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(...) "Klimt" [n'est pas] un film qui se donne au spectateur sans que celui-ci consente à faire son travail de spectetaur. Mais pour une fois qu'il est fait appel à son intelligence et à sa sensibilité dans ce qu'elle a de moins formaté, le spectateur peut sans doute faire un petit effort, non ?
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
(...) on peut considérer ["Klimt"] comme l'une des plus belles oeuvres de Raoul Ruiz (la plus belle, peut-être)-mais aussi comme le plus novateur des films que nous pouvons voir aujourd'hui.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Jamais solennel, toujours hypnotique et délirant, "Klimt" regorge d'idées et d'intuitions. Si l'on accepte ces partis pris kaléidoscopiques, excellent voyage hallucinatoire en perspective.
La critique complète est disponible sur le site Première
"Klimt" est une tentative de transposition à l'écran de la peinture de cet adepte de l'ornement byzantin, kitsch, anti-académique : Ruiz accumule pour cela les mouvements de caméra, les angles de prises de vues inhabituels, les débauches de couleurs, déplacements de décors, changements de lumière ...
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
(...) la plupart de ce qui fait l'intérêt de ce film ses divagations, fantasmagories, répétitions, résurgences, jeux de renvois et de miroirs, ses dédoublements et ses escamotages , tout a sauté au profit d'un récit linéaire et moins encombré. En un mot : normalisé.
Rien à voir avec ce qui pourrait être une biographie comme les affectionne le cinéma. Parce que c'est Raoul Ruiz qui est à la manoeuvre. Il dirige un John Malkovich maniéré dans une évocation surréaliste.
Entre costumes maginfiques, longs plans de couloirs et un Malkovich monolithique, le film lévitent au-dessus de son sujet, retrouvant du mordant dans certains dialogues, certains plans (...)
La critique complète est disponible sur le site Score
En se penchant sur les vingt dernières années de l'existence [de Klimt], Ruiz évoque non seulement le génie mais aussi l'hédonisme et l'homme à femmes.
(...) un film d'une beauté somptueuse, d'une extrême densité narrative, illuminé par quelques moments de pure grâce qui nous sauvent parfois de l'ennui.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
(...) "Klimt" ressemble à une maison vide que le cinéaste vient squatter avec ses lanternes magiques. Celles-ci ne peuvent même pas tourner librement, bridées par le perceptible cahier des charges d'un coproduction européenne (...)
Verbeux, ennuyeux, le scénario aurait pu aller plus loin quand on sait à quel point la période abordée (Vienne en 1900) est foisonnante. (...) Au final, un exercice de style assez vain.
L'Obs
(...) "Klimt" [n'est pas] un film qui se donne au spectateur sans que celui-ci consente à faire son travail de spectetaur. Mais pour une fois qu'il est fait appel à son intelligence et à sa sensibilité dans ce qu'elle a de moins formaté, le spectateur peut sans doute faire un petit effort, non ?
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Positif
(...) on peut considérer ["Klimt"] comme l'une des plus belles oeuvres de Raoul Ruiz (la plus belle, peut-être)-mais aussi comme le plus novateur des films que nous pouvons voir aujourd'hui.
Zurban
Avec "Klimt", Raoul Ruiz nous livre un film d'une beauté plastique suffocante, une rêverie qui nous fait pénétrer dans le mental même de l'artiste.
MCinéma.com
Un jeu de l'oie étrange où l'on se perd avec malice.
Paris Match
Eternel fantaisiste, Raoul Ruiz poursuit avec jubilation son combat contre le cinéma formaté.
Première
Jamais solennel, toujours hypnotique et délirant, "Klimt" regorge d'idées et d'intuitions. Si l'on accepte ces partis pris kaléidoscopiques, excellent voyage hallucinatoire en perspective.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Elle
On en sort étonné, intrigué.. . Et agacé !
L'Humanité
(...) on regrette un peu que, comme dans la plupart des tentatives de la sorte, ce qui est le plus escamoté soit le travail de l'artiste, la peinture.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Monde
"Klimt" est une tentative de transposition à l'écran de la peinture de cet adepte de l'ornement byzantin, kitsch, anti-académique : Ruiz accumule pour cela les mouvements de caméra, les angles de prises de vues inhabituels, les débauches de couleurs, déplacements de décors, changements de lumière ...
Libération
(...) la plupart de ce qui fait l'intérêt de ce film ses divagations, fantasmagories, répétitions, résurgences, jeux de renvois et de miroirs, ses dédoublements et ses escamotages , tout a sauté au profit d'un récit linéaire et moins encombré. En un mot : normalisé.
Ouest France
Rien à voir avec ce qui pourrait être une biographie comme les affectionne le cinéma. Parce que c'est Raoul Ruiz qui est à la manoeuvre. Il dirige un John Malkovich maniéré dans une évocation surréaliste.
Score
Entre costumes maginfiques, longs plans de couloirs et un Malkovich monolithique, le film lévitent au-dessus de son sujet, retrouvant du mordant dans certains dialogues, certains plans (...)
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
En se penchant sur les vingt dernières années de l'existence [de Klimt], Ruiz évoque non seulement le génie mais aussi l'hédonisme et l'homme à femmes.
aVoir-aLire.com
(...) un film d'une beauté somptueuse, d'une extrême densité narrative, illuminé par quelques moments de pure grâce qui nous sauvent parfois de l'ennui.
Cahiers du Cinéma
(...) "Klimt" ressemble à une maison vide que le cinéaste vient squatter avec ses lanternes magiques. Celles-ci ne peuvent même pas tourner librement, bridées par le perceptible cahier des charges d'un coproduction européenne (...)
Fluctuat.net
(...) ça tourne pas mal chez Raoul Ruiz. Il réussit même à donner le tournis, voire la nausée, dès le générique.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Journal du Dimanche
Verbeux, ennuyeux, le scénario aurait pu aller plus loin quand on sait à quel point la période abordée (Vienne en 1900) est foisonnante. (...) Au final, un exercice de style assez vain.
Les Inrockuptibles
Le réalisateur chilien franchit la frontière ténue qui sépare virtuosité ésthète et frénésie formaliste.
Télérama
On s'emmêle les pinceaux.