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    Lady Chatterley
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    298 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 11 janvier 2007
    Un tres beau sujet filmé avec une grande finesse. Des comédiens étonnants, particulièrement cet inconnu qu'est Jean-Marie Coulloch.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 6 janvier 2007
    Tres poetique, ce film m'a donné trés envie de lire le livre. Les comédiens sont trés charismatiques et je ne sais pas comment la mise en scène fait pour nous emporter durant toute la durée (assez longue) du film car tout en étant invisible et est trés efficace.
    cristal
    cristal

    177 abonnés 789 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 30 septembre 2012
    Normal que les critiques trouvent ce film exceptionnel.Normal qu'il fasse la cour au jeu d'acteur de Marina Hands,lèvres légèrement entrouvertes.Visiblement,la presse ne s'arrête pas d'aller à l'encontre des mauvais films,et vice versa.Je vais essayer de faire très court,car je suis énervé: "lady chatterley",dont la place d'un spectateur innocent qui croit les critiques s'élève à 7,50 euros en moyenne,est un film dont il faut urgemment stopper la distribution.Comment ose-t-on passer un film aussi prétentieux,nombriliste,chiant et tarte à la crème?Pascale Ferran se fout-elle de la gueule du monde?Connais-t-elle le cinéma?"lady chatterley" est-il un gag?Est-il seulement digne de passer en salles?Je suis absolument indigné par ce film qui prend le spectateur pour un con,et fait danser deux moineaux découverts dans une pluie de pétales.Ca se veut pudique,c'est infamement con et superficiel,d'un vide qui ferait passer "la tourneuse de pages" pour du Lynch.Et comment des criminels peuvent-ils écrire ces lignes(je cite:les inrockuptibles et libération,parmi tant d'autres):"Orfèvrerie du découpage, majesté des durées, incandescence des émotions: un film magnifique et fiévreux." "(...) un film où chair et sentiments vont au-delà de la seule lecture érotique du roman de D.H. Lawrence. (...) une oeuvre plus étoffée, plus mûre et ambitieuse, plus taraudante aussi que l'ordinaire de la production hexagonale (...)". Oui,les critiques ont un beau point commun avec Pascale Ferran,ce sont des cons qui nous prennent pour des cons.Cette critique risque de ne pas être publier parce que sûrement "choquante",mais en attendant,je trouve odieux de sortir un film si long,interminable,vomitif de bétise et de non-dits à ravaler.C'est ça qui est choquant.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 31 décembre 2006
    Une vraie belle histoire d'amour où la nature ne fait pas le décor, elle participe à la découverte du plaisir pour les 2 amants : un homme des bois et cette si jolie châtelaine qui s'ennuie dans son chateau auprès d'un mari qui ne peut la combler. Mention très bien pour les 2 acteurs, formidables.
    fredhiver
    fredhiver

    28 abonnés 152 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 21 décembre 2006
    Le roman de D.H. Lawrence, écrit en 1928, dut être imprimé en Italie ! Lorsqu’il sortit enfin en Angleterre en 1960, on fit un procès à son éditeur (qu’il gagna). Le romancier avait osé employer un mot de quatre lettres qui devint plus tard aussi banal qu'une virgule! On constate que le film de Pascale Ferran est fidèle au livre (texte intégral dans le projet Gutenberg sur internet), avec l’ immersion dans la nature, le panthéisme, l’ observation très fine des dégâts produits par les différences de classe (critique sociale sous-jacente), la présence du traumatisme de la guerre, et bien sûr l’éveil progressif et réciproque de Constance et Parkin, chacun accédant à ce qu’il maîtrise mal au départ. Les fleurs symbolisent cette naissance. Quand le printemps se fait attendre, une fleur devient un trésor, et la fougue avec laquelle Constance se précipite vers les premières jonquilles en dit plus long que tout un discours sur l’ennui : c’est l’hiver qui s’achève au propre comme au figuré. Constance, qui a parcouru l’Europe - Paris, Florence et Dresde- et possède une culture politique plutôt à gauche, étouffe dans le cadre provincial et réactionnaire du château de Wragby (dialogue sur la grève à la mine). « Lady Chatterley » est une œuvre qui nous apprivoise si on lui en laisse le temps. La réalisatrice manie la caméra avec des doigts de fée et c’est vraiment à une féérie que l’on assiste : un univers dans lequel il faut entrer : si on reste à l’extérieur le ridicule est proche (ce ridicule que dénonce Lawrence avec insistance au début du roman). Mais si on consent à se laisser émouvoir, cet effort est récompensé, et c’est l’osmose avec cette poésie, ce parti-pris de douceur où la féminité envahit le domaine masculin sans le rendre mièvre. Tout est progressif et rien n’est obscène dans ce film. On n’est pas près d’oublier les merveilleux interprètes qui renouent avec la vérité du livre de Lawrence trop souvent trahi et galvaudé.
    stanley
    stanley

    66 abonnés 756 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 août 2012
    Pascale Ferran, déjà brillante lors de ses deux premiers films, a réussi son Lady Chatterley, un des deux ou trois meilleurs films de l'année. La mise en scène est somptueuse (vision magnifique de la nature en communion parfaite avec l'histoire, mouvements de caméra réussis lors de la scène de nu sous la pluie...). Les acteurs et actrices sont tous très bons et bien dirigés. Maria Sands est troublante, Le garde chasse initialement rustaud, s'adoucit au fur et à mesure et Hippolyte Girardot trouve un rôle exceptionnel. Le film traite de 3 thèmes profondément intriqués : le romanesque, l'érotisme et les luttes "intra classes". Il est d'ailleurs très intéressant de constater l'évolution de la nudité au cours du film. C'est le symptôme de l'adaptibilté de la passion et des sentiments. Le tout explosant de manière impressionnante à l'occasion d'une dernière scène magistrale d'émotions exacerbées. L'amour et les sentiments sont plus forts que tout. La scène entre les trois principaux protagonistes où le mari essaye vainement de faire fonctionner seul son fauteuil roulant est formidable. Le mari refuse tout aide, et pas seulement celle éventuelle du garde chasse mais toute aide. Il lutte pour le maintiien du statu quo entre classes sociales et/ou pour pallier son impuissance ?. La relation amoureuse entre les deux amants évolue s'adapte ce qui n'est pas le cas du comportement du mari même s'il retrouve partiellement l'usge de ses jambes. La vision de la nature est bien rendue (on pense à Terrence Malick) et les rapports osmotiques entre les personnages renvoient aux films de Jean Renoir.
    shimizu
    shimizu

    9 abonnés 228 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 17 décembre 2006
    La claque!
    Dix ans qu'on l'attendait et elle ne nous a pas déçu.
    Pour moi c'est sans conteste le film français de l'année. Incroyablement beau, il témoigne d'une relation fusionnelle entre un garde-chasse et une représentante de la petite noblesse.
    Pour se retrouver, les deux amants passent par dessus tous les préjugés qui les séparent. On a par la même occasion un subtil tableau des moeurs et des gouffres entre les classes sociales de l'époque.
    Mais ce qui nous abasourdit, c'est la façon dont Pascale Ferran filme la nature (le film se déroule sur quatre saisons), et les scènes d'amour. Véritable foisonnement amoureux, le film relève du panthéisme. L'amour se révèle dans chaque feuille d'arbre, dans chaque fleur.
    Les deux territoires, celui de la noblesse avec son gazon bien coupé, et celui du garde-chasse (une sorte d'ours mal léché, touchant de brusquerie et de maladresse), où règnent le désordre et la jungle, où le sexe est omniprésent, sont bien délimités. Le seul point de passage est une petite porte en bois, que l'héroïne (merveilleuse Marina Hands) franchit à tout instant, pour s'abandonner à sa passion.
    Les acteurs sont exceptionnels. Une Marina Hands pleine de dévotion et de naïveté, un Jean-Louis Colloch poignant. Les plans qui montrent son visage décomposé par le désir sonnent juste. Et Hippolytte Girardot, le mari impotent, impuissant et cocu, fait aussi une belle performance. Son cri de désespoir ("Il est clair que je fais insulte à n'importe qui ici!"), lorsqu'il dévale malgré lui les pentes irrégulières de la sauvage forêt, qu'il ne comprend pas, nous remue profondément.
    D'emblée, un grand classique du cinéma français. A placer au coté de "Partie de campagne" de Renoir et des chef d'oeuvre de Jean Grémillon. Et je pèse mes mots.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 13 décembre 2006
    Looooooooooooooooong, très long, trop long.
    Je vais devoir avouer avoir beaucoup de mal à comprendre les "bonnes critiques" de ce film.
    Je pensais que la lenteur du début n'était que pour mettre l'histoire en place. Malheureusement ce n'était pas le cas. Au bout d'une heure et demi (et oui je suis restée concentrée aussi longtemps!!! sur 2h40) je me suis vraiment ENNUYEE. Je n'ai jamais autant observé le public pendant une séance. Bref je DECONSEILLE FORTEMENT ce film, sauf si vous voulez vous punir...
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 9 décembre 2006
    Un peu dérangée au debut par la mauvaise qualité de l'image, je ne sais quelle magie finit par me faire trouver tout trés beau. Sans doute les qualités de la metteuse en scène et des comédiens.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 8 décembre 2006
    Bon ca se merite: les debuts sont copiés sur Madame Bovary. Pour nous faire ressentir l'ennui de son heroine,
    le realisateur se sent forcé de nous faire nous ennuyer!
    Mais au final, sur un sujet tres attendu - la bougeoise, avec un mari infirme, qui se tape le garde chasse -
    il en ressort une tres belle histoire d'amour, extremement touchante, une demonstration sensible de l'amour libre, aveugle et de l'eveil d'une femme.
    Marina Hands creve l'ecran. Elle excelle en femme encore enfant, naïve, bien elevee, qui decouvre le plaisir, la sensualité
    et enfin l'amour dans l'angleterre d'entre 2 guerres.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 6 décembre 2006
    Lady Chatterley est à ce jour le meilleur film français de l'année, mais la barre se trouve hélas placée si bas que l'affirmer ne suffit pas à lui rendre justice. Les acteurs sont extraordinaires. Jean-Louis Coulloc'h semble un arbre aux racines profondes, Marina Hands, beauté singulière, traduit au souffle près le trouble, l'exaltation, la peur d'elle-même mariée aux certitudes les plus affirmées.
    Vladimir.Potsch
    Vladimir.Potsch

    20 abonnés 389 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 5 décembre 2006
    Un des films les français les plus réussis de cette année. Réussi parce qu'il évite toutes les chausses-trappes qui ponctuent le parcours de celui qui s'attaque à l'adaptation cinématographique d'une oeuvre littéraire, qui plus est très connue. On entre dans le film come dans un Pialat, sans emphase, juste un plan sur l'héroine qui parait anodin. L'histoire étant connue, quelques scènes de rappel nous sont proposées mais sans aucune forme d'académisme, il y a toujours quelque chose d'original. Par exemple, on entend les horreurs de la guerre, décrites par le mari et quelques anciens combattants au cours d'une réunion, en observant le visage de Lady Chatterley qui se trouve dans une autre pièce et qui percoit cette horreur par l'entrebaillement de la porte. De même, la rencontre avec le garde chasse, qui n'a rien d'un séducteur, mais dont on perçoit tout de suite l'émotion charnelle qu'il provoque chez la chatelaine, est elle vue par la réalisatrice sans aucune complaisance. Lady Chatterley a besoin de changement, sa santé l'exige, et c'est dans les bras de cet homme un peu rustre, l'exact opposé de son mari indigent, qu'elle atteint une forme de plénitude, en accord avec la nature environnante, et que rend parfaitement la mise en scène. La réalisatrice n'utilise pas ou peu de musique (à part quelques accords de piano), elle fait confiance aux bruits naturels. Elle refuse aussi les "grandes scènes", tant attendue par certins spectateurs, et qui souvent ont un goût artificiel. Non, on est toujours dans le même ton, une sorte de symphonie élogieuse de la nature, avec des couplets constitués des rencontres fréquentes entre les deux amants. Ceci a pour avantage de véritablement appréhender les personnages, de comprendre leurs émotions, d'apprécier leurs élans amoureux comme de véritables odes à la nature.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 4 décembre 2006
    Pas mal mais trés lent
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 30 novembre 2006
    Pas totalement inintéressant, c'est vrai que l'évolution de la relation entre Constance et le garde chasse est bien analysée en finesse, amis avec tellement de subtilité, en prenant tellement son temps sur les petits détails, que le film en devient beaucoup trop long et même lassant. Finalement ce sont des choses qu'on peut voir autour de nous, dans "la vie de tous els jours". Alors à qoui bon aller au cinéma pour ça ? Je suis sorti au milieu. Sans regret.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 29 novembre 2006
    Je n 'ai pas du tout accroche ... J ai trouve ce film niais et "cucu la praline" avec des scenes lourdes ( les fleurs sur les corps nus .. la montee du raidillon avec le charriot a moteur .. les mineurs aux gueules noires ..).
    La qualite de l'image etait bien en deca de ce que j avais pu lire dans les critiques ( mauvaise copie ?) .
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