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oranous
142 abonnés
1 097 critiques
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5,0
Publiée le 27 juin 2007
Quand a moi j'ai été agréablement surprise. Je ne m'attendais pas a un super film et finalemnt il est vraiment bien. Le personnage de Debouzze est hyper attachant et je doit avouer que je m'y suis un peu retrouvée. Il a tout de même réussi a m'arracher une larme de l'oeil. smile.gif Je ne pensé pas que la fin serai comme ca, tant mieux...
luc besson exprime magnifiquement la redemption d'amour d'andré...les deux acteurs principaux joue brillament, l'accent de la belle angel-a fonctionne trés bien meme si parfois son français n'etait guere comprehensible. Plonger dans un Paris en noir et blanc surperbement filmer et mis en valeur. On passe 1h30 appréciable chaque seconde.
Un bijou. Besson filme ici un trio de personnage, un homme perdu, un ange déchu et enfin une ville sublimée : Paris. Le noir et blanc transfigure le tout rendant une histoire d'amour simpliste en perle de poésie pour esprits imaginaires. Un délice qui mèle les larmes aux sourires et dont on sort profondèment changé,heureux de se dire que le bonheur est parfois simple et ne nécéssite pas toujours un traitement trop cérébral.
Bien qu'aillant certains défauts (notamment celui d'aller un peu trop vite...) ce film n'est pas exempt de qualité. La qualité de la photographie en noir et blanc est très belle et s'inspire notamment de certains films expressionnistes des années 20. Jamel Debbouze dans un rôle proche de Woody Allen prouve encore une fois que c'est un grand acteur.
Bonne idée au départ, mais à mon avis mal exploitée: Besson n'est décidément plus ce qu'il était. La superbe plastique de Rie Rassmussen ne compense malheureusement pas le fait qu'elle joue très mal, et qu'on a beaucoup de mal à comprendre ce qu'elle dit à cause de son accent. Néanmoins, la scène de la cigarette n'est pas mal; mais "Angel-A" reste tout de même très décevant car très prévisible.
Avec cette histoire Angel-A aurait put etre un film interessant et remplis de belle chose. Mais Luc Besson à réaliser un film quelconque, qui ne se trouve pas, qui cherche sans cesse un semblant de trame scénaristique. L'on ce demande dans quoi nous sommes tombé et cherchont ce qui pourrait faire le charme de l'histoire. La personne de Jame Debouze permet à Angel-A de ne pas tomber dans l'oublie. Notament la scene ou il se regarde dans le miroir, un moment splendide qui nous fait oublier les autres moments du film.
Vu les critiques j'avais eu un peu peur. Et finalement c'est un film qui se laisse voir. Il n'y a rien d'extraordinaire mais il n'est pas pour autant mauvais. Jamel joue vraiment bien, il arrive à etre drole et serieux à la fois.
Luc Besson est un réalisateur qui fait de tout : des très bons films et des navets. Angel-A est d'ailleurs une pure illustration du navet type : un scénario parfait pour un court métrage mais beaucoup trop long et trop peu intéressant pour un long métrage (d'autant plus que le sujet est très mal exploité), des acteurs (sont-ils vraiment acteurs ??) : Jamel dans un rôle qui ne lui va pas du tout et Rie Rasmachinchouette, une allemande qui ne sait pas faire plus de mimiques qu'Arnold Schwarzenneger mais en plus ne sait pas aligner deux mots de français compréhensibles. Faut savoir choisir tes acteurs Luc !! Ensuite des pseudos scènes complètement ridicules, telle la scène finale digne d'une pub TV (et encore une pub c'est mieux fait), le noir et blanc qui ne se justifie que pour masquer les pitoyables et rares effets visuels. Bref un film qui ne tiens que sur les noms de Besson et Jamel, mais rien à l'intérieur, mais ça on s'en doutait. Où est passé la qualité de Léon ou du Grand Bleu ?? C'est à croire que ces films sont un miracle que même Besson est incapable d'expliquer : "J'ai fait des bons films ? Ca alors ! Bon alors j'vais tout de suite écrire Taxi 4 !". Heureusement, plus qu'un film avant la fin de sa carrière de réalisateur. C'est bien Luc, tu pourras pleinement te consacrer à faire d'autres navets !!
Alors... début : lent, trainouillant, plutôt laborieux...on peine à s'attacher aux personnages et puis soudain, au bout de dix minutes, la magie du Besson réal et scénariste opère : il nous emmène dans son histoire passant d'une situation plutôt convenue à un univers fantastique où les anges prennent place tout en gardant un certain lien avec la réalité, jusqu'au bouquet final où l'emotion submerge grâce au talent énorme de son interprète principal : Jamel, particulièrement juste, réellement émouvant et parfaitement crédible dans un registre inhabituel pour lui. De plus, l'image est sublime, le tournage en noir et blanc donne un charme fou et impose une ambiance particulière peu commune. A VOIR!!! PS : à noter l'étonnante Rie Rasmussen, particulièrement pétillante et naturelle...
Rien à dire! tellement consternant de voir jamel se ridiculiser comme il l'a fait. Et pourtant dieu seul sait comme je l'adore, mais là, le côté touchant, trè peu pour lui!
Touchant, émouvant... J'ai bien aimé les jeux d'acteurs, les images en noir et blanc, paris est magnifique. Jamel était très bon acteur, et Rie était adorable. Bonne surprise. A voir pour les fans de belles histoires qui n'ont pas peur du ringard (parole de gjeuns), et qui sont attirés par la profondeur des choses. Le film reste légé et passe très bien.
Jamel Debbouze incarne un loser fini qui, en tentant de se suicider, va rencontrer un ange plutôt décapant. Tourné en noir et blanc, "Angel-A" est un film assez sobre de Besson. Le duo inattendu entre Debbouze et Rasmusen fonctionne bien et se révèle assez attachant. Plusieurs séquences ont un humour assez réussi, reste quelques passages un peu trop excentrique. Distrayant néanmoins.
Ce film n'a pas d'excellentes critiques pourtant il est très bien. Premièrement pour le jeu en noir et blanc puis le personnage de Jamel est très attachant. L'esprit du film est féérique, c'est assez agréable. On ne peut seulement reprocher l'accent parfois peu compréhensible ou génant d'Angel-A.