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Un visiteur
0,5
Publiée le 29 septembre 2006
Ahhh fuyez!!! Un des pires films que j'ai vu cette année(pire que sept ans de séduction et que les quatre fantastiques c'est dire). Pourtant ça partait pas mal avec le début un peu trash(séquence en boite de nuit) et l'humour malgré le copié-collé de dialogues pris dans d'autre film de besson. Mais à la moitié du film on sombre dans le mélo et le film laisse perplexe avec sa fin digne d'un des pires téléfilms de TF1.
Luc Besson film Paris sur un nouveau jour en noir et blanc lui donnant une magnifique beauté tout comme son film magnifiquement bien joué par 2 grand acteurs. Scénario original et très bien écrit. Un exellent film du cinéma français !
Ce film est assez drole tout en étant noir , (jeu de mot a chier je sais) je crois que c'est le premier film ou Jamel debbouze est "crédible". Je ne met que trois étoiles car la fin m'as énormément déçue (trop tirée par les cheuveux).
C'est le pire film de Besson!!! J'étais plein de bonne volonté (Besson réalisateur, c'est pas Besson producteur, etc) et j'ai même été tenté de mettre une étoile pour Rie Rasmussen (magnifique) mais non, c'est vraiment pas possible. Le scénario est navrant, inspiré à 25% par le sketch de Jamel et Adriana Karembeu aux Cesars et à 75% par Josephine Ange Gardien. Les dialogues sont surement les plus mauvais de l'histoire du cinéma depuis le film muet (et encore...). Certaines scènes sont encore plus navrantes que les autres (l'explication des passes d'Angel-A en boite... la scène dans le café "si je te prouve que je suis un ange en faisant un miracle je vais me faire virer par Dieu"!!!...la scène du mirroir, volée à Rasta Rocket...). Et puis Jamel qui fait du Jamel et forcément un groupe de racailles (qui ne servent à rien dans le film, mais bon c'est une production Europa donc forcément...). Reste la forme, la pellicule est d'une bonne qualité mais tout ce qu'elle filme c'est un Paris de catalogue touristique, beau mais sans âme (si le film pour la candidature de Paris au JO de 2012 était de ce niveau, pas étonnant que Londres ait gagné!!!).
On ne s'attendait pas a ce que Luc Besson face son retour avec une comédie romantique aussi aboutie. Luc Besson se dévoile avec cette fable, il nous touche, nous émerveille et nous émeus. Jamel y est épatant de sensibilité et nous montre sont véritable talant dacteur. Rie Rasmussen est tout simplement sublime. Ce film est une réussite total. Merci Luc Besson.
Hhhaa, le noir et blanc nous avait manqué, un role admirable est offert à Jamel Debbouz, un role attachant... Besson s'est surment inspiré de la haine, d'autant plus que Jamel nous fais penser au personnage de Said dans la haine. Bref un bon long métrage plaisant, parfois marrant.
Difficile de résumer ce que l'on ressent au sortir d'Angel-A. Alors, dans le désordre, les points positifs: Jamel, le cadrage, le découpage très simple (si on excepte quelques plans à effet du genre de celui qui débute la séquence "tour eiffel"),Paris quasi vide et irréel, Melki et Riaboukine. les points négatifs: quelques facilités et incohérences sans gravité dans les dialogues, l'impression que le film manque de liant (de longues séquences qui se succèdent sans laisser un peu de temps entre elles pour passer d'un lieu à un autre ou au non-dit sur les sentiments des personnages. Le film aurait gagné à durer 10 ou 15 minutes de plus pour le fluidifier), la toute fin est superflue. la grande inconnue du film: Rie Rasmussen. on aime ou on n'aime pas (perso, j'aime). Mais elle (ou son personnage) risque de partager le public. Je persiste à penser qu'une version longue en dira plus sur ce qui m'a manqué dans le cheminement émotionnel d'André et Angela. En tous cas, le film réserve de beaux moments esthétiques et/ou d'émotion et est sans aucun doute une oeuvre d'auteur (une patte de cinéaste indéniable).
J'ai bien aimé les débuts de luc besson (le 5ème élément...) mais je trouve qu'il perd son style au fur et à mesure des films. J'ai été déçu par ce film, malgré les bonnes critiques de mes amis. Le scénario était bon mais il a été mal exploité. On s'ennuie ferme, l'action n'est pas présente. Cette étoile est uniquement dédié a Jamel et au scénario. La voix du mannequin est soporifique, et incompréhensible. On doît être trop attentif à ce qu'elle dit, parce que son accent gâche tout. Elle ne met pas de la vie à son texte, on dirait qu'elle le lit. A déconseiller, même si vous le louez c'est une perte de temps.
Les critiques et les mauvaises langues aurons critiqué et re-critiqué Angel-A : un très mauvais Besson, un Jamel plutôt faiblard pour un rôle dramatique qui ne lui va pas, ... En regardant le neuvième film de Luc Besson, je savais donc à quoi m'attendre. Sauf que non, j'ai justement été surpris. Le film n'est pas mauvais, loin de là. Jamel Debbouze est plutôt bon pour un rôle dramatique même si le début du film le veut autrement. Au fur et à mesure que l'histoire se forme, on découvre son vrai talent. Il a enfin son contre rôle, après José Garcia dans Le Couperet et Benoit Poelvoorde dans Entre Ses Mains. Quant à Luc Besson. Sa réalisation est très paradoxale : après quelques faux raccords, il peut réaliser un fantastique plan séquence - devant le miroir - bourré d'émotion qui résume le film à lui tout seul. Il filme également les plus grands monuments de Paris. Il ne s'agit pourtant pas de Paris, Je T'aime mais bel et bien de Angel-A. Un film aussi complet mérite d'être vu et les critiques n'ont décidément rien compris : il y a Besson producteur et Besson cinéaste.
luc besson est l'un des réalisateurs les plus talenteux de sa génération. mais il en est le pire scénariste. on lui a dit 10000 fois mais il persiste et signe avec cette bluette qui se veut originale. c'est certes esthétique, mais c'est terriblement mal foutu et en aucun cas la magie n'opère, car là où il vaut émouvoir, besson fait hurler de rire. le ridicule ne tue pas, mais il fait angel-a.
Un tournage ultra-secret, un titre énigmatique pour ça ? Bon Un noir et blanc signé encore une fois par Thierry Arbogast, une photo de toute beauté certes. Jamel Debbouze signe pour moi sa meilleure performance et Dieu sait que je ne suis pas fan de lhumoriste que je mets souvent dans le même sac à noyer avec Eric et Ramzy, Omar et Fred et les autres dits « comiques » immatures et sans talent. Il se révèle néanmoins très juste dans les scènes démotion. Luc Besson, après avoir produit en série des chefs duvres (dans leur genre, rendez-vous sur Nanarland) tente de relever le niveau avec Angel-A. Une réalisation plus sobre et classique que dhabitude, notre belle capitale déserte très bien filmée mais un scénario laissé au placard (comme souvent chez Besson). On pense souvent à un Amélie Poulain en noir et blanc (avec le même Debbouze qui porte encore un prénom très français, Lucien chez Jeunet, André chez Besson) mais où lhumour est remplacé par la mièvrerie, la niaiserie. Rie Rasmussen possède beaucoup de charme et dentrain, bien que ses dialogues fassent un peu trop « je ressers mon texte que jai appris phonétiquement ». Angel-A est au final assez prétentieux, dune poésie clichée et très publicitaire, très bavard, dune morale assez enfantine (la beauté est à lintérieur, croire en sa bonne étoile, lamour cest bien (« cest mieux que la guerre » comme dirait Miss France) et au final aussi grotesque que risible. Besson revient donc à un cinéma plus intime certes, dune beauté plastique évidente mais dun humanisme de pacotille car trop bon enfant.
Quel tapage médiatique ! Le nouveau Besson jouit d'une impressionante campagne publicitaire qui pouvait inquièter quant à l'objet de toutes les questions, son Angel-A. Et bien pour ma part, j'ai vraiment apprécié. Déclaration d'amour pour Paris qu'il sublime grâce à de magnifiques plans, jouant avec les ponts parisiens, Besson laisse Jamel en roue libre, plutôt convainquant, assisté de la magnifique Rie, parfois maladroite avec son accent, mais charmante, et émouvante sur la fin. C'est véritablement la dernière demi heure qui donne une couleur particulière à cette jolie production française, rythmée par une brillante bande son, qui colle à cette ambiance, mélancolique, nostalgique... Le charme prend.
Comment expliquer le bonheur que Luc Besson a pu m'apporter pendant 1h30 de film en noir et blanc d'une emotion magique dans un Paris rayonnant, comment expliquer autrement que par des mots simple et banale l'éblouissant jeu des acteurs Jamel Debbouze et Rie Rasmussen qui a eu seul nous fais croire aux anges!Je dirais un seul mot pour expliquer le comment tout simplement IMPRESSIONANT!Le film a voir en cet fin d'année.
Cela faisait longtemps quon attendait la nouvelle réalisation Besson, lassés de devoir se contenter de productions souvent fort décevantes. Et elle est enfin arrivée, accompagnée de tous les médias pour être sur quon ne la loupe pas, et au final jen éprouve des regrets ! Des regrets davoir attendu si longtemps (7 ans quand même, un chiffre chanceux qui plus est) pour au final découvrir ce qui aurait pu être le premier film dun réalisateur méconnu, à croire que le passage du 20ème au 21ème siècle à bien eu un effet dévastateur, non pas sur les machines, mais sur Luc Besson. A la sortie de la séance, la première idée qui me soit venue en tête est que ce film serait vite oublié. Un scénario simpliste, pas des plus original et on ne peut plus prévisible, porté par deux acteurs qui nen sont pas vraiment. Si Jamel Debbouze essaie certes dapporter des nuances à son jeu, il est encore loin davoir le talent de certains, quant à Rie Rasmussen, peut être Besson aurait il du privilégier une actrice parlant un français compréhensible à un clone de Milla Jovovich qui ne connaissait rien à langue au début du tournage On espère alors que le film monochrome nous permettra de redécouvrir la plus belle ville du monde, mais hormis trois ponts en ombre chinoise il ne reste rien En conclusion, un film qui ne repose que sur les noms Besson et Debbouze présents sur laffiche, qui ne sont pas vraiment (ou plus) un gage de qualité.
J'ai longtemps hésité avant de mettre 4 étoiles car peut-être est ce beaucoup. Ce film est beau, les acteurs sont bons et l'ambiance trés douce. seulement il manque parfois d'arguments et d'impacte. ceci dit j'aimerai beaucoup le revoir pour mieux l'apprécier mais il sagit tout de mem d'un trés bon film (n'allez pas le voir si vous vous attendez à un besson avec de l'action). On reconnait bien le shéma du réalisateur (un peu trop peut etre) avec la rencontre de la femme grande, mince, blonde, et à l'accent particulier qui fait forcément craquer. On rit souvent, on éprouve de l'émotion, mais il nous reste au final un leger sentiment d'inaboutit....à revoir donc.