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    Lady Chatterley
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    298 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 17 octobre 2019
    J'ai vraiment , au-delà du film, apprécié l'effort qu'il constitue, pour réussir à traiter un sujet et un thème aussi tabou avec autant de beauté, de pureté, de naturel, de force profonde, et encore, avec un regard totalement neuf pour aborder ce célèbre roman. On est dans l'économie de moyens et d'effets (hormis le cadre sublime) pour laisser toute la place et la liberté au sujet fondamental de l'oeuvre, qui n'est pas la passion mais plutôt la fusion des âmes, qui va bien au-delà de la seule fusion des corps et s'affranchit des limites sociales. Certes c'est inhabituel et d'aucuns se seront sentis frustrés de devoir ressentir et penser, quelque part, par eux-mêmes, de n'avoir pas d'autre choix que de se projeter et s'interroger sur son propre vécu, sans les fioritures filmiques habituelles qui guident et "assistent" le spectateur dans une expérience trop orchestrée et une profusion d'effets. Attention, il ne s'agit pas d'un film "naïf et plein de bons sentiments", il s'agit bien d'un film qui touche au sublime et à la profondeur, toutes choses qui demandent du temps, et auxquelles notre société n'est pas ou plus habituée. Ce n'est pas du tout un film ennuyeux pour autant, il laisse toute la place à la vie, qui est ce qu'il y a de moins ennuyeux qui soit, il en exprime toutes les petites subtilités quotidiennes qui en font le charme infini.On trouve donc dans ce film ce qu'on y amène, et ce qu'on est capable de ressentir et de mobiliser en soi, à condition d'oser y porter un regard neuf, en rapport avec la pureté originelle, l'Eden. Qui sait, ce film éveillera peut-être des consciences et des vocations, rendra certains, qui oseront se mettre à nu, plus vivants et profonds !
    Katarzyna B
    Katarzyna B

    2 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 16 octobre 2019
    L'amant devrait être beau, pour qu'on puisse croire à cet amour fou, contre les convenances. Je croix que d'autres versions ont meilleurs casts.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 10 mars 2018
    Un film très proche du livre, que j'ai adoré pour cette raison même. Mais aussi pour ses lumières, pour son jeu d'acteurs, tous, superbes, pour la présence et l'omniprésence de la nature, en nous et autour de nous : généreuse, cruelle et d'une beauté stupéfiante. Avec le surgissement de l'amour, qui trouve difficilement sa place dans le monde des hommes. Un film déroutant par son rythme, ses coupures, son invitation à la profondeur.
    konika0
    konika0

    27 abonnés 778 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 août 2017
    La campagne, c’est la nature et la nature, c’est la vie et la vie, c’est l’amour. Dans Lady Chatterley, adaptation française du roman de Lawrence, Constance s’ennuie ferme dans son manoir avec son bonhomme, riche industriel impotent et surtout pas très Juanita Banana. Un jour, Constance part en balade dans son domaine et rencontre le garde-chasse. De là, naît une histoire d’amour et un magnifique éveil à la sensualité. Il y a tout au long du film un parallèle entre l’apprentissage de Constance dans son rapport au corps et le rythme des saisons et de la nature. Le film rattache l’environnement naturel au différentes sensations que l’on éprouve à son contact si bien que la relation intime entre les deux personnages paraît aussi naturelle que le décor qui les entoure. De toute évidence, la nature et l’isolement sont les ingrédients indispensables de leur histoire. S’ils font le vide autour d’eux, c’est parce qu’ils ont trouvé l’autre, celui qui efface le superflu. Et si c’était ça aussi la campagne ? Se débarrasser de ce qui encombre le corps et l’esprit pour retrouver l’essentiel ? Alors si vous êtes toujours ok pour les ébats initiatiques dans les fourrés, Lady Chatterley est LE film qu’il vous faut.
    Estonius
    Estonius

    3 343 abonnés 5 452 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 11 mars 2016
    Il faut toujours faire la part des choses. Le film a été multi césarisé, il ne le méritait pas, mais quand on voit la pauvreté de la sélection, cette victoire par défaut finit par s'expliquer. La vérité sur ce film se trouve quelque part entre une critique dithyrambique, mais non argumentée sérieusement d'une part et le rejet viscéral de quelques coincés d'autre part. Alors oui, le film a des défauts, il est trop long, un certain nombre de digressions auraient pu être évité (genre la panne de la chaise à moteur) d'autres sont assez gauches (le fleurissement mutuel), et puis il y a l'acteur principal, il passe assez bien tant qu'il fait le taiseux, mais quand il se met à faire dans la tirade à la fin, il perd complètement pied. Le film a aussi ses qualités formelles et notamment sa photographie remarquable, Mais en fait le film n'est tenu que par l'actrice principale, fabuleuse Marina Hands, jouant subitement de son regard, de sa bouche, de son corps et délivrant une performance remarquable, magique… mais tout son talent et sa beauté ne sauront sauver les défauts du film
    Arnaud R
    Arnaud R

    89 abonnés 826 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 29 juin 2015
    Un très beau film romantique sur l'émancipation d'une femme bourgeoise engluée dans son quotidien et dans un mariage qui ne lui apporte plus le bonheur. Une magnifique histoire d'amour plein de sensualité à travers des scènes de sexe assez réaliste, pas trop surjouées mais pleines de tendresse.
    Diszi
    Diszi

    1 abonné 70 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 20 janvier 2015
    Je n'avais pas lu le livre .Comme pour beaucoup de personne j'avais en tete que c'était un livre sulfureux voir pornographique .
    En fait ,une très belle histoire d'amour entre deux personnes issu d'un milieu sociale différent.
    Marina Hands nous charme avec son sourire ,quant a son jardinier il me fait penser à Marlon Brando.
    Les scènes de nus ou d'amour sont reconstitués avec humour ou en très belles scènes comme la course poursuite sous la pluie dans la végétation.
    guifed
    guifed

    64 abonnés 286 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 décembre 2014
    C'est le genre de films qui peut agacer une grande partie du public. C'est lent, l'histoire n'avance pas, le langage est soutenu et peut sembler guindé, "bobo". Mais force est de constater qu'il y a, effectivement, bien plus à en tirer. Et ce qui me révolte, c'est qu'effectivement ce sont seulement les bobos qui vont apprécier. Ou prétendre apprécier. Mais je suis certain que tout un chacun peut apprendre à apprécier ce genre de spectacles. Vous reprochez aux élites leur prétention à avoir des goûts plus fins et leur rejet de la culture populaire? Alors ne faites pas pareil: ouvrez-vous bon sang, laissez parler votre curiosité, et explorez le cinéma d'auteur. Donnez-vous au moins la chance d'apprécier ce que vous ne connaissez pas. Laissez de côté vos préjugés. Il est possible que vous n'aimiez pas, tout comme bien des bobos mais qui ne se l'avouent pas parce que, effectivement, et ça je ne peux pas le nier, ça fait bien d'aimer ce genre de films.
    Premièrement, oui le langage est soutenu, mais il ne faut pas oublier que c'est une adaptation d'un roman, dont l'histoire se déroule au XIXème siècle et dont les personnages sont des nobles de la plus pure espèce. C'est une question de cohérence et de vraisemblance. Pas du tout d'élitisme ou de prétention.
    Certains déplorent le manque de rythme. Allez lire le livre, et dites-moi s'il y a plus d'action ou de rythme que dans le film. C'est une histoire d'amour, les gars, n'espérez pas des rebondissements à chaque quart d'heure, ni de péripéties en veux-tu en voilà. Et dire qu'il y a des lenteurs est faux. Car si on s'inscrit dans l'esprit du film, si on cerne tranquillement les questions abordées et le propos du réalisateur et de l'interprétation qui en découle, on trouve en fait un intérêt à chacune des scènes. Alors oui, après, tout ne nous est pas servi sur un plateau. Quel est son propos? Il y en a plusieurs. Déjà, c'est une histoire de domination. Il est clair qu'à cette époque, le noble domine l'ouvrier. Ici, le garde-chasse n'imagine même pas que cet amour soit réciproque, au départ. La seule explication plausible, c'est que la Lady l'utilise pour assouvir des besoins qu'elle son mari ne peut plus assouvir. Et la Lady, elle, de même. Elle a toujours été habituée à servir les besoins sexuels de son homme. Elle se satisfait de procurer du plaisir au garde-chasse. Chacun pense être soumis, et s'en satisfait. Puis, les jours passent, le désir grandit, l'affection avec, l'amour bientôt; tous ces sentiments finissent par renverser ces carcans sociaux. Et il est passionnant de voir comment le réalisateur, à travers les prétendues lenteurs, filme cette évolution. Et comment les acteurs l'interprètent. Autre propos, comme bien des romans du XIX, mettre en lumière les tiraillements de la noblesse à se diluer dans la classe bourgeoise grandissante. J'aime un bourgeois, dois-je pour autant sacrifier de mon sang et de ma lignée? Mes sentiments l'emportent-ils sur mon honneur? Est-ce égoïste que d'aimer? Ces questions sont malgré tout d'actualité, même si les références ne sont plus les mêmes. On ne parle plus en termes de classes sociales (encore que..) mais plutôt en termes de revenus. Enfin, la place de la nature. Qu'est-ce qui leur permet d'exprimer librement leur amour? En serait-il de même s'ils n'avaient pas cet havre de tranquillité au milieu du domaine de la Lady? La nature est le seul théâtre possible de leurs sentiments, en dehors, ils se heurtent encore à l'impossibilité sociale.
    Certaines scènes sont tout simplement magnifiques. Pour en citer une, celle où Lady Chatterley s'apprête à quitter le domaine avec sa soeur, et où elle ressent l'irresésitible envie d'étreindre une dernière fois son garde-chasse; et comment faire passer cette émotion? Couper tous les sons, sauf celui des oiseaux, de la nature, la nature qu'elle a découvert avec cet amour bestial, cet amour torride et sauvage à contre-courant de sa vie plate et anesthésiée. A ce moment, elle est sourde à toute autre raison que celle oiseaux. Ces oiseaux qu'elle n'entend jamais mieux qu'entre les bras de son amoureux.
    Ce film est une magnifique histoire d'amour, l'amour en tant que renaissance, en tant que naissance tout simplement, en tant que reconnaissance aussi. En quoi diffère-t-elle de toutes celles qu'on voit partout dans le cinéma? Elle est un retour aux essences de l'amour: le désir, l'affection qui en découle, l'obsession. La transcendance. Lady Chatterley c'est un film transcendant pour une histoire de transcendance
    willycopresto
    willycopresto

    130 abonnés 1 352 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 30 août 2014
    Ce film est interminable : 2h48 ! La réalisatrice, Pascale Ferrari, qui n'avait pas tourné depuis longtemps, aurait-elle cherché à battre un record d'endurance ? Malheureusement, que de longueurs dans ce film !
    Aurait-elle cherché aussi à renouer en 2006 avec les films érotiques de jadis qui révolutionnaient le cinéma? Car rien de l'anatomie de Marina Hands, et Jean-Louis Coullo'ch n'aura plus de secrets pour le spectateur de ce film. Ces comédiens débutants qui jouent dans les deux rôles principaux étaient à l'époque inconnus du public : elle est pleine d'audace et ne refuse rien au film, lui qui a peu tourné semble toujours hésitant, sur le qui-vive. C'est ce que voulait la réalisatrice.
    Ce film "so-british" est en fait une coproduction franco-belge, et a été tourné en Corrèze ainsi qu'au château de Monthléry.
    A son crédit, la photo est superbe, et entre autres distinctions, a remporté un des cinq Césars que "Lady Chatterley" s'est vue attribuer en 2007. On se croirait revenu au temps de David Hamilton.
    Si le film n'a fait que 400 000 entrées en salles, il a permis à la chaîne TV Arte de dépasser son record d'audience télé avec près de 2 millions de spectateurs !
    willycopresto
    cinono1
    cinono1

    301 abonnés 2 055 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 juin 2014
    Malgré le coté désuet de l'histoire, Pascale Ferran a filmé la relation adultère de Lady Chatterley avec modernisme et classicisme. Tout y est fluide, les personnages s'inscrivent dans leurs environnements avec naturel. La direction artistique est quasi-parfaite. Sans dramaturgie excessive, mais juste portés par leurs sentiments, les personnages s'abandonnent dans un mélange de sensualité et de pudeur, ce qui n'était pas si facile à obtenir et c'est la réussite de Pascale Ferran d'avoir donné du naturel et de la fluidité à ces personnages du début du 20° siècle. De bons dialogues, j'ai aimé le "tant que votre coeur restera doux, vous penserez à moi" de Marina Hans.A coté des deux acteurs principaux , très importants dans la réussite du film (dont une merveilleuse Marina Hans), il faut souligner la prestation d'Hippolyte Girardot qui donne une belle touche de dignité à son personnage plutot antipathique.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 5 mars 2014
    J'ai lu le roman de ce et le film de Ferran en est sa parfaite transcription. J'ai particulièrement apprécié ce qu'elle a fait de la description de la nature omniprésent dans le livre. Enfin des corps nus, bruts, imparfaits mais terriblement libres. Loin de tout ce formalisme...Il y a quelque chose de très animal dans ce film.
    Bref, c'est beau, c'est touchant, on se plonge dans la vie de Constance et on s'éveille en même temps qu'elle à la vie.
    surfnblue
    surfnblue

    64 abonnés 1 576 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 10 février 2014
    Le classique de la tromperie, un mari impuissant mais riche, un jardinier bel homme mais pauvre, l'argent avec l'un le plaisir avec l'autre, trop facile pour s'en priver.
    La scène sous la pluie est sympa.
    Un peu à l'eau de rose quand même.
    Marco67
    Marco67

    8 abonnés 237 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 31 décembre 2013
    Bien malgré la longueur du film (mais c'est devenu un mode ces dernières années... ;-( ).
    Le film arrive à traiter le sujet de la passion et de l'adultère sans tomber dans le voyeurisme ni la censure ce qui est déjà en soi un exploit; un gros plus pour le personnage de l'amant qui est pour une fois traité avec beaucoup de finesse sans se contenter de présenter un homme uniquement pour son rôle sexuel, mais aussi avec de la passion retenue, de la tendresse, des doutes, de la sensibilité... bref, un vrai homme quoi... le personnage de Lady Chatterley est un peu moins subtil mais reste crédible ; quelques belles scènes émouvantes ou fantaisistes... bref, un film à voir si vous avez le temps...
    Legid
    Legid

    36 abonnés 572 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 14 décembre 2013
    César du meilleur film 2007, Lady Chatterley est un film austère au premier abord avec sa longueur (2h40 quand même) et son thème pas vraiment grand public. Un film typique du festival de Canne !
    Et pourtant passée cette premier impression, le film est une bonne surprise.
    La réalisation contemplative et toute en retenue permet aux acteurs d'exprimer l’étendu de leur talent. Le jeu de Marina Hands et Jean-Louis Coulloc’h est d'une grande justesse et d'un naturel confondant. Leur prestation est d'autant plus remarquable que les différents scènes de nu ne provoquent aucune gène au spectateur non prévenu. Tout semble simple et naturel.
    En tant que film d'auteur, Lady Chatterley pourra en rebuter certains mais ce serait une erreur de ne se fier qu'à ce simple apriori.
    hubertselby
    hubertselby

    68 abonnés 436 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 octobre 2013
    Le film traite du désir féminin dans l'Angleterre du début du XX siècle. ce voulait libérer la femme de la cellule capitonnée dans laquelle la société la maintenait contre son gré. C'est une libération et c'est ce que retranscrit le film. Le titre d'une des éditions du livre est " L'amant de Lady Chatterley ", la version de Pascale Ferrand recentre notre Lady au centre de l'histoire en faisant disparaître l'amant au seul profit de cette femme qui reprend une bouffé d’oxygène dans les bras de cet " homme des bois ".
    Les mécontents auront attendu du cul avec impatience en vain. Ce n'est pas le propos de la réalisatrice. Ici, on traite de l'épanouissement ! Clifford dans son état est une prison pour lui-même est son mal-être rejaillit sur son épouse, il l'enferme elle aussi et grâce à cet homme de la nature, cet ours mal léché elle goutte aux plaisirs simples de la vie, aux plaisir de la tendresse pudique et à la chair.
    Ils sont tous les deux assez maladroits, tel des enfants se découvrant et se blessants par les mots qu'ils échangent ne sachant pas les choisir dans leur transgression mutuelle.
    On assiste aussi à la confrontation des classes, prolo contre bourgeoisie mais Lady n'en fait pas réellement partie, elle est au-delà de ça, elle est dans la découverte un peu naïve du corps masculin, certains diront que ça lui donne un côté bébête, moi j'y vois du touchant.
    Les plans sur la nature sont longs et rappelle cette douceur de vivre, ce jardin d’Éden (la référence biblique saute aux yeux) qu'incarne la forêt les protège du monde extérieur et du carcan de la société.
    Les deux amants comédiens personnifient la bonté et la douceur, j'apprécie cela. Hippolyte Girardot est un parfait sagouin, difficile de porter de la sympathie dans son cocuage...
    La scène de la pluie est drôle, ça donne un côté hippie à cette dame du monde, ils retombent en enfance tous les eux, ils redécouvrent qu'ils sont les enfants de la nature, on est pas loin de Rousseau...
    Mais la Lady renoncerait-elle à son statut social et à sa fortune si on le lui demandait pour vivre avec son garde chasse ?
    Parce que son bon plaisir réside tout de même dans le fait qu'elle puisse s'échapper à sa guise et retrouver un lit confortable le soir avec un dîner raffiné qu'elle n'a pas eu à préparer ?
    Oh je suis peut-être médisant, on sent qu'elle en est tombé amoureuse de son Parkin, j'allais lui donner la note " bien " mais dans un dernier élan de sympathie je lui mets la note " très bien " grâce aux derniers échanges de dialogue et au fait qu'ils laissent planer le doute !
    Bref il est question de disposer de soi-même à sa libre guise pour une femme amoureuse.
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