Mon compte
    Lady Chatterley
    Note moyenne
    3,0
    1499 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Lady Chatterley ?

    298 critiques spectateurs

    5
    82 critiques
    4
    68 critiques
    3
    15 critiques
    2
    40 critiques
    1
    36 critiques
    0
    57 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 21 août 2007
    De la littérature au cinéma. Oeuvre de qualité assurément, on devine une énorme application de tous les participants mais cet éveil à la sensualité n'a produit chez moi qu'un profond sommeil.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 26 août 2007
    La Constance de l'amour champêtre au gré du cycle...de la nature.
    En dehors des chemins balisés, Pascale Ferran ("Petits arrangements avec les morts", "L'âge des possibles") balade sa caméra le long des sentiers perdus, qui s'enfoncent au plus profond de la forêt avoisinant la majestueuse demeure de Lady Chatterley (Marina Hands). C'est dans ce recoin que Constance (Lady Chatterley) regoûtera aux saveurs d'une vie, qu'elle croyait perdues à jamais, en la personne de Parkin (Jean-Louis Coulloc'h), un garde-chasse rustre, du moins au premier abord... mais les apparences sont souvent trompeuses. Son quotidien morne d'aristocrate l'exténue, d'autant plus que Clifford (Hippolyte Girardot), son mari, a perdu l'usage de ses jambes, durant la Grande Guerre, mais plus grave encore, celui de son organe procréateur, tant désiré, et indispensable pour la pérennité de sa descendance. Les interminables conversations masculines, dans le salon, finissent par la harasser. Les déconvenues de la guerre sont le moindre de ses soucis, à un point tel que sa libido ne demande qu'à se révéler. La beauté de la nature, au rythme des saisons, va lui réveiller les sens, au ralenti depuis belle lurette; et les arbres cachent la forêt, dit-on, d'où va renaître, de ses cendres, ses plaisirs sensoriels, sensitifs, sensuels... avant qu'ils ne deviennent sexuels. Belle revanche sur les incohérences d'une vie toute tracée qu'elle transforme en existence... revancharde. Ses plaisirs charnels et la compassion de ce coeur d'artichaut, par sa compréhension d'écoute, masqué sous une soi-disant carapace impénétrable, sont en parfaite adéquation. Les raisons du coeur auront raison... en permettant à ces deux êtres, catalogués dans une caste qu'ils répugnent, de retrouver le vrai sens de la vie. En adaptant le roman universel de D. H. Lawrence, Pascale Ferran met en images l'antithèse de "Madame Bovary" de Flaubert, en clamant que la félicité est accessible à tout un chacun, encore faut-il prendre sa destin
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 14 août 2007
    J'ai visionné dernièrement ce film en DVD car je l'avais loupé en salle.
    Sur la forme, j'ai trouvé que le film était trés lent, trop long et trop contemplatif.
    Sur l'histoire en elle même, nous assistons à l'éveil sensuel d'une aristocrate anglaise dans les années 20 auprès du garde-chasse de son mari. J'ai trouvé qu'il n'y avait pas d'intrigue, pas d'enjeu dramatique.
    Sur le jeu des acteurs, malgé la beauté de Marina Hands, je suis resté stoïc devant les scénes d'amour répétitives. Je pense que ceci est dû au jeu de Marina qui était assez inexpressif (sciemment ?).
    Enfin, j'ai trouvé les dialogues trés plats et même risibles sur la fin du film.
    Au final, j'ai été trés déçu par ce film récompensé à Cannes et qui a reçu une critique dithyrambique que je ne m'explique pas !!!
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 8 août 2007
    Consternant. Un film très long, très lent et d'un mortel ennui. Le romantisme est digne d'un enfant de six ans du siècle dernier. C'est le premier film où j'ai eu envie de partir avant la fin. C'est aussi la première fois où j'ai eu une crise de rire tellement c'était grotesque. Un vide abyssal.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 4 août 2007
    Non, je suis désolée, c'est trop lent tout ça, je n'ai jamais eu le courage de lire le livre qui traine sous mes yeux depuis que je suis petite et me voilà déçue, je crois que ça manque d'érotisme, par contre, l'approche est là, bien là au moins les 3 1ers quart du film
    En bref, je suis contente de l'avoir vu pour ma culture personnelle mais je ne le conseillerai pas à mes amis et je ne le reverrai pas
    loulou451
    loulou451

    120 abonnés 1 503 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 2 août 2007
    Une très belle adaptation du roman de D.H. Lawrence. Dans le rôle de Lady Chatterley, Marina Hands est tout simplement formidable, éblouissante de vérité quand, face à elle, le méconnu Jean-Louis Coulloc'h campe un Parkin un brin trop stéréotypé. Visiblement, celui-ci ne semble pas très à l'aise dans la peau de ce garde-chasse aux idées larges. Parfois pataud, maladroit (la scène finale souffre hélas de son manque de conviction, Jean-Louis Coulloc'h peine à se hisser sur les sommets où trône Marina Hands. Dieu merci, la réalisation est sans faille, épousant parfaitement les chapîtres du film. Cependant, on aurait pu attendre un peu plus de nerfs, ce je ne sais quoi qui permette à d'autres réalisateurs (Jane Campion par exemple dans le même style) d'allier émotion et intrigue. Bref, contrairement à la critique générale, la mienne restera mi figue- mi raisin.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 1 août 2007
    Un très grand film burlesque, vraiment. Je n'avais pas autant ri au cinéma depuis longtemps - mais ça ne devait pas être l'intention de la réalisatrice. Le comble de ce film, ce sont ses dialogues, d'une pauvreté effarante : la Lady anglaise s'exprime comme une bobo parisienne. Une dégoulinade de bons sentiments à la mode. En revanche, ce film me rend très inquiet sur l'état mental de la critique cinématographique française.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 23 juillet 2007
    C'est beau l'émancipation d'une femme. Mais parfois, c'est long, trèèès long même. On risque de s'endormir...
    lara cr28
    lara cr28

    75 abonnés 123 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 avril 2018
    Un film sensible et sensuel où le spectateur est invité à une touchante initiation charnelle. Le jardin d’Eden.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 4 juillet 2007
    Lent, rasoir.... et aussi long que le discours (lent et rasoir d'ailleurs) lu par Pascale Ferran lors des Césars.... (et puis ces voix off insupportables et inutiles : la cerise sur le gâteau...). Au secours Visconti, revient !!
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 3 juillet 2007
    Un pur navet. A éviter absolument. 2h38 d'ennui. Des longueurs, des longueurs pour juste une histoire de jambes en l'air. pas d'émotion dans ce film. Les acteurs sont mauvais. l'amant de Lady Chatterlay est en plus immonde.

    Bref, passer rapidement à autre chose.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 29 juin 2007
    Un joli film! Ses césars sont mérités! C'est l'histoire d'un bel amour raconté avec délicatesse et sensualité, le narrateur ou la narratrice (suivant les passages) raconte l'histoire en même temps que défilent les images. On goûte ainsi à la saveur des mots, ce qui augmente notre acuité.
    Santu2b
    Santu2b

    249 abonnés 1 785 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 9 novembre 2010
    J'avoue que je m'y suis beaucoup ennuyé. Quoi qu'on en dise, le plus gros handicap du film est sa longueur (2 heures 40 de va et viens entre cabane et chateau...c'est pas toujours envoûtant...). Une seule chose nous fait tenir jusqu'au bout : Marina Hands qui s'impose comme l'une des actrices françaises les plus douées de sa génération. Ce qui est intéressant ausi est l'alliance opérée par Pascale Ferran entre la nature, le désir et la poésie qui transforme Lady Chatterley en un langage des plus fins et des plus élégants. Mais ce joli assemblage est cadré dans un monde terne et très vieillot. Cela divisera pas mal de monde.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 27 juin 2007
    Un excellent film pour moi ! Je n'avais pas vu le film à sortie. Et puis Arte a eu la géniale idée de le diffuser en version longue. Dès les premières minutes j'ai été captivée par l'histoire de Constance, même si je n'imaginais pas Lady Chatterley sous les traits de cette actrice aérienne. Dans mon souvenir, la Constance de D.H.Lawrence est une femme forte et imposante... Va falloir que je le relise !
    De même que la nature revient à la vie après l'hiver, Constance découvre les plaisirs charnels qu'elle n'a jamais connus avec son mari. C'est un film très sensuel, délicat, lent qui permet de comparer Constance à une fleur qui fleurit doucement jusqu'à s'épanouir pleinement. Jour après jour, acte après acte, Constance découvre la sensualité, le plaisir, le corps de l'autre jusqu'à atteindre la liberté.
    Aucun voyeurisme, aucune vulgarité, aucun malaise ressenti, tout est subtil au contraire. Un film très beau dans les paysages, les lumières.
    Mention spéciale à Hippolyte Girardot qui campe un très convainquant aristocrate anglais sûr de sa position sociale (et de son pouvoir) et handicapé touchant.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 26 juin 2007
    Lady Chatterley est un film lent, doux, sensuel, tendre et fiévreux, un travail d'orfèvre, minutieux, qu'il ne faut surtout pas brusquer. C'est pourquoi certains d'entre vous diront qu'il est pire qu'un flacon de somnifères, que rien ne se passe, que c'est l'ennuie mortel et qu'à part coucher ensemble une bonne dizaine de fois dans le film les personnages ne font pas grand chose. Mais ils n'auront pas vu que le film est une longue métaphore de la vie qui renaît petit à petit dans le coeur de Constance ainsi que dans celui de son garde-chasse, que tous deux ils apprendrons à aimer, à se toucher, à se découvrir, à s'ouvrir. Amour libérateur qui fait de nos deux héros des Adam et Eve évoluant au milieux d'une nature généreuse et symbole de la vie, de la fécondité, de la renaissance. A aucun moment, les scènes d'intimité ne sont vulgaires, elles sont pudiques tout en ne cachant rien, jusqu'à arriver à la scène pillier, lorque les deux amants, nus se recouvrent de fleurs : innocence, amour, beauté... Peut-être Pascale Ferran a-t-elle réussi à faire passer de sa sensibilité de femme à travers son oeuvre, une réussite !
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top