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    Klimt
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    LUDOS
    LUDOS

    7 abonnés 186 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 18 août 2007
    Ruiz a voulu filmer Klimt comme une grande valse...Alors la caméra "valse" et pour le signifier fait des mouvements circulaires, sans cesse, ça donne le tournis tellement ça tangue !!
    Klimt est un peintre génial il méritait mieux que ce naufrage, mal filmé et du coup mal joué (le talent des acteurs n'est pas en cause, être filmé de cette façon doit dérouter !)..
    Le seul film qui soit parvenu à me donner le mal de mer !!!
    Anaxagore
    Anaxagore

    131 abonnés 135 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 3 mai 2007
    Voilà un film qui divise! Et qui est globalement plutôt mal coté... Pour ma part, c'est avec enthousiasme que je vais prendre sa défense, car il constitue à ce jour peut-être le meilleur film de Ruiz. Il est évident que «Klimt» (2006) est un ouvrage difficile d'accès. Il est nécessaire pour l'aborder de connaître au préalable l'oeuvre de Klimt, mais aussi la peinture viennoise de l'époque, de Schiele à Kokoschka. Il faut être informé de ce que sont la «Sécession» et la musique viennoise perdue entre les derniers reliefs des valses de la famille Strauss et les expérimentations avant-gardistes de la seconde école de Vienne. Il faut savoir qui est Wittgenstein et connaître un peu le contexte politique et social d'un empire austro-hongrois à la dérive. Pourtant, on ne peut pas légitimement reprocher tout cela au réalisateur chilien, à moins de faire de l'inculture une vertu. Mais là n'est pas l'essentiel! Tout ce contexte ne constitue en réalité que l'arrière-fond d'un magnifique hommage à Klimt, contexte qui nous est présenté selon la manière fantasmatique dont le peintre se le représente depuis son lit d'hôpital. Car Ruiz renoue à sa manière avec le projet de Watkins de nous reconduire aux sources subconscientes de l'acte créateur. Et, si l'oeuvre du peintre est assez peu présente, c'est en réalité tout le film qui constitue une peinture «à la manière» de Klimt, manifestant une incontestable pénétration de l'esprit de celui-ci. Il faut dire que le style plutôt chargé de Ruiz (lequel me dérange souvent dans ses autres films) est ici tout à fait en situation, rejoignant le goût pour la surcharge ornementale typique du peintre autrichien. En bref, un film somptueux qui, je l'espère, aura sa revanche...
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 1 janvier 2007
    Frustrant. Sans histoire ni lien entre les scènes, on est sans cesse perdu dans des images métaphoriques. Si encore on pouvait en retirer quelque chose, mais ce n'est pas avec ce film que l'on peut apprendre quoique ce soit de constructif sur Klimt.
    norman06
    norman06

    354 abonnés 1 679 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 2 novembre 2006
    De belles séquences oniriques, où l'on retrouve par instants le style baroque de Ruiz. Mais l'oeuvre souffre d'un scénario académique et de boursuflures stylistiques.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    Un film énigmatique dans son sens (on le qualifie de film-spirale), tout comme le personnage de Klimt, qui par moments reste mutique, ou semble ne pas vouloir choisir.

    Ce film effleure "en douceur" certains éléments biographiques : les querelles des peintres, Klimt apparemment assez détaché de cela, comme s'il savait qu'il n'imposerait pas son opinion ; l'ami Schiele qui est tellement caricatural et effrayant dans ses postures (un autoportrait animé !) qu'il en oublie d'être grotesque, mais au fond parle à peine.

    Certains "tableaux scéniques" m'ont plus marquée que d'autres, soit parce qu'ils permettent de ressentir la singularité de cette époque viennoise, soit parce qu'ils participent à l'onirisme en rompant l'organisation du réel, spatialement ou temporellement :
    la révélation que Klimt choisissait tous ses modèles juives (et leur faisait des enfants), ce qui lui valait une certaine protection bourgeoise (c'est ce qui est dit), l'humanisme à travers la rencontre avec les chinois, les expositions embourgeoisées et les relations humaines hypocrites, le soldat halluciné annonçant les nouvelles du front, les miroirs sans tain, la scène du passage (très belle scène)... et les multiples Lea... Le film tourne d'ailleurs autour de cette femme. Réelle ou fantasmée ?

    Ce film sophistiqué ne s'oubliera pas de sitôt, tant il joue avec l'imaginaire tout en s'arrêtant juste à temps. Cette construction est fascinante. A voir en VO sous-titrée ! Merci M. Ruiz !
    Misoramengasuki
    Misoramengasuki

    67 abonnés 399 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 13 février 2011
    Beau, intelligent… et pourtant d’un ennui profond. Le travail de Raoul Ruiz est à maints égards admirable: faire un film "à la manière de" Gustav Klimt n’était pas un mince défi, et dans l’absolu le réalisateur chilien s’en sort haut la main. Collages, jeux de miroirs, déstructuration de l’espace, flou savamment entretenu entre illusion et réalité... tous ces procédés familiers du grand peintre viennois se retrouvent à l’écran. Nous baignons ainsi dans un monde étrange, souvent déroutant, où l’œil et l’esprit sont stimulés en permanence. Techniquement, c’est de très haut niveau, intellectuellement c’est très impressionnant et visuellement c’est magnifique (grand sens de la composition et des couleurs, photographie de grande qualité...). Après "Le temps retrouvé", Ruiz prouve qu’il a des affinités particulières avec la Belle Epoque. Il semble trouver dans cette période de raffinement, de sophistication, de décadence feutrée et de bouillonnement artistique un cadre naturel à son langage cinématographique. A vrai dire, le seul vrai raté concerne la langue dans laquelle il est joué: dans cet univers très Mitteleuropa, l’anglais fait totalement décalé. Et puis surtout, en dépit de ses innombrables qualités, ce film NE PARVIENT PAS A M'INTERESSER ! J’admire, je respecte, je n’ai pas l’impression d’avoir perdu mon temps. Mais je n’accroche pas, et ça finit assez rapidement par me plomber les paupières. Impression que ça tourne à vide, qu’il ne s’agit que d’un brillant exercice de style. D’ailleurs, en sortant, j’ai éprouvé l’irrésistible besoin d’aller voir "OSS 117". Peut-être que je n’aime pas Klimt, finalement...
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 29 septembre 2006
    Nul. On apprend rien. J'ai même vu des gens partir avant la fin
    Planques Y
    Planques Y

    1 abonné 85 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    Une découverte, c'est bizarre, et envoutant.
    Un film à part dans ce qui peut se voir en ce moment.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    Klimt, ou comment faire un film sur un peintre sans évoquer son œuvre… L’Art Nouveau, la Sezession Viennoise, l’espoir pourtant légitime d’admirer quelques toiles au passage, n’y comptez pas. A peine en aperçoit-t-on quelques unes, atypiques ou curieusement délavées. C’est un festival de jolies femmes plus ou moins vêtues, d’onirisme, de fantasmes de Klimt -ou de Ruiz ?- On s’y perd entre Méliès, Schiele, Kokoschka, Hegel, des critiques, des ministres, des voyeurs, des mécènes qui auraient mérité plus d'intérêt, des scènes tournantes dans un café… Les acteurs sont tous bons mais que pouvaient-ils faire dans cette galère ? L’esthétisme tourne à l’ennui. Heureux autres spectateurs européens qui ont eu droit paraît-il à une version amputée d’une demi-heure !
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    Expérimental, trop prétentieux par son décalage fictionelle, de bonnes idées plastiques, qui révèle Klimt comme un vulgaire provocateur incompris , fanatique des femmes....Laissons place à la fiction , laissons! Ce montage très maladroit , est fait pour mettre le spectateur dans l'embarras( est ce un rêve ou une réalité ) montrer l'artiste vivant plus par ses rêves , que par ses réalités qui l'exaspère, le rend difficile à décrypter.

    Un film où l'impérialisme idéologique d'un réalisateur , écrase le minimum fourni d'un peintre si grand et où il y a tant à dire, au delà même de son sujet , il s'engouffre tellement , qu'il va jusqu'à ridiculiser tout une époque, tout un empire, tout un art. Honte à Raoul Ruiz.

    Ps: Le personnage de Shiele encore moins developper que celui de Klimt ( :( ) est extratordinaire sur cette représentation fantasmatique.On peut pas faire mieux.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    C'est un très beau film. La mise en scène y est magistrale, les décors des bijoux, le jeu des acteurs parfaitement maîtrisé. Le "parti-pris" onirique n'empêche pas la compréhension globale du film ni la précision dans les éléments biographiques et me semble approprié au point de vue d'un réalisateur qui voit, me semble-t-il, en Klimt un peintre gentiment halluciné à la recherche d'un objet vital et pictural changeant et se dérobant comme un serpent d'eau. Un bémol, si j'ose dire, pour la musique, souvent outrageusement appuyée.
    Youmna C
    Youmna C

    42 abonnés 351 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 29 septembre 2006
    Le visuel est si beau qu'on a du mal à décrocher. Mais suit-on vraiment ce qui se passe? John Malkovich attire toute l'attention comme d'habitude, et les décors, costumes… sont là pour qu'on ne se lasse pas. Mais on en sort sans ligne concrète du récit. Je reste dubitative…
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    Plongée hallucinante et métaphysique dans la personnalité du célèbre peintre viennois Gustav Klimt.
    Au crépuscule de sa vie, nous voilas embarqués dans un tourbillons composé d’une multitude d’instants de son existence , où se côtoient une foule de personnages réels imbriqués dans un imaginaire qui frôle la folie syphilitique !
    John Malkovitch, une fois encore, nous laisse pantois devant son jeu tout de retenue et de finesse, nous laissant deviner, plus qu’il ne montre, les divers états d’âmes d’un homme qui essayera toute sa vie, et avec quel talent ! , de créer un univers à la fois sublime et onirique reflétant à merveille ses rêves, ses folies et ses démons intérieurs !
    Quand le cinéma et le monde de la peinture s’épouse ainsi à la perfection, on ne peut qu’applaudir !
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 29 septembre 2006
    Raoul Ruiz à l'avantage de nous proposer quelque chose qui n'est pas formaté, dans un style figuratif, onirique, qui demande une vraie démarche au spectateur. Certains se poseront des questions, seront interpellés....soit. Mais quel ennuis ! et cet ennuis m'a étreint dès le générique ce qui est tout de même légèrement ennuyeux, si je puis dire....ça tourne, ça tourne, et alors ? On espère trouver le fil, un signe, un indice, quelque chose qui nous raccorde à Klimt et son histoire....mais non. On dérive dans les eaux obscures de l'inconscient de l'artiste, on s'éloigne et on s'indiffère. Dommage.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 29 septembre 2006
    Incompréhensible. Je pensais aller voir un film qui pourrait m'en apprendre un peu sur Klimt en tant que peintre, je n'ai vu qu'un délire de réalisateur qui se veut branché en mélangeant toutes les notions d'espace et de temps. On n'apprend pour ainsi dire rien du tout sur lui. Pire, on ressort de la séance avec l'impression que tous les peintres sont des malades mentaux. Une insulte à l'art. La moitié de la salle est sortie avant la fin, j'aurais du en faire autant. Nul.
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