne faites pas la même erreur que moi en vous disant "c'est Besson, ça ne sera peut-être pas transcendant, mais je ne m'ennuierai pas" parce que je me suis ennuyé. J'ai l'impression d'avoir passé plus de temps à regarder ma montre que l'écran. -la top-model est bien belle mais joue d'une façon atroce -le scénario est inexistant -les plans se succèdent avec en arrière plan un paris de carte postale où sont promenés les personnages au mépris de toute logique (ils sont derrière Notre-Dame, puis ils traversent un pont en aval dans la direction de la rive gauche, puis se retrouve au plan suivant devant le sacré-coeur... juste pour discuter) Normalement un réalisateur paye quand des monuments de Paris figurent dans un film. Peut-être Besson a abusé d'une liberté acquise grâce à la réalisation d'un film de promo pour les J.O?
Je suis colère mes enfants, JE SUIS COLERE!!! S'il est vrai que notre Luc Besson national avait coutume de pécher en terme de finesse, il se rattrapait toujours par une franche honnêteté! Avec cet "Angel-A", un cap est franchi : Besson a cherché à nous entuber!! Voila un film qui ne ressemble à rien, qui n'est qu'un vil agrégat d'idées sans substance. L'histoire n'est qu'un hersatz de Dogma déjà peu reluisant; la réalisation se prend les pieds dans chaque tentative de style; mais le comble reste encore cette distribution lamentable, entre un Jamel à total contre-emploi et une pin'up blondasse incapable d'aligner deux mots de français. Je comprend mieux maintenant pourquoi la presse n'a pas eu la joie de découvrir ce film avant la sortie! Besson, sachant l'arnaque, a préféré joué sur une notoriété qu'il méritait pourtant jusqu'alors. Je trouve cette attitude scandaleuse. Monsieur Besson, vous n'êtes qu'un salaud!
Ah Besson ! Ta façon de filmer est sans pareil, tes images sont belles mais ton point faible reste toujours les scénarios... Pas très consistant tout ça !! Faudrait voir à pas nous prendre pour des imbéciles quand même...
Besson a réussit à mettre en image la réponse aux prières de ceux qui touchent le fond et qui retrouvent la volonter de s'en sortir. Les cartesiens et ceux qui ne se posent jamais de question n'aimeront pas ce film, les autres s'y verront comme dans un miroir. Ne cherchez pas à connaitre l'histoire avant. La découverte progressif n'en sera que meilleure. Du grand art Bravo ;o) Le seule pb c'est la diction de Rie Rasmussen qui mange la moitié des phrases.
Décidément, Luc Besson divise toujours autant avec ce nouveau métrage ni totalement mauvais, ni pleinement convaincant. Partant d'une histoire déjà vue, notamment dans le magnifique "La fille sur le pont" de Patrice Leconte, le cinéaste parvient progressivement à nous attacher à des personnages à la psychologie pourtant sommaire. Grâce à un humour sympathique et à un grand sens de la mise en scène, le cinéaste nous entraîne dans son sillage. Pourtant, l'ensemble apparaît comme très inégal, avec alternance de très belles scènes évoquant Wim Wenders ou Frank Capra, mais aussi de plans ratés ou d'idées foireuses. Autre point négatif : le casting. Si Jamel Debbouze ne s'en tire pas trop mal, on a du mal à s'attacher au sosie de Milla Jovovich et à son insupportable accent. Enfin, on était en droit d'attendre de la part de Besson un esthétisme poussé, mais les images en noir et blanc ne sont pas assez contrastées et déçoivent sur le plan visuel. Le nouveau Besson n'est donc ni la merde tant décriée partout, ni un grand film. Simplement un moment agréable à passer sans s'ennuyer.
Magnifique film: le noir et blanc lui donne un aspect artistique que la couleur n'a pas. Une belle histoire émouvante dans laquelle chacun peut, je pense, se retrouver à un moment. Merci pour cette beauté!
Je suis allé voir ce film pour Jamel dont la prestation dans Amélie Poulain laissait entrevoir quelque chose de fort. Confirmation. Il porte de bout en bout un film qui en a bien besoin : Besson agite encore une fois ses grosses ficelles et distille une morale à la banalité navrante. On ne voit bien qu'avec le coeur, écrivait Saint-Exupéry. Besson dit la même chose, les deux pieds campés dans ses gros sabots. Peut-on encore espérer quelque chose du réalisateur de Subway ? Au moins un peu d'honnêteté, compte-tenu de son médiocre pillage de La fille sur le pont de Patrice Leconte.
Narnia et Saw II étaient complets, je me suis donc retrouvée devant ce film... Moins déçue que je ne l'aurais cru... Une fable qui laisse rêveur, assez philosophique, et surtout un Jamel pas du tout à côté de la plaque, ce que je craignais pourtant au plus haut point. Le noir et blanc passe très bien, et ça n'a rien à voir avec les Besson habituels... A voir par curiosité..
Une légère deception en sortant du cinéma : en effet, si les acteurs, impeccable, la réalisation nickel, les plans de Paris superbe donnent au film un charme auquel on ne peut que se prendre, le scénario, lui, déçoit. En effet, si le début accorde une grande place à l'imaginaire, la suite lui coupe l'herbe sous les pieds en usant de ficelles sans finesse et en imposant une vision ininterressante au spectateur. Reste que sa fait plaisir de voir Jamel ici..
"Angel-A", ou quand Luc Besson choisit de revenir à un cinéma plus sobre, mais pas moins ambitieux. Ce film est une perle. Pendant une heure et demi, on est transporté, tout ce qui n'est pas entre vous et l'écran n'a plus d'importance. Jamel est bluffant et crève littéralement l'écran, quant à l'énigmatique Rie Rasmussen, elle impressione en portant avec brio un rôle pourtant loin d'être facile. Tout fonctionne et on se laisse émouvoir par un message plus profond qu'il n'y parraît. Bref, les détracteur de Besson et de Jamel n'auront pas leur mot à dire cette fois : on sort d'"Angel-A" en s'étant pris une bonne claque, et croyez moi, ça fait du bien !
Il est beur,bien brun, petit et menteur...elle est grande, blonde, toute blanche(immaculée?)et incarne la pureté au service de sa rédemption, le tout servi un Paris très matinal photographié à la "DOISNEAU".
Ce film est un beau moment de poésie, ou il n'est nullement besoin d'aller chercher de la profondeur ou de la complexité scénaristique. On peut faire bien avec peu. C'est bien filmé et certaines scenes sont de vrais moments de bonheur (la qualité n'est cependant pas toujours au top). Besson est un peu prisonnier de l'attente qu'il suscite. Certains de ses fans resteront sur leur faim. Sa "copie" aurait méritée d'être plus fouillé.....
Comme tout le monde, je dois admettre que Paris est superbement filmé en noir et blanc. Jamel est vraiment excellent dans son rôle, et moi qui avait peur qu'il en fasse un peu trop et soit "l'attraction" du film, j'ai été soulagé de voir qu'il n'en est rien. Le choix de Rie Rasmussen est un peu plus discutable... L'histoire est sympathique, mais pas toujours claire. Un film agréable.
C'est une honte, Besson a fait tellement beau telllement bien quand il était(bien) entouré.... Là il nous livre un film avec de belles images mais c'est tout. Rien, à peine un scénar de court métrage, des acteurs mauvais et surtout une niaiserie digne d'une histoire fait d'enfant de 10 ans. Monsieur Besson ce film n'est pas à votre hauteur.